Le Gouvernement Van Cauwenberghe I fonctionnera d'avril 2000 à juillet 2004, avec
José Happart comme ministre de l’Agriculture et de la Ruralité ...
Le Gouvernement Van Cauwenberghe II prendra le relais avec comme ministre de l’Agriculture, de la Ruralité, de l’Environnement et du Tourisme
Benoit Lutgen, dès le 27 juillet 2004.
Extraits de Citoyen/citoyenne de RTL-TVI, du 27 septembre 2009:
Lire aussi:
Nous sommes face à la réalité de l'ultralibéralisme
Benoît Lutgen, rappelant "les nombreuses mesures prises au niveau wallon" - il serait intéressant de rapeller lesquelles, en fait:
"Le dossier doit être examiné en concertation avec les autorités fédérales et régionales""Mais nous sommes face à un mur. Nous sommes face à la réalité de l'ultralibéralisme. Nous devons porter à l'Europe un message unique, tant au niveau des agriculteurs que du monde politique"
Produits agricoles marocains : Les pesticides font mouche
Les produits agricoles marocains ont de nombreux pourfendeurs. Le lobby constitué par des producteurs espagnols en est un et est à coup sûr le plus virulent, mais il n’agit pas seul. Il y a aussi certains députés qui défendent sa cause. Celle de barrer la route aux fruits et légumes pouvant provenir du Maroc.
Un exemple édifiant a été donné par Cristina Guttierrez-Cortines. Cette eurodéputée -espagnole bien sûr- qui défend les couleurs du Parti Populaire Européen, a jeté un pavé dans la mare en révélant qu’il existe un «marché noir» des pesticides et autres produits prohibés au sein de l’Union européenne.
Le Food Law Weekly qui rapporte l’information dons sa livraison numéro 404 datant du 4 septembre, souligne que l’élue européenne a fait savoir que des produits chimiques bannis depuis 50 ans dans l’Union européenne, sont toujours utilisés en Afrique du Nord.
Lait: Lutgen sort de ses gonds à propos de la Commission européenne
Le ministre wallon de l'Agriculture, Benoît Lutgen, s'est accroché dimanche avec un haut fonctionnaire de la Commission européenne, à l'occasion du débat de Mise au Point (RTBF) organisé sur le lait qui n'a pas permis de rapprocher véritablement les points de vue des agriculteurs, des industriels, de la grande distribution, des représentants des consommateurs et des acteurs politiques régionaux, fédéraux et européens.
Dans certains pays, le prix des produits de base continue à augmenter. Le pouvoir d’achat de la population, lui, est en baisse.
L ’image qui décrit le mieux la crise alimentaire de l’année dernière est celle d’un tsunami dévastateur. Aujourd’hui, la situation fait davantage penser à la montée, lente mais inexorable, d’une marée qui emporte un nombre croissant d’individus venus grossir la foule des populations sous-alimentées.
Quasiment occultée par la crise économique, la conjugaison d’un ralentissement de la croissance, d’une hausse du chômage et d’une baisse des transferts d’argent effectués par les émigrés, le tout accompagné de prix alimentaires élevés, a fait passer pour la première fois le nombre de ceux qui ont chroniquement faim à plus de 1 milliard de personnes. La tendance s’est ainsi inversée par rapport au déclin, enregistré depuis un quart de siècle, de la proportion des sous-alimentés dans la population mondiale. “Nous ne sommes pas près de surmonter la crise alimentaire”, déplore Josette Sheeran, chef du Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies à Rome, qui a besoin d’environ 6 milliards de dollars (4,5 milliards d’euros) cette année pour nourrir les plus démunis, soit une hausse de 20 % par rapport au record établi l’année dernière (5 milliards de dollars). “La flambée des prix en 2008 continue à faire sentir ses effets. De plus, les pays voient leurs revenus amputés par la crise financière internationale”, ajoute-t-elle, se faisant l’écho des craintes exprimées par de nombreux autres spécialistes interrogés par le Financial Times. Les migrants quittent en masse les villes et retournent à la campagne, ce qui intensifie la pression, met en garde Kanayo Nwanze, le nouveau président du Fonds international de développement agricole (FIDA) des Nations unies. “Il y aura des bouches supplémentaires à nourrir avec peu ou pas de nourriture.”