samedi 13 décembre 2008

"La séance du conseil communal est ouverte"

Le quorum a été atteint au conseil communal de Huy convoqué ce samedi matin par l'opposition hutoise Ensemble. Micheline Toussaint, l'échevine PS de l'enseignement, Christine Delhaise, l'échevine PS des travaux, et Lulzim Mustafa, conseiller indépendant élu sur la liste PS, étaient présent lors de ce conseil.

C'est leur présence qui a permis à la séance d'être en nombre utile pour délibérer sur le centre hospitalier régional hutois (CHRH), sur le service régional d'incendie (SRI) et sur le dossier de la patinoire.

Le bourgmestre faisant fonction Eric Dosogne n'est pas venu ouvrir la séance.



Lizin : la Fin
Selon des sources concomitantes, un accord a été « signé » la semaine dernière entre les fédérations socialiste et libérale de Huy. Celui-ci doit éjecter Anne-Marie de son trône en janvier prochain. Comment faire bouger Zinzin ? En la rendant indisposée… Pour le reste, pas question de toucher à la majorité ! Entre laïcité, franc-maçonnerie et absence de relève politique digne de ce nom, PS et MR marchent main dans la main. Amour passionnel ou mariage de raison ?

Always Look on the Bright Side of Life

Bye Bye Belgium (II)

Anniversaire !
Le docu-fiction Bye Bye Belgium avait été diffusé à la RTBF le 13 décembre 2006.
Une pierre blanche dans le monde des médias et de l'histoire de la Belgique.

Belgioum, one point surréaliste.
Oeuvre géniale de quelques déjantés bordelines ou suicidaires.


Lire aussi:
Chronique politique: Bye Bye Belgium ?
27.11.08 - 11:28 La chronique politique de Philippe Walkowiak. Jeudi 27 novembre 2008.
Chaque communauté gèrera désormais comme elle l’entend ses propres administrés, Bruxelles doit encore se déterminer, tiraillée entre l’argent flamand et la solidarité francophone. Une structure fédérale minimaliste tentera de structurer ce qui peut encore l’être. En Wallonie, on était demandeur de rien. Rien ou presque n’a été anticipé ; on a l’impression d’avoir été mis devant le fait accompli et les moyens financiers s’annoncent plus que limités. Mais les responsables wallons ont déjà fait savoir que si la Flandre prend trop d’autonomie, la Wallonie se tournera vers la France.
Le président wallon déclare dans Le Soir de ce jeudi Nous croyons en la loyauté de nos amis flamands. Mais nous avons établi des garde-fous.
Nous avons ainsi rencontré les dirigeants de la ligue Nord française et du Luxembourg qui ont accepté de nous accueillir si un jour, les Flamands décidaient d’imposer la sécession sportive.
Cela ressemble à Bye bye Belgium… mais ici ce n’est pas une fiction, simplement la scission du football belge !!


l'émission en entier ( Bye bye belgium )

Un vote en douce à Bruxelles ?

Immigration
Ça va faire tâche dans le bilan de la présidence française de l’Union européenne. Tellement d’ailleurs, que la France a tenté de faire adopter, en catimini, la directive dite «retour» par le conseil des ministres des transports du mardi 9 décembre.

vendredi 12 décembre 2008

Une révolution !

Le collège échevinal de Charleroi a tenu une réunion extraordinaire hier, après avoir pris connaissance de l'arrêt rendu par le Conseil d'Etat, à propos de la construction illégale de tribunes au "Stade du Pays de Charleroi".
Extraordinaire !
Il a été décidé de s'y conformer
et d'entamer les démarches vers la construction d'un nouveau stade, sans qu'il soit encore possible de déterminer qui devrait indemniser les riverains.



L'arrêt du Conseil d'Etat a estimé illégales les tribunes construites au "Stade du Pays de Charleroi" en vue de l'Euro 2000, et contre lesquelles les riverains avaient introduit des recours après un permis de régularisation daté de 2004 de la Région wallonne... introduit par qui ?

Le Pape de la finance sportive wallonne va se déplacer en personne afin d'évaluer les modalités financières de cette déconstruction et de la reconstruction d'un stade, étant entendu que ces travaux ne devraient en rien compromettre les budgets communaux prévus à d'autres destinations.
Le foot, première priorité d'une ville laissée longtemps à la dérive.

Quartier Midi: cela fera 20 ans

La faillite de l’urbanisme par l'incomparable et inénarrable "generaltapioca"

En 2009, cela fera 20 ans qu’aura débuté la saga du Quartier du Midi ou le fiasco de la politique urbanistique dans cette portion de la capitale.
Pour fêter l’anniversaire de ce dossier maudit, une exposition est organisée du 15 janvier au 15 février 2009 au
Pianofabriek.

Le Camarade Picqué ne rêve que de continuer à marquer la Capitale de son génie d'urbaniste.
Va-t-il prévoir son bunker à la sortie du Sénat dans les profondeurs du Parc de Bruxelles ?

jeudi 11 décembre 2008

Georges Rovillard , suite et pas fin

Brève: Georges Rovillard s'est vu signifier deux nouvelles inculpations pour abus de biens sociaux, des faits qu'il aurait commis dans l'exercice des ses fonctions de directeur de l'AWIPH et d'administrateur de l'ASBL "La Géode" qui gère un village de vacances près de Chamonix.

Le philosophe Patrick Declerck

Les SDF, ces contre-exemples qui nous font rentrer dans le rang



Sarkozy et les SDF: Patrick Declerck est atterré
par Marianne2fr


Patrick Declerck étudie le rapport qu'entretient la société avec ses réprouvés avec attention. Il en a tiré quelques leçons qui pourraient être taxées de cynisme, mais ne sont malheureusement que réalistes.

"il est grillé, il est brûlé"

Dupont ?
Non, le décret.
On rêve ... !

Là où il n'y avait pas de problème, Arena a réussi à en créer un et à pourrir une situation pour quelques décennies.
Dénoncé(s), décrié(s) pour leur bêtise sectaire et opérationnelle en ce compris bien évidemment sur ce blog ... le(s) (dernier) décret(s)inscriptions (le critère aléatoire qu'on appelé Loterie) est déclaré par son auteur lui-même de

"grillé, il est brûlé, il a montré qu'il était inopérationnel. Et donc ce qui est, ce qui est détestable, je trouve, c'est qu'il nuit profondément au principe auquel chacun adhère. Je pense que sur ce principe-là, à savoir choix de chaque parent, sont des principes auxquels, tout le monde adhère "
"la manière dont ils sont mis en œuvre, eh bien, je pense qu'elle ne fonctionne pas, c'est clair. Moi, je ne peux pas rester indifférent"

Quand on montre à ce point son incompétence, en politique et en démocratie on démissionne.
Dans ce monde PS obscure et parallèle on dénonce

"les polémiques stériles et purement électoralistes"
Christian Dupont assume pleinement ses responsabilités. Il vient une fois de plus de nous prouver toute sa légitimité comme Ministre de l’Enseignement."

On rêve !?!
et on s' étrangle de l' "attitude poujadiste et irresponsable du MR !" et on s' "étonne"

"du manque de cohérence du MR, qui n'hésite pas à exiger la démission d'un ministre sérieux et responsable alors que le ministre des Finances est régulièrement critiqué pour la gestion calamiteuse de son département (pour rappel, quelque 800 millions d'euros ont quand même été perdus il y a quelques mois)... sans pour autant créer le moindre émoi au sein de son parti"


"Plutôt que de fermer les yeux sur les difficultés, Christian Dupont les affronte et assume pleinement ses responsabilités. Il vient une fois de plus de nous prouver toute sa légitimité comme Ministre de l’Enseignement"


Un mauvais rêve ou un cauchemard ?

Lire aussi:
Fin du tirage au sort : le MR veut la démission de Dupont
Le processus d'inscription dans les écoles secondaires n'est pas encore arrivé à son terme que son concepteur, Christian Dupont (PS), annonce qu'il va être modifié. Dans Le Soir, la présidente du CDH Joëlle Milquet demande des aménagements pour janvier. De son côté, le MR réclame la démission du ministre Dupont.
Christian Dupont: "J'assume cet échec"
A six mois des élections, Christian Dupont jette l'éponge. Face à la colère et au désarroi des parents, le ministre PS de l'Enseignement, lâché par le CDH, supprime le très controversé tirage au sort pour les inscriptions en secondaire.
Les fédérations d'associations de parents FAPEO (officiel) et UFAPEC (catholique) ont toutes deux félicité mercredi le ministre de l'Enseignement obligatoire Christian Dupont pour avoir eu "le courage politique" de revenir sur le critère du tirage au sort prévu dans son décret mixité sociale.

mercredi 10 décembre 2008

«Le Mox est recyclé en continu dans nos centrales»

Energie, toujours aujourd'hui ...


Anne Lauvergeon interpellée
envoyé par franceinter

Les faits :

Que 96% du combustible nucléaire soit potentiellement recyclable, c'est vrai. Quand une tonne de combustible irradié entre à La Hague – qui reçoit le combustible irradié des centrales françaises, japonaises ou italiennes – il en ressort 950 kg d'uranium de retraitement, 10 kg de plutonium et «seulement» 40 kg de déchets ultimes. Ces derniers 40 kg, qui concentrent 99% de la radioactivité, sont vitrifiés et destinés, selon la loi de 2006, à être enfouis dans le sous-sol français. Ils représentent donc les 4% de déchets non recyclables du nucléaire, auxquels Lauvergeon oppose les 96% restant. Ces chiffres ne sont pas contestables.

Mais recyclable ne veut pas dire recyclé. Et le combustible effectivement recyclé est loin d'atteindre la totalité de ces 96%. Pour autant, Lhomme caricature à outrance en affirmant que 0% des déchets est réellement recyclé. La vérité est entre les deux.

Position toujours trop dominante

Electrabel ou la position du missionnaire ?
Le groupe énergétique risque une amende de 750 millions par le gouvernement belge pour sa position toujours trop dominante sur le marché belge de l'électricité.

Étonnant que l'on sache ce que cela veut dire dans ce pays, quand on se souvient du dossier Francorchamps ou du projet de coupe du monde de football...


Dans le cadre de l'accord dit "Pax Electrica II", négocié en 2006, Electrabel s'était engagé à céder avant juillet 2007 des capacités de production d'électricité à des concurrents afin de réduire sa part de marché en Belgique à environ 50%, contre toujours 70%.
La menace a été confirmée par le cabinet du ministre de l'Entreprise et de la Simplification administrative, Vincent Van Quickenborne:
"Nous voulons promouvoir la concurrence sur le marché de l'électricité en Belgique afin d'arriver à de meilleurs prix pour les consommateurs, les entreprises, qui payent trop cher pour cause de manque de concurrence"

Electrabel "peut éviter cette charge" de 750 millions d'euros, correspondant à environ 5% de son chiffre d'affaires, "s'il est prêt à diminuer sa part de marché".



Lire aussi:
9/12 - Le plan "climat" européen : vos questions à Paul Magnette
Le plan "climat" de l'Europe est dans sa dernière ligne droite. Les chefs d'Etat ou de gouvernement doivent en effet se retrouver à Bruxelles jeudi et vendredi pour tenter de s'entendre sur le paquet "énergie-climat" européen, mais les débats risquent d'être difficiles, neuf pays de l'est de l'Union craignant que ce plan n'handicape fortement leur économie. Dernière ligne droite également pour les ministres de l'Environnement du monde entier qui seront en Pologne fin de semaine pour clore la conférence de l'ONU sur le changement climatique.
Bertrand HENNE reçoit Paul MAGNETTE, Ministre du développement durable, de l'énergie, du climat et de la protection des consommateurs.

Pourquoi pas un vrai ministre du climat issu d'un vrai parti démocratique ?
Pourquoi sommes-nous punis ?

Rédigé par:
himself le 09 décembre 2008 à 04:49

mardi 9 décembre 2008

The true experience


Sarkozy a mangé tout crus les "p'tits Belges"


Francis van de Woestyne et Ariane van Caloen de La Libre Belgique publient dans Courrier International un article sur les dessous de ce qu'avait légèrement devoilé Axel Miller lors de la dernière émission de "Répondez à la Question" ...

Comment Convoqué à l'Elysée par un Sarkozy arrogant et impérial, le Premier ministre belge a dû avaler couleuvre sur couleuvre dans le dossier Dexia. On ne lui a même pas épargné le cigare tôt le matin.

Récit d'une humiliation.

Mardi 30 septembre. Six heures du matin. Enfermés dans le bureau de Nicolas Sarkozy, président de la République française, François Fillon, Premier ministre, et Christine Lagarde, ministre des Finances, viennent de transmettre à Yves Leterme, Premier ministre belge, les conditions (les ordres plutôt) posées par la France pour participer au sauvetage de Dexia (trois milliards cash). Axel Miller, le patron belge de Dexia, doit être viré. Les Belges réfléchissent. Miller, les hommes politiques l'aiment plutôt bien. Juriste de 43 ans, parfait polyglotte, aimé de son personnel, travailleur à toute heure.
Sans jouer les Zola, on peut dire que sa grand-mère, d'origine russe, a vécu dans la pauvreté. A la maison, on lisait Le Monde comme ailleurs on lit la Bible. Et on allait en vacances dans le Larzac. Donc, débarquer Miller, ça fait un peu mal. Mais un moment de gêne et de honte est vite passé.

L'hésitation est de courte durée car, à Paris, le maître de l'Elysée s'impatiente. Miller doit payer pour les fautes qu'il a commises. Il doit assumer les conséquences de sa mauvaise gestion. Quelles fautes a-t-il commises ? Sans doute a-t-il eu tort de tenir tête quelquefois aux Français, notamment lorsque ceux-ci voulaient transférer le siège de Dexia de Bruxelles à Paris.
Et puis Miller, disent les Français, a caché la réalité financière de la banque, qui est beaucoup plus mal en point qu'il n'a bien voulu le dire. Il y a donc une rupture totale de confiance. Mais il y a aussi la volonté française, à peine voilée, de profiter de l'instant pour mettre la main sur Dexia. Les Belges tentent d'argumenter : si Dexia a aujourd'hui un gros problème, c'est parce qu'une de ses filiales, FSA, est très exposée aux Etats-Unis.
Mais rien n'y fait. Un ministre belge témoigne : "Depuis le début de l'épisode Dexia, Sarkozy voulait placer Mariani, son ancien chef de cabinet, à la tête de la banque. Il ne pensait qu'à ça. Nous, on lui parlait de plan stratégique… et lui nous répondait chaque fois que tout ce dont Dexia avait besoin, c'était d'un nouveau management.
Il nous a dit :

‘On va débarquer Axel Miller. Point final.'

" Et puis Axel Miller a un ennemi dans la place. Bruno Deletré, ancien responsable de FSA, a été viré de la direction de Dexia en juin par Axel Miller. Or Bruno Deletré est devenu conseiller… de Christine Lagarde. Quelle que soit l'influence de Deletré dans cette affaire, l'Elysée fait donc du départ de Miller un préalable. Dans la foulée, les Belges, tant qu'à faire, demandent qu'Axel Miller ne soit pas le seul à faire les frais de l'opération. Si le management doit payer pour les fautes commises, il en est un autre qui doit sûrement faire un pas de côté, le Français Pierre Richard, président du conseil d'administration de Dexia, l'homme qui a amené la filiale américaine FSA, très exposée en matière de produits toxiques, dans la dot du Crédit local de France et donc de Dexia. Avec le recul, certains pensaient que les Belges auraient dû dire aux Français : "Allez au diable, on met trois milliards de plus, on garde Miller et le contrôle belge."
Mais la nuit est un vrai Waterloo pour les Belges : ils perdent le PDG et doivent accepter que les Français montent en force dans Dexia. Vers 6 h 30 du matin, donc, les Belges donnent leur accord : Miller et Richard sont virés. Ce sera sans appel. La négociation entre Belges et Français dure encore un peu. Certains autour de la table auraient voulu que, dans le communiqué final, on rende quand même hommage à Axel Miller. Refusé. Le moment est pathétique. Bye bye Miller.

La Bourse salue à sa manière le sauvetage de Dexia, dont l'action retrouve un peu d'air. Mais Dexia est toujours sans management. Et les Français veulent régler cela au plus vite. Yves Leterme et Didier Reynders, vice-Premier ministre et ministre des Finances belges, sont donc "convoqués" à l'Elysée. Les photos prises lors de cette rencontre montrent à quel point l'ambiance est assez glaciale. Sarkozy remet sur la table le problème du management. On sent bien que cela a été préparé à l'avance. Pour lui, même si les Belges ont toujours le contrôle, c'est un Français qui doit maintenant devenir PDG du groupe. Il ne doit pas aller chercher très loin : Pierre Mariani, son ancien chef de cabinet. Les Belges ne peuvent, ne savent ou ne veulent pas dire non.
"Sarkozy, raconte un homme présent à la table de l'Elysée, est vraiment tout-puissant. Et il aime le montrer."
Pendant la réunion, il réclame un cigare. Un huissier vient lui proposer une petite boîte de havanes. Il le renvoie et réclame la version maxi, une boîte avec des cigares de premier choix qu'il propose à ses hôtes. C'est lui qui dirige la réunion. Les autres font de la figuration. Lui, il n'a pas besoin de consulter dans tous les sens pour prendre une décision. C'est bien simple, quand Sarkozy est là, Fillon ne bouge pas. Fillon n'ouvre la bouche que pour respirer. Sarkozy fonctionne comme cela avec l'ensemble de son gouvernement.

Au Conseil européen de Bruxelles qui suivra, les 15 et 16 octobre, Sarkozy fera le même numéro : il s'est tourné vers Jean-Pierre Jouyet, secrétaire d'Etat français aux Affaires européennes, et lui a lancé, devant les collègues :
"Tiens, va me faire des photocopies…"

Donc voilà, Sarkozy impressionne les p'tits Belges. Si les Français font main basse sur le comité de direction de la banque, ils doivent, eux, trouver un président de conseil d'administration. Yves Leterme a préparé le terrain et propose Jean-Luc Dehaene. Ses collègues ne sont pas tous convaincus de la pertinence du choix. Mais, vu du côté belge, Dehaene permettra de rassurer les clients et les actionnaires institutionnels.



Lire aussi:
Sarkozy a bel et bien rencontré le dalaï-lama
Nicolas Sarkozy a finalement rencontré le leader tibétain à Gdansk, à l’occasion de la cérémonie du 25e anniversaire de la remise de son prix Nobel de la paix à Lech Walesa. Le président français a passé outre la colère des Chinois et leurs menaces de boycottage des produits français.
AG Fortis : Davignon accuse certains actionnaires
L’assemblée générale des actionnaires de Fortis de mardi a été orchestrée et manipulée par des organisations comme Deminor et le groupe d’actionnaires réuni autour de l’avocat Modrikamen. C’est ce que déclare Etienne Davignon, dont la candidature en tant que président du conseil d’administration de Fortis a été rejetée.
« Leurs hommes de main avaient repris les micros. La même histoire est sans cesse revenue sur le tapis : l’ancien conseil d’administration a commis des erreurs, Davignon est un camarade de l’ancien président Lippens et eux seuls peuvent représenter les petits actionnaires. C’était de la pure manipulation. Celui qui avait un autre avis n’a pas eu la possibilité de l’exprimer »


Sarkozy aux Français: «Yes you're fucked up»
83ème semaine de Sarkofrance pour Juan. Une semaine bien de droite — et pas des plus douces : criminalisation des enfants, paupérisation des plus modestes… Au final, le plan de relance financera les entreprises, et poussera les ménages à s'endetter encore plus.
Des millions de données bancaires au marché noir
Les coordonnées bancaires de 21 millions d'Allemands sont à vendre au marché noir pour 12 millions d'euros, un scandale qui survient alors que l'Allemagne a déjà été confrontée à plusieurs affaires de trafics de données.

lundi 8 décembre 2008

The weaker sex

Brève : Men really are the weaker sex
Evolution is being distorted by pollution, which damages genitals and the ability to father offspring.

Critiques à l'égard du patron du Selor

On se souviendra du GERFA qui avait introduit un recours au conseil d'Etat contre le renouvellement du mandat de Marc Van Hemelrijck à la tête de Selor, accusé d'avoir "accumulé erreur sur erreur dans le recrutement des 'top managers' et avoir commis plusieurs fautes déontologiques graves dans la gestion et l'organisation des jurys de sélection".
De nombreuses plaintes ont été introduites au Conseil d'Etat contre les épreuves du Selor relatives à la sélection pour de hautes fonctions.

C'est maintenant au tour d'Yves Leterme de se plaindre du patron du Selor pour la manière dont il a organisé l'épreuve pour désigner un patron de la Chancellerie.

"Marc Van Hemelrijk a commis une grosse faute. Et ce n'est pas la première fois"

L'épreuve pour désigner un patron à la Chancellerie a été annulée par le Conseil d'Etat après une plainte introduite par Jean-Claude Laes avait estimé avoir été floué par le président du jury, Marc Van Hemelrijk.
Ce dernier aurait amputé le temps imparti à l'épreuve les longues minutes que le candidat avait utilisées pour justifier au jury sa demande de récusation du président du Selor.
Ce implique l'ogranisation d'une nouvelle épreuve et remet en cause la nomination de l'actuel patron de la Chancellerie, Hans D'Hondt, par ailleurs chef de cabinet du Premier ministre.