samedi 26 juin 2010

Le "Point Barnum",

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Phineas_Barnum Atteindre le "Point Barnum", c'est en arriver à croire que tout se résume dans une Société à un débat gauche-droite #SartreFaceàlaConnerie

vendredi 25 juin 2010

Quand Domenech faisait lui aussi la grève du foot ...




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La folle course de Thierry Henry au mépris du code la route pour voir Sarkorzy

"Le débat est lisse de chez lisse"

Au Parlement Bruxellois
"il n’y a plus eu de débat de fond depuis le 23 avril dernier"
"Certaines séances durent à peine deux heures Quand on fait le bilan de l’activité parlementaire depuis un an, on s’aperçoit qu’elle correspond à celle d’un gros conseil communal."

Depuis juin de l’année dernière, le gouvernement bruxellois n’a déposé que trois projets d’ordonnances, indique-t-il. Et encore, il ne s’agissait que d’adapter une législation existante relative à l’aménagement du territoire, le logement et la revitalisation urbaine. Conséquence : n’ayant rien à se mettre sous la dent, les députés régionaux vont vers la facilité en soumettant au débat des questions comme "l’état de l’aubette de tram devant chez un tel ou le trou dans le trottoir devant chez l’autre". "C’est du sous-localisme", ironise Didier Gosuin.

"Le débat est lisse de chez lisse", commente-t-il encore. "Je comprends qu’une certaine discipline de parti existe mais ici, plus aucun député de la majorité ne semble oser apporter de la nuance aux projets du gouvernement. Il y a pourtant un tas de dossiers très importants, mais il est impossible d’en débattre." Il cite pêle-mêle le réaménagement de la rue de la Loi, l’élargissement du ring projeté par la Région flamande, la montée du communautarisme, l’emploi ou encore l’urbanisation de sites emblématiques comme Delta ou Josaphat. "On entend toujours la majorité dire que Bruxelles n’a plus de moyens, mais n’est-ce justement pas son rôle d’agir pour trouver des recettes et faire des économies, et au besoin, susciter une activité légistique pour ce faire ? Si l’on ajoute à ce tableau le nombre impressionnant d’ordonnances votées sous la législature précédente et qui ne sont toujours pas en application, cela ne fait pas très sérieux au moment où l’utilité de la Région bruxelloise est mise en cause en Flandre. Ce n’est pas comme ça que l’on va combattre les préjugés véhiculés par un homme comme Bart De Wever."




Lire aussi:
Didier Gosuin dénonce l'inactivité du Parlement bruxellois

Le travail législatif au Parlement bruxellois est réduit "à peau de chagrin" depuis l'arrivée au pouvoir de la majorité issue des élections régionales de juin 2009, dénonce jeudi le député Didier Gosuin (MR) dans La Libre Belgique.
Le travail législatif au Parlement bruxellois est réduit "à peau de chagrin" depuis l'arrivée au pouvoir de la majorité issue des élections régionales de juin 2009, dénonce jeudi le député Didier Gosuin (MR) dans La Libre Belgique.

Depuis un an, il n'y a eu que 17 séances plénières de l'hémicycle bruxellois, alors qu'en théorie il en faut une tous les quinze jours. Même en tenant compte du long congé parlementaire, si on enlève les séances purement protocolaires, traditionnelles pour la déclaration gouvernementale, etc, il ne reste pas grand chose.

jeudi 24 juin 2010

Rétrospective de "La Carolorégienne

Tous bleus de Bart !

Voilà que maintenant tout le monde lui fait les yeux doux, nous explique un excellent article de LaLibre, extrait :

La vie politique évolue quand même très vite en Belgique. Il y a quelques jours à peine, jusqu’à la veille des élections, Bart De Wever était considéré par l’ensemble de la classe politique francophone comme "l’homme à abattre" en Flandre, le grand méchant loup, l’infréquentable nationaliste, l’(in)digne représentant d’une frange de la population à la fois séparatiste et républicaine de la Flandre, le non-patriote sensible, voire perméable aux thèses des personnes qui, pour le dire gentiment, n’avaient pas agi en parfaits citoyens pendant la Seconde Guerre mondiale. Oui, rien que cela. De Wever, c’était le pestiféré.

Et voilà que maintenant, tout le monde lui fait les yeux doux et vient lui faire des courbettes ...

mercredi 23 juin 2010

Schouppe, le Daerden flamand

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Phineas_Barnum
Schouppe, le Daerden flamand: http://bit.ly/9AI74W


C'est le Plan mobilité et anti-bruit de Schouppe ...
Dans l'enquête judiciaire sur un éventuel délit d'initié d' Etienne Adolf Schouppe (qui était devenu le 20 décembre 2007 président intérimaire du CD&V), il est également question de transactions suspectes avec des actions Dexia, car il aurait aussi, durant la crise bancaire, vendu ses actions Dexia a un moment suspect, alors qu'il était au Gouvernement.


Lire aussi:
Schouppe op de rooster over Dexia-orders

In het gerechtelijk onderzoek naar mogelijk misbruik van voorkennis door ontslagnemend staatssecretaris Etienne Schouppe (CD&V) is ook sprake van verdachte transacties met Dexia-aandelen. Dat vernam De Tijd uit goede bron. Tot dusver raakte enkel bekend dat het gerecht een verdachte verkoop van KBC Ancora-aandelen onder de loep nam in de zaak-Schouppe.


La décision de Daerden relève d'un "grand stress électoral"
Le bourgmestre faisant fonction d'Ans, Stéphane Moreau (PS), estime que la décision de Michel Daerden (PS) de le priver de son poste relève d'un "grand stress post-électoral" dans le chef du ministre des Pensions.

lundi 21 juin 2010

Le MR au fédéral

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Phineas_Barnum
#Kiadi #WTF "Au MR, nous sommes 18 députés : 15 libéraux qui voteront comme un seul homme ce que l'on aura négocié et 3 FDF. Didier Reynders sait fort bien qu'il y a des éléments de réforme de l'Etat que cdH, PS et nous -c'est-à-dire le front francophone- nous pouvons accepter. Mais peut-être pas le FDF… On surestime terriblement son poids… "

Mruns2bri De Decker plaide pour le MR au fédéral: "poids électoral, tradition, ancienneté du parti" Ca sent vraiment la naphtaline et le velours rouge
@dreynders Bonjour. Une réponse/un commentaire ? http://twitter.com/Phineas_Barnum/status/16672796430 Merci.

Updated:
"Le FDF a fait son travail pour enrayer le recul du MR à Bruxelles et, sans nous, le MR n’aurait pas obtenu un résultat satisfaisant dans la capitale. Nous avons toujours cherché à faire l’unité au sein du MR. Si certains sont dans une logique de division, c’est très regrettable. J’ai entendu certains libéraux au sein du MR qui ne comprenaient pas les propos de M. De Decker. Je voudrais donc savoir si M. De Decker est soutenu et par qui"


Lire aussi:
Tentative de décryptage avec Dave Sinardet, politologue de l'Université d'Anvers et Philippe Walkowiak, du service politique de la RTBF

Dès lors, sur le plan des coalitions, le jeu semble assez ouvert. Et le MR fait clairement des offres de service, ce qui arrangerait bien Bart de Wever.

Dave Sinardet confirme que l'option privilégiée par l'informateur, qui n'est du reste pas démentie par le formateur pressenti, consisterait à prendre le MR dans l'attelage fédéral, afin d'éviter, sur le socio-économique au moins, un gouvernement penchant trop vers la gauche.

Paradoxe : le souhait prêté à Bart De Wever d'appeler le MR à la table ramènerait par la même occasion le FDF à la négociation. "Oui, c'est assez paradoxal", avoue Dave Sinardet, "mais en même temps, un MR avec le FDF dans l'opposition est plus dangereux" pour le PS. "Peut-être que de cette manière le FDF pourrait être un peu neutralisé, si c'est cela le prix à payer pour être autour de la table pour le MR".

Pour Philippe Walkowiak, beaucoup de choses se joueront peut-être en fonction du calendrier électoral, qui ne prévoit plus d'élections -sauf les communales - avant 2014. Si on a une réforme de l'Etat, dit-il, "au PS on peut faire le pari que d'ici 2014, on aura un peu oublié les concessions qu'on aura du faire". De ce point de vue, il n'est pas absolument nécessaire pour le PS d'embarquer les libéraux. Du reste, se pose également la question de la parité nord-sud, l'Open VLD ayant manifestement fait le choix de l'opposition au nord du pays.