samedi 14 août 2010

Gens les + aisés

GillesKLEIN "5% des gens les +aisés paient les 50% de nos impôts" Tribune de Geneve http://bit.ly/ccyKGE


Lire aussi:

Les familles belges sont les plus riches de la zone euro, ressort-il de chiffres de l'Office européen de statistiques Eurostat.
Le patrimoine financier des Belges a atteint fin mars 916 milliards d'euros, c'est-à-dire 210% du PIB, soit le taux le plus élevé de la zone euro.
L'Italie et l'Allemagne figurent loin derrière en deuxième et troisième position des pays avec le patrimoine net des ménages le plus élevé.
Fin juin 2007, au moment où les indices boursiers étaient au plus haut, ce patrimoine était estimé à 882 milliards d'euros. Le creux a été atteint à la fin de l'année 2008, avec un plus bas de 795 milliards d'euros.
L'important patrimoine des familles belges n'est pas tellement imputable aux placements à succès mais au comportement enthousiaste des Belges pour l'épargne. Une famille belge moyenne possède 156 000 euros d'épargne et de placements.
Les Belges épargnent beaucoup car la dette de l'Etat est élevée, avancent les économistes d'ING Oscar Bernal et Philippe Ledent. Les familles anticipent les hausses futures des impôts en mettant beaucoup d'argent de côté. Ce qui explique pourquoi la Belgique a des familles riches et un Etat pauvre.

The Power of Nightmares V1-1/6

vendredi 13 août 2010

Bruxelles n’est pas à vendre

Bruxelles n’est pas à vendre


Si l’objectif réel des Flamands est l’indépendance du pays via
l’annexion de Bruxelles, il faut le dire clairement et ouvrir la négociation
franche et directe de la scission du pays.


Phineas_Barnum
Il aura juste fallu 3 ans à certains pour commencer à comprendre ...

Ceci dit, c'est bien l'essence même du #fail mailto:d dans ces négos: ne pas l'avoir encore intégré #déformateur

Opération réalisée par un provincial profond et régionaliste, effet de bord du premier qualificatif

Ne parlons pas de l'inexistant PS (ont été priés de la boucler ? - vices absents, ..) mais de la seule vanité d'EDR qui guide

Le formateur est toujours dans le pré


Lire aussi:
Bruxelles n’est pas à vendre

L’édito de Béatrice Delvaux
Personne ne sait à cet instant si les négociations institutionnelles aboutiront. Mais les Flamands ont déjà obtenu la certitude d’un déplacement du centre de gravité de la Belgique.
Personne ne sait à cet instant si les négociations institutionnelles aboutiront. Mais les Flamands ont déjà obtenu l’acquis majeur : si un accord se conclut, le centre de gravité de la Belgique sera déplacé, des compétences larges seront transférées du Fédéral aux Régions. Ce qui était refusé en 2007 est aujourd’hui accepté. L’ampleur du transfert est maintenant l’objet du débat ; le principe, lui, n’est pas remis en cause.
D’accord donc pour une large réforme de l’Etat mais non, absolument non, à une mise sous tutelle, voire une absorption de Bruxelles par la Flandre de façon déguisée. Or c’est ce qui se profile si les Francophones succombent aux demandes de communautarisation – et non plus de régionalisation – des compétences, qui émanent soudain de Flandre.
Pas question en effet que la réforme actuellement négociée conduise à ce que dans quelques années, les Flamands puissent finalement considérer que Bruxelles est devenue leur propriété, favorisant dès lors une indépendance facile.

Strombeek: une pétition contre le français dans un club de foot
Le climat reste parfois tendu entre néerlandophones et francophones en périphérie bruxelloise. A Strombeek, une pétition signée par plus de mille personnes, exige qu'on ne parle plus français pendant les entraînements du club de foot local, alors que la majorité des jeunes joueurs est francophone.

Updated:

Oorlogstaal
PETER DE LOBEL vindt dat 'Le Soir' vorige week danig over de schreef is gegaan. De krant mengde zich in het debat over de staatshervorming door zich nadrukkelijk te gedragen als een politieke partij en niet als een journalistiek medium.
Op krantenredacties over heel het land - zowel in het Vlaamse, het Waalse als het Brussels Hoofdstedelijk Gewest - is de laatste weken angstvallig naar nieuwe manieren gezocht om 'het probleem Brussel' te belichten. Bij onze collega's van Le Soir leidde dat vrijdag tot een... nogal gekleurde krant.

Hoofdredactrice Béatrice Delvaux zette de toon met haar édito, voor de gelegenheid afgedrukt op de voorpagina. 'Er kan geen sprake van zijn dat de inwoners (van Brussel, red.) anders bestuurd worden naargelang dat ze Vlamingen of Franstaligen zijn of zeggen dat te zijn', klonk het strijdlustig. 'De Franstaligen zullen Brussel niet laten vallen. Uit principe én uit economische en culturele belangen.' Nu goed, in het édito van de hoofdredactie mag het al eens kletteren, daar dient zo'n commentaar voor.

Vendredi 13

jeudi 12 août 2010

"de juiste man op de juiste plaats"

69% des Flamands soutiennent Bart De Wever et 48% denken dat Elio is "de juiste man op de juiste plaats" .... soyons confiants en l'avenir !

Elio di Kaapo , le copain des nationalistes : http://bit.ly/cvuqx6 - RT @eliodirupo Soyons confiants en l'avenir

Vendredi cela fera deux mois. Et les belges n'ont toujours pas le droit de savoir ce qui se trame dans leur dos. #beGov





Lire aussi:

La double révolution copernicienne
Régional, communautaire, provincial, local…, on attend un Etat plus impartial. Qui se mette un peu plus au service de la société et un peu moins au service des réseaux politiques.Une opinion de Donat Carlier et Luc Van Campenhoudt, éditorialistes à la Revue nouvelle.

Le centre de gravité belge doit passer de Etat fédéral aux entités fédérées, a affirmé Elio Di Rupo, préformateur. La réforme sera donc une véritable "révolution copernicienne", explique-t-on partout, ou bien le pays s’enfoncera d’un seul coup beaucoup plus profondément encore dans une grave crise de régime qui le rendra ingouvernable. L’alternative est aussi simple que la tâche est "titanesque", selon les termes stratégiquement choisis du même Elio Di Rupo.

mercredi 11 août 2010

Bartine à la mer


"A bonnes sources" ...

Dans la foulée des accords de 1980, les autorités néerlandophones ont choisi Bruxelles comme capitale de la Communauté flamande, passant par ailleurs outre un avis du Conseil d’Etat. Il aurait été incontestablement encore plus difficile de le faire avec une unique Région flamande. Comment justifier le choix d’une capitale en dehors du territoire d’action d’une administration ? Bruxelles n’est donc pas à proprement parler la capitale de la Flandre en tant que Région, mais celle de la Communauté flamande.


Phineas_Barnum Phineas_Barnum Depuis combien de temps il nous fait perdre notre temps avec sa formule foireuse ? @lechecdUNhomme

Phineas_Barnum "A bonnes sources" ... allez hop ! On a lâché le leurre pour les piliers de comptoir des Cafés du Peuple #Bruxelles



Communautariser Bruxelles : "impraticable"
La Région-capitale demeure le nœud des négociations. N-VA et CD&V maintiennent une vision qui mène à la cogestion.

Régionalisation contre communautarisation. C’est un des nombreux terrains de mésentente entre francophones et néerlandophones quant à la forme que doit prendre la réforme de l’Etat. Plus nettement encore entre francophones d’un côté, N-VA et CD&V de l’autre. Et il risque fort bien de miner encore les négociations à venir, si celles-ci parviennent bien sûr à démarrer.

Pour mieux saisir la question, il faut revenir à 1980, année de la réforme de l’Etat qui a vu naître formellement régions et communautés. A l’exception notoire de Bruxelles qui, mise au frigo, comme on le formulait à l’époque, ne fut installée comme institution régionale que 9 ans plus tard. Dès le début des années 80, les néerlandophones ont choisi de "fusionner" communauté flamande et région flamande dans une et même entité. En réalité, il s’est surtout agi de vider la Région flamande de ses compétences (liées au territoire) pour les placer sous l’égide de la Communauté. Celle-ci est évidemment compétente pour les flamands de Flandre mais également pour les Flamands de Bruxelles pour ce qui est des matières personnalisables. Ainsi, ce que l’on nomme le plus souvent gouvernement flamand ou Parlement flamand sont juridiquement les gouvernement et parlement de la Communauté flamande, agissant en dehors des frontières de la Région. Le portail des services publics belges renvoie d’ailleurs, sur sa page consacrée à la Région flamande, aux "informations sur la Communauté flamande".

"Ce n’est pas pour cela que la Région n’existe pas, indique Dave Sinardet, politologue à l’université d’Anvers. Les politiques relevant des compétences régionales sont bien mises en œuvre par la Région et son administration. La fusion a été uniquement opérée au niveau politique."


"Le pire n’est pas imaginable"

J+58
Pierre Verjans estime qu’il n’y a pas encore lieu de s’inquiéter. Il constate que l’on continue à discuter. Ce qui change de 2007.

Pierre Verjans est politologue à l’Université de Liège. Il refuse de céder à la panique.

Cela fait 58 jours que l’électeur a rendu son verdict. Et nous sommes toujours sans gouvernement. Faut-il s’inquiéter ?

On peut toujours s’inquiéter parce que personne ne peut prévoir l’issue de ce genre de négociations. Mais on savait dès le départ que cela allait être long. D’autre part, ce n’est pas exceptionnel. Les Hollandais avaient voté avant nous. Ils n’ont pourtant toujours pas de gouvernement non plus. L’avant-dernière fois que les Allemands sont allés aux urnes, ils ont dû attendre deux mois avant d’avoir une majorité. Le système proportionnel provoque souvent de grandes disparités dans la représentation politique. Cela complique forcément la formation des gouvernements.

mardi 10 août 2010

FIFA et la candidature belgo-néerlandaise

Évaluations des coûts : RTBF.be Vidéo: Vidéo de JT 19h30

Updated: Leterme: “Je peux garantir que l’organisation de la CM ne se fera pas aux frais du contribuable ! Le monde du foot doit être capable de mettre de l’argent sur la table et d’apporter des garanties financières.”






Lire aussi:
Football et politique: deux domaines distincts, selon Leterme
"La situation politique n'a pas d'influence négative sur la candidature belgo-néerlandaise", selon Leterme. "Tous les niveaux de pouvoir soutiennent notre candidature", a-t-il expliqué à la Commission d'inspection de la FIFA, en visite au Lambermont.


CM 2018: “Le contribuable ne paiera pas”
Deuxième jour de visite dans les plats pays qui sont les nôtres pour les experts de la Fifa (Fédération international de foot). Ils évaluent jusqu’à jeudi la candidature belgo-néerlandaise pour l’organisation de la Coupe du Monde (CM) de football 2018 ou 2022.

Pour ce faire, ils ont notamment eu un contact hier avec le monde politique belge représenté par le Premier ministre Yves Leterme (CD&V). Rencontre à l’issue de la réunion.

M. Leterme, comment s’est passée cette rencontre ?

“C’était une réunion constructive qui a eu lieu dans une bonne atmosphère. Nous avons réitéré le soutien de l’ensemble du monde politique à notre candidature.”

C’est important ?

“C’est crucial aux yeux de la Fifa et des membres du jury qui feront le choix final. Aujourd’hui, par le biais de nos différents gouvernements, plus de 90 % de la face politique en Belgique supporte la candidature.”

La Fifa est inquiète de la situation politique en Belgique ?

“Le sujet n’a pas été abordé. Vous savez, chaque pays a ses élections et ses problèmes. Cela n’influence pas le choix de la Fifa.”

À quelles conditions la CM pourra-t-elle se tenir chez nous ?

“Je peux garantir que l’organisation de la CM ne se fera pas aux frais du contribuable ! Le monde du foot doit être capable de mettre de l’argent sur la table et d’apporter des garanties financières.”


Bruxelles: quel stade pour la Coupe du Monde 2018 ?
Le bourgmestre et les échevins de la Ville de Bruxelles reçoivent la délégation de la FIFA, ce mardi. La fédération internationale de football vient discuter de la candidature belgo-hollandaise pour l'organisation de la Coupe du Monde en 2018. Un point noir : le stade. Le Heysel devrait alors être adapté.
Les petits plats dans les grands à l'Hôtel de Ville de Bruxelles, ce mardi. Les cinq inspecteurs de la FIFA viennent rencontrer les autorités bruxelloises. En tête, ils ont une question : la capitale est-elle capable d'accueillir la Coupe du Monde de football en 2018 ? Cela, dans le cadre de la candidature belgo-néerlandaise. Le stade, il n'en sera pas encore vraiment question, puisque les travaux n'ont pas encore commencé. Pourtant, on le sait, la Ville et la Région bruxelloise ont le projet d'ériger un nouveau grand stade international, en place et lieu de celui du Heysel.

Déconstruire le démocratisme

C'est fou comme la propagande officielle est efficace. Osez suggérer que la démocratie parlementaire pourrait ne pas être le nec plus ultra des régimes politiques, et vous aurez les mêmes réponses toutes faites, qui ont dû être inlassablement répétés pour rentrer ainsi identiques dans les têtes de millions d'occidentaux. Ces réponses ne nécessitent aucune réflexion, ce sont des réflexes défensifs; ils servent justement à interdire toute réflexion, ce sont des méthodes d'arrêtducrime orwellien, permettant d'éviter tout crimepensée contre l'orthodoxie officielle.
Tout d'abord, il y a bien sûr, chez les semi-cultivés, l'argument d'autorité, avec la citation de Churchill "la démocratie est le pire des régimes — à l'exception de tous les autres". L'avantage est que la citation étant une boutade, on pourra condescendre à vous trouver un manque d'humour si vous osez la prendre au sérieux de façon critique, mais vous ferez partie de la joyeuse bande si vous la prenez au sérieux comme argument d'autorité pour abandonner tout sens critique.
Dans la lignée de Churchill, il y a bien sûr le point Godwin. Si vous osez critiquer la démocratie, vous êtes ipso facto un partisan de la dictature, du national socialisme, du communisme, et de tout autre croquemitaine que vous aurez omis de critiquer profusément comme préalable à tout commentaire négatif sur la démocratie. Peu importe qu'une telle critique, ne s'addressant pas à une croyance que possède l'interlocuteur, aurait été par là non pertinente au débat. Toute critique de la démocratie qui ne commence pas par confirmer d'avance la démocratie au sommet est sacrilège. Il est alors de bon ton d'associer toute opinion du sacrilège aux idéologies damnées qu'il a beau nier partager, il participe de leur dérive anti-démocratique; et peu importe si ces opinions sont d'un bon sens universel (Vous affirmez que 2 et 2 font 4? Mais c'est bien ce qu'on enseignait dans les écoles du troisième Reich!), ou ont été en opposition directe avec toutes les idéologies totalitaires, car ce qui importe de la calomnie, ce n'est pas tant la validité logique que l'entâchement par la marque indélébile de l'hitlérie vaincue.

lundi 9 août 2010

En fascisant Sarkozy, la gauche dérape

La politique sécuritaire de la droite est contestable. Mais elle est tout sauf scandaleuse. En fascisant Sarkozy, la gauche dérape.Une opinion de Claude Demelenne, journaliste
(...)
Je suis choqué par l’attitude d’une grande partie de la gauche, qui raconte à peu près n’importe quoi sur l’action du Président français contre la délinquance.


Celle-ci a pris des formes nouvelles, qu’il importe de rappeler. Dans certaines cités, des petits voyous tirent à balles réelles sur les policiers. Ils installent un système mafieux, visant à contrôler des pans entiers du territoire. Terrorisés, les habitants sont obligés de coopérer avec les dealers et les trafiquants. A Saint-Aignan, quelques dizaines de Roms ont attaqué une gendarmerie, pour venger la mort d’un des leurs abattu alors qu’il forçait un barrage policier.

La progression de l’hyper-violence, les menaces contre les forces de l’ordre et la mise à sac de commissariats ne sont pas propres à la France. Chez nous aussi, et particulièrement à Bruxelles, de tels faits gravissimes se reproduisent de façon cyclique : émeutes à répétition dans les quartiers, agressions et racket à la sortie des écoles, braquages et hold-up de bijouteries en série

La délinquance est devenue un mode de vie pour une petite minorité de jeunes caïds, souvent d’origine immigrée. Une telle affirmation n’est pas raciste, mais réaliste, comme l’a relevé récemment le sénateur écologiste flamand de Bruxelles, Luckas Vander Taelen.





Lire aussi:
Morano juge "insultante" et "démagogique" la Une de Marianne sur Sarkozy

Nadine Morano, secrétaire d'Etat chargée de la Famille, a dénoncé lundi sur RMC la Une "insultante" et "démagogique" de l'hebdomadaire Marianne présentant Nicolas Sarkozy comme "le voyou de la République", et elle a estimé que cela est "grave".

"Je ne suis pas étonnée, Nicolas Sarkozy est un élément de la stratégie marketing de Marianne. Pour vendre, il faut des couvertures agressives, démagogiques", a affirmé Mme Morano.

"Les couvertures de Marianne en 2007", qui titrait par exemple "+Nicolas Sarkozy est-il fou+, juste avant les élections, ne l'ont pas empêché de gagner parce que les Français ont leur libre arbitre", a-t-elle ajouté.

Jean-François Kahn, qui était "engagé aux côtés de François Bayrou" en 2007, "ne partage pas du tout les opinions de Nicolas Sarkozy. C'est son choix. Mais une telle couverture, je trouve que c'est grave", a-t-elle affirmé.

"Où est le respect envers le chef de l'Etat qui a été élu au suffrage universel et mène une politique pour laquelle il a été choisi et sa politique validée?", s'est-elle interrogée.