Qui vont sur l'eau ont-ils des jambes ?
Mais oui mon gros bêta
S'ils n'en avaient pas
Ils ne march'raient pas
"des propriétaires "véreux" continuent de profiter de la pénurie actuelle"
Me Jean-Jacques Loumaye de l'Association des propriétaires de kots namurois s'insurge:
"Tout ça, c'est du baratin"
"C'est un effet d'annonce. Il faudrait pour cela changer la loi fondamentale sur les loyers qui relève du code civil, en insérant des dispositions spécifiques pour les kots ou les petits logements, qui vont à l'encontre de la liberté contractuelle (article 1.134). Comment parvenir à justifier une telle modification ? Avant d'aboutir à un consensus et d'avoir une loi bien ficelée, il faudrait des années. En outre, les lois sur les baux à loyer dépendent du fédéral.
Le ministre Marcourt n'est donc pas compétent"
"Le système de bonus en application dans le monde financier est "scandaleux""
Martin Buxant sévit encore une fois dans LaLibreBelgique, avec l'interview de rentrée politique de Bart De Wever que je vous recommande, extrait:
La "doctrine Maddens" constitue-t-elle vraiment la ligne de conduite du gouvernement flamand en matière communautaire ?
Oui, on peut dire cela, si l’on considère que la doctrine Maddens c’est ne plus retourner à la table des négociations tant que l’autre communauté n’est pas demanderesse, et aussi l’idée que la Flandre ne va plus aider la Belgique avec ses surplus budgétaires. La Flandre ne peut plus. Elle n’a plus d’argent. A partir de 2012, nous devrions avoir minimum 1 milliard de surplus, mais il est bien prévu dans l’accord gouvernemental que ce surplus servira à gérer la Flandre ! Et là cela correspond au troisième volet de la doctrine : utiliser au maximum les compétences que l’on a pour faire tout ce qu’on peut, dans l’esprit de l’assurance-dépendance qui existe déjà.
Le complément de cette interview, se trouve ici:
"Milquet n’a pas encore compris !"
La lecture que propose Bart De Wever de la situation politique me paraît correcte (voir dans La Libre):
1. Le contentieux linguistique est dépassé mais les francophones ne le savent pas ou font semblant de ne pas le savoir: ils continuent à revendiquer des territoires qu’ils n’obtiendront pas et qui ne sont d’aucune utilité pour la solution des problèmes structurels qui se posent à la région bruxelloise;"Aucun sujet ne peut être passé sous silence. Ni les questions concernant le fonctionnement de la Justice, ni la problématique, par exemple, des tensions entre d'une part la liberté de la presse et d'autre part le secret de l'instruction et la présomption d'innocence, ou encore la question de savoir s'il est souhaitable qu'un service de police s'immisce de facto dans la question de l'opportunité des poursuites à entamer à l'égard de quelle personne et pour quels faits"
Les partis politiques dont des députés ont participé à la mission du en Californie au printemps dernier ont intégralement remboursé le coût de ce voyage, « jusqu’au centime d’eurocent »
« Les engagements ont été tenus et le décompte final, complet et minutieux, va jusque dans l’extrême détail : les avions, les hôtels, les interprètes, même les bouteilles d’eau achetées lors des déplacements… Il n’y aura eu au final aucune dépense imputée au Parlement wallon »
Ce qui est rassurant néanmoins, c'est que la nouvelle ministre (du moins dans cette discipline francophone, mais pas de cet Exécutif qui a lourdement fauté lors de la législature précédente - ce que ne manquera certainement pas de souligner Françoise Bertieaux, chef de groupe MR au parlement de la Communauté française, qui sera l'invitée de la même émission demain matin )
Lire aussi:
Simonet veut faire la promotion des bonnes écoles
La ministre de l'Enseignement obligatoire Marie-Dominique Simonet compte travailler ces prochaines années à mettre en évidence des projets pédagogiques d'école intéressants indique-t-elle lundi dans La Libre Belgique, La Dernière Heure et Vers l'Avenir.
Il ne s'agit pas de faire la publicité des écoles en question, mais bien de leur projet pédagogique, précise-t-elle en réponse aux parents qui ont le réflexe d'inscrire leur enfant seulement dans une vingtaine d'écoles très connues et médiatisées.
La ministre évoque aussi l'idée de valoriser l'apprentissage acquis par les élèves qui quittent l'enseignement obligatoire sans avoir obtenu leur diplôme - mais qui ont "quand même appris quelque chose" - de manière à compléter plus facilement ce qui n'aurait pas été réussi.
Mme Simonet rappelle par ailleurs que les préretraites d'enseignants à partir de 55 ans sont garanties jusqu'en 2011, mais qu'au-delà, il faudra aborder la discussion autour de ce système "coûteux", alors que "l'on a besoin d'enseignants".
L'année scolaire qui commence en Flandre sera mise à profit pour informer les parents d'une disposition qui s'appliquera à la prochaine rentrée. Pour entrer en première année primaire, un enfant aura dû fréquenter une école maternelle néerlandophone reconnue pendant au moins 220 demi-jours l'année qui précède. Si ce n'est pas le cas, il devra passer une épreuve établissant son niveau de connaissance du néerlandais.
"Concrètement, ce que je veux, c'est que le demandeur d'emploi qui vient au Forem n'ait plus qu'un seul référent. Un coach qui va le suivre depuis son inscription jusqu'au moment où il décrochera un travail. (...) Cela doit permettre de donner un visage au Forem"
Le journal montois La Province (Sud-Presse) nous apprenait samedi que Michel Daerden, tout frais (?) ministre fédéral des Pensions, avait « sollicité» Didier Donfut pour l’assister de son « expertise» dans le secteur desdites retraites. Oh, un job à temps très partiel, vous savez, quelque chose comme une demi-journée par semaine. Trop peu sans doute pour un marché soumis à une procédure d’appel d’offres avec concurrence, rassurez-vous. Au taux habituel de notre expert poly-compétent, cela devrait faire quelques dizaines de milliers d’euros par an au plus.
"En collaboration avec le Musée de l’Europe et la Cité de l’Immigration à Paris, l’Atomium se propose de retracer 200 ans l'histoire des étrangers et de l'immigration en Belgique. A travers une chronologie, des thèmes et des histoires individuelles, il s'agit de saisir le destin collectif des groupes et des communautés et de mettre en relief l'importance des apports des cultures immigrées en Belgique."
En 1946, la Belgique manquait de main-d’œuvre pour ses charbonnages, ses industries métallurgiques, ses carrières… et l’Italie, de charbon.
Des accords officiels furent donc conclus, le 20 juin 1946, entre le gouvernement et les entreprises belges d’une part, et les autorités italiennes,d’autre part.
"Des mesures nécessaires seront prises, si les informations relatives aux agissements du directeur de la Maison flamande à New York se confirment"
”Le procureur général a décidé d’inculper l’ancien Premier ministre Ehud Olmert et sa secrétaire personnelle Shula Zaken”
”Le dossier d’inculpation a été présenté aujourd’hui (dimanche) au tribunal de district de Jérusalem”
Comment rendre Liège plus séduisante, plus attractive ? McKinsey a été chargé de réfléchir sur la question. Et pour son rapport, le bureau d’études a consulté les patrons et les responsables politiques. Résultat : 10 axes de développements sont pointés, de l’aéronautique à l’agroalimentaire, en passant par l’énergie ou la formation. Le rapport relève des manquements dans la gouvernance économique de la province de Liège… trop de politique, trop de projets et pas assez de visibilité, bref… il faut une plus grande implication des entrepreneurs, une meilleure stratégie,…
« Une analyse consensuelle », estime Didier Van Caillie (HEC-ULg) dans les colonnes de La Libre Belgique. Qui ajoute quand même une note positive : « cela fait 20 ans, dit-il, qu’on parle de redéploiement dans la province de Liège, et je peux vous dire que les choses ont évolué ».
"Je dis solennellement devant vous que l'écotaxe, ce nouvel impôt que nous annonce le Premier ministre, est (...) un impôt absurde, un impôt injuste, un impôt historiquement décalé dans le temps"C'est "un impôt insupportable pour toutes celles et tous ceux qui n'ont pas le choix entre acheter un véhicule polluant, puisqu'il n'y a que ça sur le marché, et acheter une voiture électrique parce qu'à cause de la faiblesse de la politique gouvernementale, celle-ci n'est pas encore fabriquée en grand nombre"
"De quel droit un gouvernement va-t-il assommer d'impôts les familles alors qu'elles n'ont pas le libre choix de rouler propre? Retirez cet impôt, M. Fillon, et mobilisez votre énergie pour la montée en puissance de l'industrie automobile française pour mettre massivement sur le marché des voitures électriques pas chères pour que les familles puissent choisir"