samedi 2 janvier 2010

38,5% pour le PSOE à l'aube de la Présidence

L’Espagne prend la relève de la Présidence de l’Union européenne dans un contexte inédit: celui du Traité de Lisbonne qui est entré en vigueur ce 1er janvier 2010.
Zapatero va devoir partager la présidence avec Van Rompuy, le nouveau président permanent du Conseil européen.
En marge de ceci et selon une enquête de l'institut Sigma Dos pour El Mundo, en cas d'élections, le PP obtiendrait 43,6% des suffrages, contre 38,5% pour le Parti socialiste espagnol (PSOE), au pouvoir en Espagne depuis 2004.


Twitter Side:
Maitre_Eolas La télé publique espagnole ne passe plus du tout de pub depuis le 1er janvier. Et fait des clips de 3 minutes pour en faire la promo. Le 2 janvier à 11h, la télé nationale espagnole rediffuse le programme spécial du révéillon. Effet décalage garanti.

vendredi 1 janvier 2010

mercredi 30 décembre 2009

"to stop the Americans doing whatever they want"

Vladimir Putin said , during a visit to the naval port of Vladivostok on the Pacific coast, in blunt remarks that will complicate efforts to cut the nuclear arsenals of the former Cold War rivals :

"Russia needs more weapons to punch through America’s new missile defence shield, Moscow should press ahead with a new generation of weapons to stop the Americans doing whatever they want "
"To preserve the balance we must develop offensive weapons systems, not missile defence systems as the United States is doing".




Lire aussi:
Un ex-procureur corrompu balance le système russe

Après avoir aidé des enquêteurs à falsifier des preuves, un magistrat tente de faire libérer les deux jeunes condamnés à perpétuité pour un incendie meurtrier à Oukhta. Ailleurs dans le pays, des policiers passent aussi aux aveux.
L’ancien procureur Grigori Tchekaline mène depuis deux ans un combat paradoxal. Bien loin de son rôle d’accusateur, il cherche à prouver l’innocence de deux jeunes injustement condamnés à perpétuité pour l’incendie d’un centre commercial qui a fait 25 morts. Ce drame s’est passé à Oukhta, une petite ville de la république autonome des Komis, une région du Grand Nord russe. L’ancien procureur adjoint d’Oukhta sait de quoi il parle. Il a personnellement participé à l’enquête. Il dit que les preuves à charge ont été falsifiées. Il avoue qu’il a lui-même participé à ce montage avant de se retourner contre sa hiérarchie. L’affaire sort aujourd’hui en plein climat de fronde au sein de l’appareil policier et judiciaire russe. Un climat d’autant plus agité que le président russe, Dmitri Medvedev, a tenu à plusieurs reprises à affirmer sa différence avec son prédécesseur devenu Premier ministre, Vla dimir Poutine, justement sur ce dossier des dévoiements de la justice. Le Président est d’ailleurs revenu sur la nécessité de réformer l’institution pénale et judiciaire lors de son discours de fin d’année.