samedi 31 octobre 2009

Michel aux mains d'argent

Alarmino !

Marino Keulen, nouveau candidat à la présidence de l'Open Vld et spécialiste des "décisions juridiques", au cours de l'émission télévisée de la VRT "Ter Zake":

"Le PS doit faire attention à ne pas mettre en pièces la Belgique à laquelle il tient tant en empêchant un certain nombre de réformes"



Twitter Side:
gasselman Zou Marino Keulen's schoonmoeder hem morgen nog binnenlaten? Nog voor de haan 3x kraait hft hij haar 3x verloochent... ;-) #terzake

Phineas_Barnum Alarm ! Marino #Keulen aurait des visées sur la présidence de l'Open Vld !


Lire aussi:
Le Conseil de l’Europe demande une procédure de surveillance de la Flandre

La Commission institutionnelle du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux du Conseil de l’Europe, réunie ce vendredi 31 octobre à Strasbourg, a approuvé à l’unanimité les projets de résolution et de recommandation qui portent sur l’affaire de la non-nomination par les autorités flamandes de trois bourgmestres francophones de communes à facilités dans la périphérie de la Région de Bruxelles (Lien: Communiqué de presse du Conseil de l'Europe). Il s'agit de Damien Thiéry (Linkebeek), Arnold d’Oreye de Lantremange (Crainhem) et François van Hoobrouck (Wezembeek-Oppem).

Les rapporteurs Michel Guégan (France) et Dobrica Milovanovic (Serbie) ont présenté un projet de résolution qui demande notamment d’entreprendre un "monitoring général" de l’application de la Charte européenne de l’autonomie locale, lié en particulier aux cinq manquements à la Charte constatés par les rapporteurs au cours de leur mission d’enquête en mai dernier (Lire: Le Conseil de l'Europe épingle les dénis d'égalité de traitement et de démocratie; Le Conseil de l'Europe juge l'attitude de la Flandre inacceptable).

La « sorcière violette »

Margot Honecker : Une campagne visant à « discréditer la RDA » a lieu en ce moment en Allemagne ...

« Il n’y a pas une émission de débat, un seul film ou un seul programme d’information qui n’essaie pas de discréditer la RDA », dit-elle. Avant de réjouir : « mais cela ne marche pas ». « 50% des Allemands de l’Est disent que leur vie est pire sous le capitalisme, qu’ils avaient une belle vie en RDA, affirme-t-elle. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent, mais les gens pensent de plus en plus à ce qu’ils avaient en République Démocratique »


mercredi 28 octobre 2009

Remise du prix du courage politique

Remise du prix du courage politique

NB: J'aurais aimé l' "embedded" de la vidéo, ... mais bon ...

Quoi qu'il en soit:

Bravo ! RT @Gilles_VDB Interview d' @alaingerlache recevant le Prix de BPlus http://bit.ly/2VdKEw

AlainGerlache Merci @ tous ceux et celles qui m'ont transmis leurs félicitations pour le Prix B Plus. C'est très gentil.

Didier Donfut re à l'IGH à Mons

Brève: A la majorité des membres présents du conseil d'administration de l'IGH réuni hier soir à Mons, Didier Donfut a été élu président de cette Intercommunale.
Il est clair que cette nomination proposée par lui même dans les conditions connues de tous ne peut que poser problème à l'éthique politique et à la déontologie.

Le Conseil de déontologie interne au PS va-t-il se mettre en branle ?


Lire aussi:
Didier Donfut est l'invité de Matin Première

Updated: C'est le futur Prix Nobel Wallon qui a inopinément remplacé Donfut sur Matin Première ce matin ...

Un homme qui a appréhendé très tôt la dimension sociale
Didier Donfut, via sa société, travaillait aussi pour la Socofe, un holding wallon (et structure publique) actif dans le secteur de l'énergie, dont le ministre Jean-Claude Marcourt vient de quitter précipitamment la présidence.


Donfut se recase à la tête de l’IGH
Sorti par la petite porte il y a quelques mois, Didier Donfut est rentré par la grande fenêtre, hier soir à Mons : sa mission de consultant parallèle à sa fonction de ministre auprès de l’IGH (l’Intercommunale gazière du Hainaut) lui avait valu de perdre son poste de ministre.

Le PS va créer un Conseil de déontologie interne
Le congrès du PS a approuvé dimanche à l'unanimité moins 6 abstentions une modification des statuts du parti sur le plan déontologique. Elles instituent entre autres un Conseil de déontologie au lieu du Comité d'audit actuel.
Après la tourmente des affaires, un article insiste sur le respect des valeurs du PS. "Placée au-dessus de tout intérêt individuel ou privé, leur action s'exerce sans esprit de lucre ni favoritisme quelconque", dit-il. Et les statuts précisent qu'un contournement des règles par des moyens formellement réguliers peut être sanctionné de la même manière qu'une violation des règles.
Le Bureau du parti sera par ailleurs chargé d'édicter les règles déontologiques. Le Conseil de déontologie rendra des avis sur le respect des statuts et des règles déontologiques. Il assumera aussi une mission d'instruction et rendra des avis préalables à la demande d'un membre ou d'une instance du parti.
En cas d'atteinte grave à l'intérêt général et à la réputation du parti, ou de refus manifeste de collaborer, le collège des président et vice-présidents du parti pourra proposer au Bureau l'exclusion pure et simple du mandataire.

dimanche 25 octobre 2009

Un "négociateur solide"

La Commission européenne semblerait contre le "monopole" de GDF Suez bétonné jusque 2025 pour le marché belge, via le "protocole d'accord" conclu cette semaine. Également, aucun rôle pour la CREG ne semble prévu, alors que l'Europe réclame des régulateurs forts et indépendants pour veiller à une concurrence loyale.


Jean-Pierre Hansen, le patron d'Electrabel qualifie Paul Magnette de

"négociateur solide"
"Vous pensez vraiment qu'on peut dicter sa loi à un ministre comme Magnette... Et je ne parle même pas de Laurette Onkelinx, de Didier Reynders ou d'Herman Van Rompuy"


A propos de la "pax electrica" I et II:

"Ces 'pax' étaient dans le fond un engagement unilatéral du groupe vis-à-vis du gouvernement. Ici, on a une relation contractuelle, conventionnelle, permettant un contrat-programme"


A propos de la menace de GDF Suez de quitter la Belgique:

"On n'allait pas démonter les centrales boulon par boulon, évidemment, ni abandonner nos activités dans les services aux collectivités. Mais la question de notre implication en Belgique s'est posée.
Malgré les investissements répétés du groupe en Belgique depuis cinq ans, nous prenons coup sur coup"