jeudi 13 décembre 2007

Le Grand Zéro à l'infini

Mais qui est le "Grand Zéro" ... comme qui dirait "le Grand Skippy" !




Ce qui me surprend, c'est ce que je lis dans la presse plus ou moins unanime, comme si un ordre naturel des choses s'était mis en place à nouveau: le retour de Grand Skippy et ses déclarations bienveillantes sur l'Union et tutti quanti et ... on n'attendrait plus que le MR pour valider ses propositions magnanimes de se passer des électeurs et évidemment de leurs votes.
On peut lire aussi que le consensus pour un gouvernement intérimaire grandit , alors que Marcel Cheron (Ecolo) se posait légitimement la question de savoir qui était le formateur et que jusqu'à preuve du contraire madame 1000quet ne l'était pas.

Pendant six mois la cartelisée partenaire secrete d'alcôve du PS -vice-présidente socialiste - n'avait aucune idée, si ce n'est sur la pluie, le beau temps et ses enfants au travers de la fenêtre conductrice (donc pas de la morte) de la familiale française ... mais avec toujours l'affirmation au coin de la bouche en coeur (comme ceux qui n'en on pas le monopole?) :
"nous, tout ce qu'on veut, c'est un gouvernement!"
En résumé, un gouvernement avec tous les partis francophones sinon rien, comme un bon Pastis Ricard ! En que l'on ne vienne pas nous faire chi...

Alors qu'aujourd'hui le PS souhaite un gouvernement d'union nationale, plus que jamais , le PS veut aider Guy Verhofstadt à mettre sur pied une formule de gouvernement d'union nationale.
Tel est le credo du Parti socialiste, confirmé lundi par son Bureau.
Le PS souhaite la formation d'un gouvernement d'union nationale, qui s'inscrive dans la durée; une équipe équilibrée entre Francophones et Flamands, qui travaille dans le respect mutuel, a commenté son président Elio Di Rupo après la réunion de l'état-major des socialistes.
Qui se souvient aujourd'hui de l'attitude du même Grand Skippy qui au lendemain des élections, était reçu par l'informateur Didier Reynders.
L'entretien programmé pour durer un heure et demi avait duré moins d'une demi heure.
En sortant de la rencontre à laquelle assistait aussi la vice-première ministre sortante Laurette Onkelinx, le président des socialistes avait dit qu'il était venu par politesse parce qu'il était respectueux des institutions.
Mais pour lui, l'informateur était sorti de son rôle en indiquant dès le début sa préférence pour une alliance "antisociale bleue-orange".
Pressé de question,
Elio Di Rupo a dit qu'il n'était par ailleurs pas prêt à aider à réunir une majorité des deux tiers pour une éventuelle réforme de l'Etat.

Grand Skippy l'a dit, le CDH essaie de le réaliser.



Voir, revoir et/ou consulter aussi:

1 commentaire:

Anonyme a dit…

C'est vrai qu'il avait été désagréable granskippy et insltant a destination du roi