"Le vrai problème est l'à priori exprimé par l'informateur en faveur d'une coalition bleue-orange"
"M. Reynders s'est écarté de sa mission. Un informateur doit donner des indications au Roi pour la future coalition. Or, il a choisi dès le début pour un gouvernement antisocial bleue-orange"
samedi 29 décembre 2007
Feue l'Orange-Bleue, selon Elio
Le péage urbain aux portes de Bruxelles
Autre méthode: la façon américaine en pays conquis
Ca se discute, comme dirait l'autre binoculariste.
Orgasmes séparatistes
"Gezworen vijanden opnieuw dikke vrienden: De Wever en Dedecker ":
Jean-Marie Dedecker: Van de hel naar de hemel, nog altijd een langgerekt orgasme!
Bart De Wever: Bij mij was het de omgekeerde beweging, van 10 juni naar nu. De formatie was geen hemels parcours, helemaal niet. Neem het ‘lange’ werkjaar 2007... als ik mijn vrije dagen sinds september 2006 optel kom ik niet aan twintig. Tien juni, ja, het was ook een orgasme maar niet langgerekt."
Ben Laden Murdered
Nov 2007
A consulter:
- Benazir Bhutto
- Pourquoi le peuple pakistanais a la rage
- L’Afghanistan, plus que jamais une noble cause
Ben Laden accuse Washington de vouloir exploiter l'Irak
Oussama ben Laden a accusé samedi les Etats-Unis de comploter pour prendre le contrôle du pétrole irakien et il a exhorté les Irakiens à s'opposer aux efforts de reconstitution d'un gouvernement d'union nationale soutenu par les Etats-Unis.
Dans un enregistrement mis en ligne samedi sur internet, le chef d'al Qaïda affirme que Washington veut construire des bases militaires dans le pays et dominer la région.
Il invite les Irakiens à rejeter un plan qui reviendrait selon lui "à donner aux Américains autant de pétrole irakien qu'ils veulent" et il affirme que ceux qui participeraient à un gouvernement d'union s'excluraient de l'islam.
Il exhorte les Irakiens à ne pas participer aux patrouilles mises en place pour lutter contre l'insurrection. Il s'agit principalement de polices tribales sunnites financées par l'armée américaine pour combattre al Qaïda et mettre fin aux violences.
Le chef d'al Qaïda, lui-même d'origine saoudienne, reproche aussi au gouvernement de Ryad de soutenir la politique américaine en Irak.
Les tracts de Lizin
Une échevine met Anne-Marie Lizin sur la sellette
Mauvaise journée, vendredi, pour Anne-Marie Lizin, sénatrice (PS) et bourgmestre de Huy. De son passage à la présidence du Sénat, on a retenu son dynamisme, sa grande connaissance des dossiers ainsi que son entregent, discuté par certains mais appliqué à beaucoup.
Lizin utilise sa ville pour le PS
C'est le secrétaire qui est envoyé au feu
Des attestations sur l'honneur
Lâchée par son échevine PS
Faudra-t-il aussi demander au Comité R, chargé du suivi des services de renseignement, de fournir au Sénat un rapport détaillé sur les événements et la qualité des informations qui ont mené à la surévaluation de la menace politique du 10 juin ?
Blogging the News, aborde cet article du Vif:
Tracts de Lizin distribués par employés communaux en service du 27/12/2007:
Des employés communaux de Huy ont distribué des tracts électoraux de la candidate PS Anne-Marie Lizin, bourgmestre de Huy, pendant leurs heures de service lors la campagne électorale de juin dernier, a rapporté jeudi soir la RTBF dans son journal de début de soirée.
et publie cette vidéo qui n'étonne vraiment pas/plus.
A l'heure où le cdH nous a fait le plaisir d'inviter le PS (rénové, peut-être ?) au gouvernement fédéral, il est intéressant de se souvenir par exemple du point 9 de leur programme du 10 juin:
9ÈME PARTIE :
Une meilleure gestion de l’Etat
A. Imposer de nouvelles règles d’éthique politique
Les récents scandales et dysfonctionnements ont
souligné l’importance de règles éthiques exigeantes.
S’inspirant notamment des réformes mises en place
en Région Wallonne, le cdH propose de moderniser le
cadre fédéral de l’exercice de mandats publics.
1. Adopter un code de déontologie obligatoire applicable à tous les mandataires publics
Les codes de déontologies divergent ou sont inexistants
selon les niveaux de pouvoir. Le Parlement Fédéral
n’a pas encore de code de déontologie alors que
différentes propositions existent.
Le cdH propose de :
- Adopter, sur la base d’une concertation entre l’ensemble
des niveaux de pouvoir, un code de déontologie
identique applicable à tous les mandataires publics et
aux services publics et régulant de manière uniforme
le cumul des mandats, les confl its d’intérêts, etc. ; - Elaborer pour l’ensemble des décideurs publics un
livre blanc de la gouvernance publique reprenant
l’ensemble des principes et "bonnes pratiques" en
la matière.
Anne-Marie Lizin a rencontré Kadhafi - 12/12/07
La sénatrice socialiste Anne-Marie Lizin a rencontré mercredi après-midi le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, lors d'une réunion à Paris, a-t-elle indiqué, en défendant sa participation à cette rencontre malgré les critiques de la gauche ...
Le dossier de Mme Lizin jugé recevable par le tribunal de Huy - 07/11/07
Le tribunal du travail de Huy a jugé recevable le recours d'une allocataire sociale qui avait été aidée par la bourgmestre Anne-Marie Lizin pour introduire son action en justice
Lizin est intervenue auprès de Sarkozy dans la pénible affaire "L'Arche de Zoë" - 4/11/07
La sénatrice socialiste et bourgmestre de Huy Anne-Marie Lizin est intervenue personnellement auprès du président français Nicolas Sarkozy, en visite éclair dimanche à N’Djamena au Tchad, pour le sensibiliser au cas de Jacques Wilmart, le pilote belge retenu depuis une semaine au Tchad dans le cadre de la tentative de transport de 103 enfants vers la France par l’association Arche de Zoé.
Lizin se défend d'accusations de malversation à l'hôpital de Huy - 24/10/07
Not a "thing of beauty"
Hij heeft grote vragen bij de levensvatbaarheid van de pas gevormde regering.
De Gucht zegt dat in de regering 'politieke contradicties ingebakken' zitten en vreest hij voor een situatie waarin liberalen en socialisten elkaar voortdurend afblokken. Ook de 'grote staatshervorming' komt er volgens hem niet.
- « La plus grosse prestation du CD&V et de Yves Leterme a été de bloquer le pays après 6 mois »
- « Verhofstadt a formé un nouveau gouvernement qui n’est pas à proprement parler ’a thing of beauty’. Mais ce qu’il montre bien, c’est qu’il sait comment sortir d’une situation impossible. Alors que Leterme, dans une situation comme celle-là, fait plus de mal que de bien et dit que c’est la faute des autres »
- « Bart De Wever est quelqu’un qui peut arriver à un accord, car il dispose d’un sens raisonnable du cynisme. Mais un Bourgeois, une Brepoels, ce sont des personnes qui, de manière congénitale, sont incapables de conclure un accord. Ils tiennent le CD&V dans leurs griffes »
- « Le CD&V et la N-VA ont plongé le pays dans une situation telle qu’il est difficilement concevable de ne pas avoir de grande réforme de l’État. Mais est-ce que la Belgique a seulement besoin d’une grande réforme de l’État ? Est-ce qu’on va finalement commencer à m’expliquer à quoi cela doit effectivement ressembler ? »
Geneviève Mulmann dite de Fontenay a mangé son chapeau
"Après une semaine d’intense agitation mais aussi de réflexion, Geneviève de Fontenay, avec le comité miss France et la société Miss France, a accepté de rencontrer Valérie Bègue pour mettre à plat tous les éléments d’une situation devenue intenable et essayer de lui trouver une issue raisonnable.
Valérie Bègue reconnaît à nouveau qu’elle a commis une faute en ne déclarant pas au Comité Miss Réunion qu’elle avait posé pour des photos que tout le monde connaît maintenant. Néanmoins elle confirme qu’elle n’a jamais voulu que les photos soient publiées mais admet qu’elles aient pu choquer.
Geneviève de Fontenay, pour sa part, considère ces photographies comme totalement contraires à l’image de Miss France et regrette que certains aient pu penser qu’elle pouvait en vouloir à Valérie Bègue ou à la Réunion, alors qu’elle n’a jugé que des faits qui auraient dû conduire à écarter Valérie Bègue de l’élection de Miss Réunion.Geneviève de Fontenay, le Comité Miss France et la Société Miss France ne souhaitant pas se substituer au public et juger seuls du maintien du titre de Miss France, ont pris en compte le fait que Valérie Bègue a été élue devant 9 millions de téléspectateurs et que le titre lui a été décerné suite au vote du public et du jury.
Valérie Bègue comprendrait qu’elle puisse être destituée, Geneviève de Fontenay a accepté qu’elle conserve sa couronne mais sous la condition qu’elle ne se présente pas aux élections internationales qui, compte tenu des publications lui seraient certainement interdites et que pendant un temps donné en tout cas, elle ne participe pas aux élections régionales et enfin que dans l’hypothèse où Valérie Bègue obtiendrait des dommages et intérêts suite à son action contre le magazine qui a publié les photos, cette dernière s’engagerait à reverser ces sommes aux deux associations qu’elle soutient (Vaincre la mucoviscidose et La Ligue contre le cancer du sein)."
Fait à Paris le vendredi 28 décembre 2007
Communiqué co-signé par Geneviève de Fontenay (présidente du Comité Miss France) et Valérie Bègue (miss France 2008)
Werkloosheid
La presse flamande se fait l'écho de chiffres avancés par le "Rijksdienst voor Arbeidsvoorziening": 11,6 pc des chômeurs contrôlés ont avancé une situation familiale qui n'était pas réelle; un chômeur sur dix aurait donc fraudé en 2007 en Flandre.
Un chômeur sur dix a fraudé l'année dernière afin de percevoir une allocation de chômage plus élevée, car un chômeur isolé perçoit une allocation plus importante qu'un chômeur cohabitant.
En 2008, quelque 22.000 chômeurs seront suspendus par le RVA et risquent de perdre leurs allocations pour une période allant d'une semaine à une année complète, pour la plupart parce qu'ils ont refusé un emploi ou de suivre une formation. D'autres subiront cette mesure parce qu'ils ont fait part d'une situation familiale qui n'était pas la leur.
La Belgique généreuse avec ses chômeurs, titre de son côté la DH
Travail, salaires, chômage : la FEB a dressé le tableau de l'année 2007
La Belgique reste championne du monde des charges sur le travail.
Parmi les pays membres de l'OCDE, la Belgique est le pays qui connaît le plus de charges : sur chaque tranche de 100 euros de coût salarial payée par l'employeur, il a été retenu 23,3 euros de cotisations patronales, 10,7 % de cotisations personnelles et 21,3 % d'impôt sur les personnes physiques.
Le travailleur isolé n'a donc perçu, au final, que 44,6 euros !
Les coûts salariaux belges dépassent donc toujours de 8 % ceux des pays voisins. Or, il a été prouvé au sein des pays qui ont fait baisser les charges, qu'un effet direct s'en est ressenti sur la création d'emplois.
Les salaires minimums des Belges comptent parmi les plus élevés du monde. En Belgique, il s'élève à 1.284 € et une augmentation est prévue en octobre prochain.
Autre point positif pour les demandeurs d'emploi : le travail temporaire ouvre la voie d'un emploi fixe dans 7 cas sur 10 en Belgique. Ces intérimaires ont en effet obtenu un contrat à durée indéterminée 3 ans après leurs débutés, chez le même employeur.
Si le Belge est un travailleur, il preste cependant moins d'heures que la moyenne européenne. La durée hebdomadaire effective du travail s'élève à 37,6 heures (temps plein), soit une heure de moins que la majorité des Européens.
Cet horaire light n'empêche cependant pas les abus en matière d'absentéisme, qui selon les calculs de la FEB, s'élève à 13 jours de travail en moyenne par an (98 heures). Les ouvriers comptent en moyenne 19 jours d'absence pour cause de maladie et les employés 9 jours.
Le câble wallon
Non, Voo(doo?)
On est en droit de se demander qui se cache derrière, qui tire les ficelles (ou les cordes) où est la concurrence et la position dominante, où est le politique et où est le privé ...
On connait la marque, mais qui connait sa dénomination et statut juridique ?
Les câblos-opérateurs s’interrogent sur leur avenir. - 22 décembre 2004
Ils ont commandé au consultant McKinsey une étude sur l’état et les évolutions du secteur. Ils lui ont aussi demandé de leur faire des recommandations stratégiques.
Selon L’Echo, les télédistributeurs wallons pourraient opter pour l’intégration et la préparation d’un Telenet wallon.
Un câble wallon uni - 15 juillet 2007
Durant le premier semestre 2007, le regroupement des sociétés wallonnes de télédistribution a été conclu. ALE, devenu TECTEO, et BRUTELE, associées dans un Groupement d'intérêt économique dénommé VOO, ont racheté les parts d'Electrabel et des communes dans les huit autres intercommunales du Sud du pays (TELELUX, SIMOGEL, IGEHO, INTERMOSANE, INTEREST, INATEL, SEDITEL, IDEATEL). Un des objectifs principaux de l'ensemble ainsi constitué est désormais la généralisation d'une offre commerciale de type «Triple Play» et l'accélération de l'implémentation de la technologie numérique.
28/12/2007 Les câblos-opérateurs wallons et le consortium ALE-Brutele ont finalisé leur accord sur la cession du câble wallon, désormais réuni sous un seul opérateur pour toute la Wallonie, a annoncé vendredi le ministre wallon de l'Economie Jean-Claude Marcourt.
L'ÉVOLUTION POLITIQUE DU DOSSIER DES CÂBLO-OPÉRATEURS WALLONS
P.W. - C.R.A. 23 ( 2005-2006) - mercredi 21 juin 2006
M. le Président. – L'ordre du jour appelle les interpellations de MM. Kubla et Wesphael au Ministre-Président sur le dossier des câblo-opérateurs wallons.
M. Van Cauwenberghe souhaite également intervenirdans le cadre de cette interpellation.
M. Serge Kubla (MR). – Je reviens sur un dossier qui ne relève pas des compétences, au sens strict, de M. le Ministre-Président. J'ai posé de nombreuses questions sur ce sujet et je n'ai pas reçu de réponse. Je metourne dès lors vers le chef du Gouvernement pour lui demander quelle politique est menée dans ce secteur très important dans le cadre du Plan Marshall.
M. le Ministre-Président, notre Parlement est mis sur la touche. Nous prenons connaissance des dossiers dans la presse, il n'y a pas de débat, pas de communication.
Vous m'aviez déjà répondu, en Commission, au sujet de cette matière : « M. le Député, sincèrement, accepteriez-vous que je m'immisce dans un dossier que le marché doit régler ». Vous vous étiez volontairement mis sur la touche. Le lendemain matin, changement de casquette, vous deveniez Président du PS et vous discutiez de l'avenir du câble wallon au siège du parti, avec vos ouailles. Et là, subitement, vous saviez ce que vous alliez en faire. La Wallonie n'est donc plus gouvernée par un Gouvernement PS/cdH, mais par un parti
souverain, le PS, l'autre s'alignant sur sa position. Vous pouvez rire Monsieur Antoine .
M. André Antoine, Ministre du Logement, des Transports et du Développement territorial. – J'apprécie vos efforts vains.
M. Serge Kubla (MR). – Je cherche des décisions partagées et équilibrées en matière de câble wallon, mais je dois bien constater que le PS décide seul.
En Commission, M. le Ministre-Président, vous n'avez rien à dire puis, le lendemain, au parti, vous prenez en charge ce dossier, vous décidez. Le cdH est couché. Cela ne va pas sur le plan du fonctionnement politique.
M. André Antoine, Ministre du Logement, des Transports et du Développement territorial. – Vous me voyez couché, puis-je me relever ?
M. Serge Kubla (MR). – Ce n'est pas nécessaire, j'aime vous voir comme cela.
M. André Antoine, Ministre du Logement, des Transports et du Développement territorial. – MonsieurKubla, l'expression de notre différence, nous la livrons au Gouvernement.
M. Serge Kubla (MR). – J'aurais aimé que vous nous donniez votre position dans ce dossier, mais Madame Simonet ne répond pas. On peut continuer à jouer sur les mots, mais cela pose un problème politique. Le Ministre-Président ne dit rien, puis il décide seul, le lendemain, en tant que Président du PS et en votre nom !
On a perdu un an dans ce dossier. Nous ne savions pas ce qu'allaient devenir les câblo-opérateurs wallons. Il n'y avait pas de ligne directrice. Pourtant, le triple-play est une technologie qui doit s'imposer en Wallonie, dans un contexte de concurrence et non de monopole de Belgacom. Qu'avons-nous vu ? Deux publics s'unir : ALE et Brutélé, sous l'égide de M. Van Cauwenberghe qui est très impliqué dans ce dossier. Pas d'autres réactions. Les publics purs ont été écartés.
Une plainte a été déposé plainte tant au niveau du Conseil d'Etat qu'au niveau de l'autorité de tutelle. Nous sommes donc bien dans un processus illégal et, par conséquent, dans un conflit juridique majeur.
En d'autres termes, je suis inquiet, tant sur la main mise que vous vous réservez sur ce dossier, que sur les questions fondamentales auxquelles vous n'apportez qu'une réponse inadéquate. En effet, votre réponse se limite à ce que le public prenne tout en charge. De ce fait, nous retombons dans le même schéma, tant décrié, de la main mise et de la distribution de portefeuilles au sein d'une même famille politique et ce, en excluant tous les acteurs privés.
Je ne peux que déplorer ce schéma, d'autant plus que des alternatives intéressantes émanaient du secteur privé. Dès lors, plusieurs questions sont à poser.
Le GIE dispose-t-il de la compétence indispensable pour gérer le triple play notamment sur base de ses ressources humaines actuelles ? Ma réponse est négative. Par conséquent, le GIE ne disposera pas des compétences nécessaires et sera appelé, à terme, à sous-traiter ses activités au privé. Cette opération envisagée nécessitera beaucoup de moyens, soit 450 millions d'euros. Or, rien ne dit que cela sera rentable dès le début. De plus, qui va payer ? Qui disposera des ressources nécessaires pour faire face aux investissements nouveaux ?
Peut-on également penser que, sur l'ensemble du territoire wallon, vous serez capable de tenir dans le temps ?
Comme vous pouvez le constater, mon intervention n'est pas qu'une simple intervention technique. Elle se veut également politique et ce, à l'instar de votre réponse qui limite le plan Marshall à un schéma politique au sein de la seule famille Socialiste.
Nous ratons ici une étape de notre progrès.
M. Bernard Wesphael (Écolo). – Depuis longtemps déjà, le paysage médiatique francophone bruisse de l'unification possible des câblo-distributeurs wallons et bruxellois dans un seul ensemble à l'échelle de la Francophonie belge. En l'occurence, les télédistributeurs ALE et Brutélé mettraient la main sur les autres opérateurs existants.
Selon la presse, une rencontre aurait eu lieu, le 7 juin, « à l'initiative du PS » et donc, sans le cdH. Cette réunion aurait rassemblé, selon la même source, le Président du PS Elio Di Rupo, Jean-Claude Van Cauwenberghe et les Présidents de tous les câblos wallons.
La réunion se serait terminée sur un arbitrage du Président du PS en faveur du rachat, par ALE et Brutélé, des huit câbleurs mis en vente depuis un certain temps déjà. Dans la foulée, « les avocats des intercommunales concernées auraient reçu la consigne de tout mettre en oeuvre, dans le respect des procédures juridiques, pour faire émerger le tandem ALE-Brutélé en candidat idéal à la mainmise sur tout le réseau wallon ».
Élément complémentaire dans la presse écrite de ce mardi 13 juin, je cite : « sur intervention expresse d'Elio Di Rupo, le choix politique aurait été fait de marier — de gré ou de force — l'ensemble des câblo wallons.
Avec, croient savoir certains, le soutien des autres formations politiques ».
Ce n'est pas tout. On peut aussi lire que les postes dirigeants auraient déjà été attribués : MM. André Gilles à la Présidence, Stéphane Moreau à la Direction générale, Pol Heyse à la Direction financière et Jean-Michel Adant à la Direction technique. Pour faire bonne mesure, la Vice-Présidence serait attribuée à notre éminent Collègue, Jean-Claude Van Cauwenberghe.
Il est clair qu'il est temps, en Région wallonne, de sortir des baronnies, dans un certain nombre de secteurs, et notamment dans celui du câble. Mais sommes-nous sûrs que c'est de cela qu'il s'agit, alors que le Parlement wallon est mis hors jeu de tout débat sur le fond du dossier ?
Monsieur le Ministre-Président peut-il confirmer les dates, les faits, les noms et les fonctions rapportées dans la presse ? Au besoin, peut-il les corriger et nous en dire plus ?
Monsieur le Ministre-Président peut-il nous dire si d'autres membres du Gouvernement ont participé à cette réunion ?
Peut-il nous éclairer quant au contenu opérationnel de ce projet ? Qu'en est-il du schéma industriel de ce projet ? Quel est le montage juridique et financier qui sous-tend l'opération : quel débours de cash, quel échange de participations, quelle structure juridique ?
Quelle sera la stratégie du nouvel ensemble ?
Qu'en est-il des intérêts de la population ? Dans quelle mesure ont-ils été pris en compte dans cette vaste redistribution de cartes ? Face aux bouleversements en cours dans le secteur des Télécoms, et face à l'apparition incontournable des offres de « triple play », quelle est la garantie offerte aux ménages wallons de pouvoir disposer, à l'avenir, d'un accès au câble à un prix abordable et, dans ce cadre, à l'Internet à large bande ? Quels dispositifs seront mis en place pour veiller à contrôler les évolutions de l'offre et de ses tarifs ?
Enfin, je reviens à la répartition des « parts du gâteau » au sein de la famille socialiste. N'eût-il pas été préférable de commencer par ces vastes enjeux d'intérêt général, et donc, d'avoir un vaste débat politique significatif ?
Monsieur le Ministre-Président peut-il, en conséquence, nous indiquer quelles mesures ont d'ores et déjà été prises pour éviter tout cumul entre des fonctions à responsabilités importantes, dès lors que le câblodistributeur
unique pèsera près de 1,3 million d'abonnés et serait valorisé à près d'un milliard d'euros, si je
m'en tiens aux informations données dans la presse quant à la valeur de rachat d'une prise câblée ?
D'une manière plus générale, Monsieur le Ministre-Président peut-il nous expliquer en quoi la façon de procéder mise en oeuvre s'inscrit dans sa volonté de renouveler la culture politique et d'appliquer les pratiques de la bonne gouvernance en Wallonie ?
Faut-il être opposé à ce projet ? Pour y répondre, il faut distinguer la méthode et le fond. Quant à la méthode, je la déplore. Elle relève de pratiques anciennes du pouvoir au sein d'une même famille politique.
Quant au fond, fallait-il aller dans ce sens ? Je pense sincèrement que oui. Ainsi, si on considère que la réunification des câblo-opérateurs correspond à une logique de service universel aux citoyens, alors cette réunification est une bonne chose.
Ce qui m'inquiète également, c'est de savoir quel sera le mode de contrôle et de régulation public de ce regroupement en réseau des différents opérateurs publics.
Pour finir, et je me répète, je ne peux pas comprendre que le Parlement soit mis hors jeu à ce point.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Je souhaite juste faire quelques réflexions afin de rafraîchir la mémoire de certains.
Ce dossier n'est ni partisan ni politiquement marqué.
Il n'y a pas si longtemps, nous entendions un couplet classique du MR et d'ECOLO, à savoir que le mal wallon était symbolisé par un morcellement en intercommunales, par des baronnies qui tourne le dos à l'intérêt général.
L'action du Gouvernement était également fustigée.
Il aurait fallut bousculer l'autonomie communale, selon les interpelateurs eux-mêmes.
M. Serge Kubla (MR). – Nous demandons au Gouvernement de prendre attitude.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Nous assistons heureusement à la mise sur rails d'un grand câblo distributeur wallon. Cela se fait grâce à l'initiative des intercommunales concernées.
M. Serge Kubla (MR). – C'est faux ! Cela se fait à l'initiative du PS et les intercommunales n'ont pas été consultées.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Au niveau de Notélé et Brutélé, j'insiste sur le fait que les représentants cdH et libéraux ont voté unanimement cette stratégie.
Nous verrons ce que donnera la délibération dans les huit intercommunales mixtes.
Il s'agit d'un beau projet qui permet de maintenir l'expertise, notamment en ce domaine.
M. Serge Kubla (MR). – Vous n'avez pas l'expertise.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Vos propos sont humiliants pour les travailleurs et les ingénieurs,notamment de Notélé et de Brutélé !
Votre propos consiste à dire qu'il vaudrait mieux privatiser.
M. Serge Kubla (MR). – Je soutiens qu'il faut respecter les règles du jeu, sans plus.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Avec ce projet, nous pourrions avoir une intercommunale avec 750 emplois, des bénéfices pour les communes et un service universel pour le citoyen. Nous devons saisir cette opportunité.
En matière de privatisation, regardez ce qui s'est passé à Bruxelles. Il y a eu notamment une expatriation des centres de décision.
M. Serge Kubla (MR). – En matière de prix, vous allez être 50 % plus cher que le marché.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Notre projet a pour but de garder les centres de décision en Wallonie.
M. Serge Kubla (MR). – Ce projet est mal défendu.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Pour vous, tout doit simplement aller au privé !
Nous verrons bien ce que décideront les conseils d'administration des intercommunales. Ce n'est pas ici queles décisions seront prises.
M. Serge Kubla (MR). – C'est exact, elles sont prises au Boulevard de l'Empereur.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Le Président du PS peut encore concerter les administrateurs socialistes auprès des différentes intercommunales. Ce n'est pas encore interdit et vous n'allez pas nous donner des leçons à cet égard.
M. Michel de Lamotte (cdH). – Je dispose donc de minutes pour évoquer cette problématique importante.
L'unification des câblo constitue un processus nécessaire. Cela permettra ainsi notamment d'avoir des clients en suffisance. Il faut également pouvoir pratiquer un prix raisonnable.
Tout retard risque d'avoir des conséquences financières importantes.
Il y a eu, tout d'abord, une réaction à la percée d'un opérateur.
Il y a ainsi eu des mouvements dans le secteur et un GIE a été créé en mars 2006.
Nous pouvons considérer qu'il s'agit d'un avoir public. Le « club des huit » a mené des négociations par l'intermédiaire d'une banque d'affaires et un deal a pu être conclu.
Nous appuyons cette consolidation au niveau des différents opérateurs.
Cependant, au-delà de cette étape, à savoir une unification préalable, il nous semble opportun d'en avoir une seconde.
Il ne faut, en effet, pas faire l'impasse dans un second temps sur l'apport qui pourrait être fait par un opérateur privé.
Il s'agit d'un marché en pleine expansion.
Du point de vue de la concurrence, il pourrait donc être fait appel, dans un second temps, au secteur privé.
Je répète que l'apport d'un opérateur privé nous semble important.
M. Serge Kubla (MR). – C'est, en effet, inévitable et cela contredit surtout les propos de M. Van
Cauwenberghe.
M. Elio Di Rupo, Ministre-Président du Gouvernement wallon. – Je tiens à remercier celles et ceux qui ont interpellé le Gouvernement.
Je ne porterai pas de jugement.
Je tiens simplement à faire part de mon étonnement, tant sur le ton que sur la forme des débats
parlementaires sur ce sujet, ce jour. Les Wallonnes et les Wallons méritent mieux que cela.
M. Serge Kubla (MR). – C'est très léger. Nous pouvons encore prendre le ton que nous souhaitons, sans devoir être montrés du doigt par « le professeur ».
M. Elio Di Rupo, Ministre-Président du Gouvernement wallon. – Le Gouvernement n'excerce aucune compétence en ce domaine. Il n'a donc à décider de rien en propre dans le dossier qui nous occupe.
Je pourrais donc me contenter de dire cela puis de quitter la tribune, mais cela serait discourtois et ce n'est pas dans mes habitudes.
M. Serge Kubla (MR). – Vous n'avez pas procédé de la même manière lorsqu'il fut question de la fusion des intercommunales !
M. Elio Di Rupo, Ministre-Président du Gouvernement wallon. – Un certain nombre d'intercommunales ont décidé d'entamer une procédure, actuellement en cours. Une fois cette démarche menée à son terme, dès que des pistes auront été dégagées, sous l'égide d'une banque d'affaires, chaque assemblée générale d'intercommunale décidera du sort à réserver à cette procédure.
Il est vrai que des intercommunales pures ont fait savoir qu'elles déposeraient une offre qui pourrait — je cite — intervenir à un certain moment. Lorsque l'offre sera confirmée, les assemblées générales des intercommunales concernées décideront de ce qu'il conviendra de faire.
Sur le plan de la technologie et des aspects qui touchent à l'évolution des marchés, nous pourrions gloser à perte de vue. Je suis d'ailleurs impressionné par la compétence démontrée par mes Collègues en la matière.
Quant à moi, en tant que modeste docteur en sciences, je m'abstiendrai de dire mon estimation de la capacité technologique de telle ou telle intercommunale.
Bien entendu, des compétitions et des discussions sont menées entre les uns et les autres. Il faut
impérativement laisser les intercommunales décider du sort à réserver à leurs projets.
Quant à l'attaque virulente lancée à l'encontre d'une famille politique bien précise, je la considère, en tant que Ministre-Président de ce Gouvernement, incroyablement excessive et désobligeante. Permettez-moi, à cet égard, de rappeler que, sur les neuf intercommunales concernées, quatre sont sous présidence PS, deux sous présidence cdH et trois sous présidence MR. Dès lors, il va sans dire qu'il faut relativiser les choses, quatre par rapport à neuf, cela représente une minorité.
La position du Gouvernement est que le travail entamé par les intercommunales doit être achevé dans le respect des règles établies.
Il convient que ces intercommunales puissent offrir à nos concitoyens le meilleur service possible au moindre coût. Les moyens financiers importants engagés doivent être investis en faveur du développement durable des communes.
Voilà où nous en sommes dans ce dossier, les procédures menées étant les plus transparentes et les plus correctes qu'il soit.
Il me plait à penser que, si des commentaires fusent de toutes parts, cela témoigne du dynamisme et de la bonne santé de notre démocratie.
M. Serge Kubla (MR). – Quelques fragments de vérité commencent à apparaître, me semble-t-il.
Quand il s'agissait d'obliger les intercommunales à fusionner, vous n'étiez pas sujet, Monsieur le Ministre-Président, aux mêmes états d'âme ! Votre position était définitive et péremptoire.
Par ailleurs, je ne suis pas très heureux de vos airs supérieurs quant aux compétences des intervenants en cette matière. Certes, je ne suis pas un spécialiste du secteur, mais je suis en contact attentif et rigoureux avec les opérateurs concernés.
Il conviendrait que les partenaires de la majorité puissent trouver, entre eux, un terrain d'entente car il paraît manifeste que les opinions sont quelque peu divergentes.
Vous avez évoqué la complexité du dossier. Je note que, dans cet esprit, vous vous entourez de multiples spécialistes juridiques, des sommes considérables étant engagées à titre d'honoraires.
Il est évident que ce ne sont pas les Présidents d'intercommunales, mais bien les assemblées générales qui détiennent le pouvoir de décision. La force du PS n'est pas contestée, ni contestable dans bon nombre d'entre elles.
Par conséquent, le vrai problème politique qui est posé, c'est qu'au Parlement, vous tenez un langage mesuré, modeste, ténu, mais que, lorsqu'il faut décider, c'est le PS qui se positionne de façon directive et sans appel, à l'appui d'abondantes déclarations à la presse.
M. Bernard Wesphael (Écolo). – J'ai entendu dire que le Gouvernement n'avait aucune compétence en cette matière. Toutefois, c'est bien le Président du PS qui réunit ses troupes pour décider, haut et fort, quel sera le montage de la restructuration des câblo-distributeurs.
Se pose ici le problème évident de la double casquette du Ministre-Président.
Il n'y a que lui qui puisse se permettre d'agir de la sorte, tout au moins en Région wallonne : la modestie dans un sens et poser des décisions non consensuelles dans l'autre.
Par ailleurs, il semble évident qu'un certain nombre de mandats sont déjà répartis.
Sur le fond, il est clair qu'Écolo était favorable à l'approche proposée. Il convient de dissocier la méthode et le fond. Certes, des garanties importantes restent à obtenir et le caractère universel du service rendu à la population est à assurer. Mais, franchement, ce que je regrette, c'est que, dans un dossier aussi important, M. le Ministre-Président ait tenu une telle langue de bois. Et cela, sur la forme, c'est inacceptable.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – On a beau essayer de faire de ce dossier un dossier politique,
il ne l'est pas. Un grand opérateur intégré wallon devrait s'appuyer sur toutes les forces politiques wallonnes.
Nous essayons de créer une structure publique dont les aspects liés au financement, au caractère universel et aux ressources humaines restent à poser. Pourquoi essaie-t-on de saper les bases d'un édifice qui reste à bâtir par la Région ?
M. Serge Kubla (MR). – Parce que les décisions ont été prises brutalement par le PS, sans concertation.
M. Jean-Claude Van Cauwenberghe (PS). – Nous essayons, dans notre famille politique, d'avoir la meilleure cohérence possible. Demandez donc à M. Destexhe qu'il vous donne quelques conseils à ce sujet.
Quand toutes les familles politiques auront une vision claire, nous pourrons enfin concentrer nos énergies sur l'aboutissement d'un grand projet wallon.
M. Michel de Lamotte (cdH). – Il y a un grand projet wallon à mettre en place, avec le triple play qui réunit Internet, la télévision et la téléphonie mobile ou fixe. C'est un développement très important pour la Région wallonne. Tout ce qui a été décidé doit être programmé et mis en place, en collaboration avec les câbloopérateurs et d'autres acteurs qui pourraient fournir un apport en matière de marketing.
Toutes les décisions ont été prises au sein de conseils d'administration dans lesquels toutes les familles politiques étaient présentes.
M. Serge Kubla (MR). – Non, ce n'est pas le cas.
M. Michel de Lamotte (cdH). – Si, toutes les familles politiques y étaient représentées. Nous avons ici un véritable projet politique wallon, nous devons le mettre en oeuvre.
M. le Président. – Ceci termine le débat relatif aux câblo-opérateurs wallons. Il fut parfois vif mais cela peut être toléré tant que cela reste dans les limites du respect des personnes.
vendredi 28 décembre 2007
L'aile ou la cuisse ... ?
(to be continued, stay tuned ...)
Crise immobilière
De l'Inde, où à Bombay des centaines d'habitants de bidonvilles manifestent depuis mercredi contre le gouvernement qui a fait raser leurs habitations pour y implanter de nouveaux projets de développement urbain.
Les manifestants réclament un relogement et une compensation pour la perte de leur logement
... à Cleveland, dans l'Ohio, USA:
qui précisait que :
« ma volonté historique de privilégier la rénovation, enfin partagée publiquement en juillet 2002, confirmée par tous les acteurs début 2003, débouche aujourd’hui sur une décision qui fera date dans l’histoire du logement social en Wallonie »
Sécuriser, rénover et assainir le logement social de Wallonie
Sur proposition de Michel DAERDEN, Vice-Président du Gouvernement wallon, Ministre en charge du logement, le Gouvernement wallon de ce jeudi 3 juillet 2003 a adopté l’arrêté autorisant la Société Wallonne du Logement à réaliser un emprunt, sous la garantie de la Région wallonne, à concurrence d’un montant maximal de 1 milliard d’euros, destiné à financer le programme exceptionnel visant à la sécurisation et à la salubrité du parc social locatif en Wallonie.
Happy Kwanzaa !
Du 26 décembre au 1er janvier, les Afro-Américains célèbrent Kwanzaa le troisième pilier de la saison des fêtes après Hannuka et Noël.
Instituée en 1966 par l’activiste politique Maula Karenga, elle célèbre l’héritage particulier de la communauté noire, autour de sept principes :
- Umoja (l’Unité)
- Kujichagulia (Auto-détermination)
- Ujima (Travail collectif et responsabilité)
- Ujamaa (Coopération économique)
- Nia (le But)
- Kuumba (la Créativité)
- Imani (la Foi).
Les habits et les décorations sont d’inspiration africaine et les cadeaux qui sont donnés aux enfants doivent en principe toujours comprendre un livre.
Web 2.0
La Reine Elizabeth II, Reine d’Angleterre 2.0
Qui a dit que la Reine d’Angleterre était “has-been”? De tous les monarques vivants, elle est probablement l’une des plus modernes, des plus réactives. Elizabeth II diffuse ses traditionnels vœux de Noël sur YouTube.
Elle a connu en tant que chef d’État tous les présidents français depuis Albert Lebrun. Elle était déjà sur le trône depuis sept ans quand Fidel Castro est arrivé au pouvoir. Elle règne officiellement sur 28 pays dans le monde.Elle, c’est Elisabeth II, reine d’Angleterre, mais également d’une ribambelle d’États souverains partout dans le monde, héritage du grand empire britannique. On citera parmi les plus importants l’Australie, le Canada, la Jamaïque, la Nouvelle-Zélande, la Papouasie-Nouvelle-Guinée… Des Bahamas à Tuvalu, des Bermudes à Sainte-Hélène, de Guernesey aux Grenadines, Elisabeth est reconnue partout comme le chef d’État officiel.Alors bien sûr, montée sur le trône le 6 février 1952 – et manifestement pas encore disposée à abdiquer –, elle bat tous les records de longévité au pouvoir, même si celui-ci, comparé à un Fidel Castro ou à un Omar Bongo, demeure symbolique.Le véritable exécutif, on le sait, est en Grande-Bretagne aux mains du Premier ministre.
En la matière, le record revient à Margaret Thatcher, qui occupa l’exécutif britannique de 1979 à 1990. Onze ans, c’est un record outre-Manche.
48 ans
C'est Fidel Castro, à Cuba, qui détient le record de longévité, pour un président actuellement en exercice, selon le palmarès publié par la revue américaine Foreign Policy sur son site. En 2e position, Omar Bongo, président du Gabon depuis 39 ans. Les suivants sont moins notoires, tel Ali Abdullah Saleh, président du Yémen depuis 29 ans (d'abord président du Yémen du Nord avant la réunification de 1990) ; Maumoon Abdul Gayoom, président des Maldives depuis 28 ans ; Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la Guinée Equatoriale depuis 28 ans. Hun Sen, lui, est premier ministre du Cambodge depuis 22 ans. Tous ont été « réélus » après l'année 2000.
Les royaumes de la longévité
L’Europe se caractérise justement par la présence à la tête de l’État d’un certain nombre de rois et reines à la longévité remarquable.
Certes loin d’Elisabeth, la reine Margaret II du Danemark affiche tout de même 35 ans de règne, le roi de Suède Charles-Gustave 34 ans, le roi d’Espagne Juan-Carlos 32 ans, la reine Béatrix des Pays-Bas 27 ans.
Dans le monde, seule la monarchie thaï fait mieux avec les 61 ans de règne du roi Phumiphon.
Fourons
« Ici à Fourons, on traite les Francophones comme des personnes de seconde zone,s'est indigné M. Droeven au micro de la RTBF.
puisque quand vous parlez français, on vous refuse la parole »
Le bourgmestre de Fourons, Huub Broers, a dénoncé une manœuvre politique du camp francophone.
jeudi 27 décembre 2007
Bhutto buttée !
Biographie de Benazir Bhutto
Benazir Bhutto, 54 ans, mère de trois enfants
Condamnations dans le monde après l'attentat qui a tué Benazir Bhutto
Colère au Pakistan après l'assassinat de Bhutto
Le Conseil de sécurité se réunit d'urgence
Benazir Bhutto tuée dans un attentat
L'ex-Premier ministre pakistanais et leader de l'opposition Benazir Bhutto a été tuée jeudi dans un attentat-suicide qui a fait au moins 16 autres morts à l'issue d'un meeting électoral dans la banlieue d'Islamabad, à deux semaines des législatives.
Quel impact sur le futur du Pakistan ?
Un mortel retour de flamme
Sharif appelle Musharraf à démissionner
Les vives réactions de la communauté internationale
Les Etats-Unis condamnent l'attentat contre Bhutto
L'actrice : Benazir Bhutto
Benazir Bhutto se réveille
La procédure contre Bhutto est classée
Verhofstadt, what else?
Le Chat d'à côté
M'est d'avis que c'est un flop, non seulement parce que les articles sont arrivés "juste trop tard" et donc "décalé dans le temps", mais parce que j'ai le sentiment que c'est "tout le bonhomme", qui est maintenant "décalé" en dehors de son temps et plus seulement son humour qu inous faisait rire.
Et d'ajouter à juste titre: "Il paraît d'ailleurs que la presse ne s'est jamais aussi bien vendue (ni les journaux télévisés n'ont été autant regardés) que depuis que notre patrie traverse une crise sans précédent."
Au total, ce sont donc 73.000 livres qui ont été mis sur le marché. On estime que les ventes tourneront entre 50.000 et 60.000 bouquins.
Si vous ne savez vraiment pas quoi faire chez vous :
Les dix solutions pour sauver la Belgique (8/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (7/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (6/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (5/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (4/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (3/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (2/10)
Les dix solutions pour sauver la Belgique (1/10)
Le « Sarko circus »
qui explique que la médiatisation à l’Elysée a augmenté de 450 % avec Nicolas Sarkozy, qui met les journalistes à la remorque.
Vous avez suivi Nicolas Sarkozy sur un yacht à Malte, aimé Nicolas Sarkozy sur un canoë à Wolfeboro (États-Unis), vous allez adorer Nicolas Sarkozy devant les pyramides avec Carla Burni.
Car, si le Président fait feuilletonner sa vie, livrant chaque jour un nouvel épisode à l’opinion, celui-ci, qui a démarré mardi, c’est du premier choix. La France peut suivre en temps réel les activités du couple star, comme en téléréalité.
Le déplacement privé du chef de l'Etat en Egypte, partiellement payé par son ami le chef d'entreprise Vincent Bolloré, a déclenché une salve de critiques de l'opposition.
Pour Yves Jégo au contraire, "le président de la République a voulu là aussi jouer la rupture et ne rien cacher. Ce qui ne se disait pas, ce qui ne se montrait pas, aujourd'hui fait l'objet d'une volonté de transparence".
"Cette forme d'authenticité, de transparence, est plutôt la marque d'une démocratie qui se modernise", a ajouté le député de Seine-et-Marne au micro d'Europe 1.
"Les Français apprécient la franchise et l'idée que l'on est sorti d'une époque où les choses se faisaient mais étaient dissimulées est une idée qui va plaire aux Français", a-t-il poursuivi.
Le député de la majorité a souligné que le chef de l'Etat se déplaçait avec "une trentaine de personnes (...) une cohorte de personnalités qui ne me semble pas très compatible avec l'usage d'un vol régulier d'une compagnie aérienne".
Propagande islamiste terroriste sur Internet
Je suis assez étonné par les déclarations faites aux médias par des personnes interpellées, interrogées vendredi dernier, puis relâchées quelques heures après, dans le cadre de l'enquête sur un éventuel plan d'évasion de Nizar Trabelsi.
Ce n'est pas tellement le fait que ces personnes s'expriment qui m'étonne, mais le fait que la presse repoduise "texto" les propos -sans grand esprit critique- et cite divers acteurs avec beaucoup de désinvolture, sans beaucoup recadrer l'ensemble de cette "affaire".
Lors de la condamnation de Trabelsi, en 2003 on notera :"Seuls 5 des 23 prévenus ont été acquittés, dont Malika E.A., l'épouse de Dahmane, un des deux hommes qui a commis l'attentat suicide qui a coûté la vie au commandant Ahmed Shah Massoud, le chef de l'Alliance du Nord tué en Afghanistan le 9 septembre 2001. Dahmane avait été envoyé en Afghanistan par la filière belge.
La complicité de Malika n'a pu être établie avec certitude, a estimé le tribunal qui souligne néanmoins que son radicalisme a pesé sur son mari et qu'elle conserve un mépris évident pour le monde occidental."
Malika El Aroud s'exprime sur son forum (que je n'ai pas réussi à trouver):
"il y avait des raisons justifiant ces perquisitions"
Maintenant j'en viens aux raisons qui ont poussé la Belgique à toutes ces perquisitions [...] Je vais sans doute vous étonner mais pour une fois je pense
que la police n'est pas vraiment en tort. Il y a eu certainement de l'exagération mais dans le fond il y avait des raisons justifiant ces perquisitions [...] Effectivement, des paroles évoquant une future prise d'otage ont été véhiculées par téléphone si le régime strict de Nizar Trabelsi ne change pas. Ceci a été dit et répétée plusieurs fois vers mon téléphone par une des personnes arrêtée (la police sait qui), une personne avec laquelle j'ai pris mes distances depuis un moment déjà car je la trouvais assez dangereuse par son imprudence à faire allusion à des choses qui n'existent pas alors qu'elle sait que je suis sur écoute. Imaginez un instant ce que la police à ce moment-là peut imaginer aussi [...]". Et Malika El Aroud de conclure qu'elle a rompu tout contact avec cette fameuse personne lui demandant par SMS de "sortir" de sa vie.
Mais aussi, quelle ne fut pas ma (demi) surprise de trouver ceci à propos de Malika El-Aroud, belge d'origine marocaine, veuve d'un des assassins du commandant Massoud
Publié le 6/21/2007 par le journal marocain AlbaYane
Le premier procès en Suisse pour propagande islamique terroriste sur Internet s'est ouvert mercredi devant le Tribunal pénal fédéral à Bellinzone, dans le canton suisse du Tessin. Les accusés sont un Tunisien et une Belge d'origine marocaine, veuve d'un des assassins du commandant Massoud.
Moez Gersallaoui et Malika El-Aroud sont notamment accusés de soutien à une organisation criminelle, d'incitation publique au crime et d'avoir aidé, par le biais de sites Internet, à la fabrication et l'emploi d'explosifs devant servir à des fins criminelles. A 9h locales, lorsque l'audience a commencé, les deux accusés n'étaient pas là. Le tribunal a alors accordé un délai de 30 minutes au couple qui a fini par arriver. La femme portait un voile noir.
Cette affaire a eu des échos à l'échelon international car l'accusée, âgée de 49 ans, est la veuve d'un des deux hommes qui avaient tué le commandant afghan Ahmed Shah Massoud, deux jours avant les attentats terroristes du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. Cette femme, qui passe pour une salafiste convaincue, gérait sa propre page Internet appelant à la guerre sainte quand elle vivait en Suisse.
Rentrée en Belgique en 2006, elle était depuis interdite d'entrée en territoire helvétique. Elle est mariée, selon les rites islamiques, au principal accusé, un Tunisien de 39 ans, domicilié à Guin, dans le canton suisse de Fribourg.
Ce dernier a exploité plusieurs sites Internet avec forums de discussion qui ont été utilisés, avec son accord, comme «vecteurs de l'information par des groupes terroristes», selon l'accusation. Il lui est reproché d'avoir utilisé ces sites en vue de favoriser la propagande de la violence interraciale et d'inciter à la haine et à la violence interraciale. Le site du Tunisien a aussi diffusé des images et des séquences filmées d'exécution et de mutilation d'êtres humains. La femme est accusée d'avoir conseillé, inspiré, encouragé et aidé son époux dans son entreprise criminelle.
L'enquête avait conduit à leur arrestation le 22 février 2005.
Le Tunisien a passé 23 jours en détention préventive et la femme dix jours. Le procès est prévu sur deux jours au maximum et le jugement devrait être rendu ultérieurement.
Updated 27/12/07
De fait, je trouve (seulement) un CV un peu plus complet à la RTBF:
Menace terroriste: Malika el-Aroud interpellée 21 déc 2007
La veuve d'un des assassins du commandant Massoud, Malika el-Aroud, qui a été interpellée dans le cadre de l'enquête sur un projet d'évasion de Nizar Trabelsi, avait été acquittée en Belgique en 2003, mais condamnée en Suisse en juin dernier pour soutien au terrorisme.
Cette Belge d'origine afghane ferait partie des quatorze personnes arrêtées vendredi matin dans le cadre de l'évasion déjouée de Nizar Trabelsi.
Agée de 48 ans, Malika el-Aroud est la veuve d'Abdessater Dahmane, l'un des deux hommes qui ont assassiné, le 9 septembre 2001 dans un attentat-suicide, le commandant Ahmed Shah Massoud, chef de l'Alliance du Nord qui s'opposait aux talibans.
Elle avait été acquittée en 2003 par le tribunal correctionnel de Bruxelles qui jugeait une filière d'envoi de candidats au jihad en Afghanistan.
Partie en Suisse aux côtés de son nouvel époux, la Belge avait été jugée en juin dernier à Genève pour soutien au terrorisme islamiste sur des sites internet. Elle avait été condamnée à six mois de prison avec sursis "pour soutien à une organisation terroriste et complicité de représentation de la violence".
Lire aussi:
Haute surveillance anti-terroriste en Belgique
Bruxelles en état d’alerte
Les mesures dans les transports en commun
Tentative d’évasion de Trabelsi
Nizar Trabelsi : un ancien footballeur passé au terrorisme
Noël sous haute surveillance à Bruxelles
Pas de panique générale sur la ville
Vigilance maintenue jusqu’au 2 janvier
« Nous ne sommes pas terroristes »
mercredi 26 décembre 2007
Ceci n'est pas un gouvernement
SAUVEZ VALERIE !!!
Valérie Begue ?
Une seule adresse:
Sauvez Valérie !!!
et toujours la saga (africa, of course):
- Miss France 2008 sur la sellette
- Miss France sera remplacée
- Miss France fait déjà scandale
- Miss France menacée, manifestation à La Réunion
- La Réunion se mobilise pour sa Miss France
Et le "plus", Grand Barnum:
Tjasa Kokalj, Miss Slovénie (et un peu de Miss Croatie)
Age : 21 ans
Taille : 1,85 m
Cheveux : blonde
Yeux : vert
Ce que cette philosophe voudrait que les autres sachent d'elle :
"Ma devise "chaque jour est un nouveau jour avec de nouvelles idées et des nouveaux objectifs à atteindre."
PS: un peu de douceur, dans ce monde de brutes !
A Charlie Brown Christmas
mardi 25 décembre 2007
Je vous souhaite un Noyeux Joël
PS: la semaine prochaine, j'enlève le haut !
Le Grand Barnum, le blog qui tient ses promesses.
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La Fabuleuse Histoire Du Père Noël 1/3
Le père Noël serait en fait … Kirghize
Le gouvernement du Kirghizistan a ordonné une enquête pour prouver que le père Noël habite dans cette petite république d’Asie centrale. La semaine dernière, des scientifiques suédois ont affirmé que, pour des raisons pratiques, le père Noël devait vivre dans ce pays. « L’agence d’État du Tourisme a toujours été convaincue que le père Noël habitait à nos côtés, et enfin des scientifiques suédois ont prouvé cet état de fait », a déclaré l’enquêteur en chef de l’Agence d’État pour le tourisme. Les Kirghiz ont jusqu’au 20 décembre pour envoyer tout document susceptible de révéler le domicile du père Noël, une chasse à l’homme qui s’annonce difficile dans ce pays très montagneux où de nombreux villages sont difficiles d’accès en hiver.
L'homme qui vaudrait 40 milliards de dollars
Le magot caché de Poutine attise les curiosités
Après Die Welt (Berlin), le Washington Post et le Moscow Times, le quotidien londonien se fait l'écho de rumeurs sur la fortune cachée de Vladimir Poutine. Alors que le président russe s'apprête à passer le pouvoir à son dauphin Medvedev, les langues se délient. Poutine posséderait des parts dans plusieurs grandes entreprises russes, et sa fortune personnelle avoisinerait les 40 milliards de dollars, ce qui ferait de lui l'homme le plus riche d'Europe. De quoi attiser les convoitises au Kremlin…
« L’écart entre les riches et les pauvres est le plus grand problème national »
"LE LEADER POLITIQUE LE PLUS CORROMPU DE L'HISTOIRE"
Interrogé cette fois par The Guardian, Stanislav Belkovsky avance que le chef de l'Etat russe détient d'importantes participations dans trois compagnies russes du gaz et du pétrole, à travers "des compagnies offshore opaques". Selon ce politologue, M. Poutine contrôle "dans les faits" 37 % des parts de Surgutneftegaz, une société de prospection pétrolière, également troisième producteur pétrolier russe. Il détiendrait également 4,5 % du géant Gazprom, et "au moins 75 %" de Gunvor, une compagnie de négoce pétrolier basée en Suisse et fondée par Gennady Timchenko, un ami du président Poutine, toujours selon Stanislav Belkovsky.
Si ces informations sont exactes, elles feraient du président russe l'homme le plus riche d'Europe, et le placerait parmi les dix premières fortunes mondiales.
Le quotidien russe The Moscow Times relevait, le 28 novembre, que les capitaux détenus par M. Poutine feraient de lui "le leader politique le plus corrompu de l'histoire mondiale, largement devant Ferdinand Marcos aux Philippines et Mobutu au Zaïre".
Thaksin Shinawatra
L’ex-Premier ministre thaïlandais, chassé par un coup d’Etat en 2006 et accusé de malversations financières, revient. Dimanche, son parti a remporté les législatives.
Sa nouvelle passion serait le club de football anglais Manchester City qu’il a acquis en juillet dernier.
«Si je reprends des activités politiques, ma femme va demander le divorce»
Visite de M.Thaksin Shinawatra en France les 9-11/10/ 2005
Son fils, Panthongtae, a mené campagne dans les provinces thaïlandaises aux côtés des cadres du Parti du pouvoir du peuple, la formation qui représente les intérêts du clan Thaksin. Bref, tout indique que le virus de la politique continue à travailler cet homme hyperactif de 58 ans, dont la devise est «oser penser, oser agir».
Dès l’annonce des résultats, Thaksin a appelé le leader du Parti du pouvoir du peuple pour le féliciter de sa large victoire électorale,Samak Sundaravej et probable prochain premier ministre de Thaïlande.
Comme dans tous les pays du monde
Dès l’ouverture de sa toute première session et séance, les propos s'axaient sur la lutte contre la pauvreté en Russie et Jores Alfiorov, le doyen de l’assemblée, déclarait:
« L’écart entre les riches et les pauvres est le plus grand problème national »Plusieurs partis avaient mené campagne électorale avec des slogans, tels que:
« une justice sociale » dans un État paternaliste.Pour plus d'informations sur la Russie, consultez ici, le site (en français) de l'agence Novosti.
A l'heure de la rédaction de ce billet, il est assez révélateur de constater que les principales sources d'inquiètude en Russie sont :
- L'ABM en Pologne et en République tchèque est une tentative d'affaiblir le potentiel nucléaire russe (MID)
- La dynamique des relations russo-américaines au coeur d'un entretien téléphonique Poutine-Bush
- Russie: les exportations d'armements dépasseront 7,2 mds USD en 2007 (officiel)
- Le contrat sur la vente d'un lot de BMP-3 à la Grèce sera signé d'ici l'été 2008 (officiel)
- Reprise des négociations sur la coopération technico-militaire entre la Russie et l'Iran
- Pékin exige que Moscou lui transmette des technologies nucléaires
- Rumeurs d'attaque contre l'Iran
lundi 24 décembre 2007
Miss France sera remplacée
Ksenia Soukhinova de Tioumen a remporté le titre de Miss Russie 2007
dimanche 23 décembre 2007
Flahaut traite son successeur de « con »
André Flahaut a aussi accusé son successeur de vouloir "mettre en oeuvre une politique de droite".
L'ancien ministre socialiste a ajouté qu'il avait expliqué à son successeur, lors du passage de témoin vendredi matin à M. De Crem, que la formule du Service volontaire d'utilité collective (SUC) existait et qu'il pouvait la mettre en oeuvre."
"Je veux débarrasser la Défense de son image de machine qui engloutit de l'argent. L'armée coûte 2,7 milliards d'euros par an. Les gens se demandent:
qu'est-ce que j'y gagne? Je veux leur montrer le return on investment"André Flahaut « était sans doute fâché de ne pas être repris dans ce gouvernement, et que cela (ses propos) dit beaucoup sur la manière dont le département de la Défense a été géré pendant les deux dernières législatures »