samedi 25 septembre 2010

Voter PS dépend aussi du contexte

Phineas_Barnum @eliodirupo: Voter PS "dépend aussi du contexte et des conditions extérieures" Pas de convictions, mais opportunisme ?

Aujourd’hui, en 2010, avec un PS autour des 41 % en Wallonie, pensez-vous qu’il y ait encore une marge de progression pour les socialistes ?

Oui ! La progression elle est possible mais elle ne dépend pas que de nous. Elle dépend aussi du contexte et des conditions extérieures. De Gaulle ne serait pas De Gaulle s’il n’y avait pas eu les circonstances du moment où il a lancé son Appel.

Beaucoup de partis socialistes s’écrasent mais le succès du PS, en Belgique francophone, est très important. N’est-il pas lié au clientélisme qu’il entretient ?

Ecoutez : certains médias ont du succès et ont beaucoup de lecteurs ou d’auditeurs. Est-ce que vous les accusez de clientélisme pour autant ? Non. C’est dû à leur travail. Pourquoi critiquez-vous ceux qui ont du succès ? Ce sont des propos qui sont tenus par des gens qui sont intellectuellement conservateurs. Au lieu de discuter sur des projets, avoir une discussion honnête et ouverte, quand il n’y a plus d’argument, on nous jette des expressions comme "clientéliste" qui ne signifient plus rien du tout. C’est un peu dommage car j’ai l’impression qu’à ce moment-là mon interlocuteur n’est plus en mesure d’avoir des arguments sérieux. On est dans une société ouverte et transparente, il n’y a pas de face cachée du Parti socialiste.

Pour se faire entuber.be


Vidéo anonyme de la NVA

vendredi 24 septembre 2010

Incident Antwerp - Virton

Extrait du JT de la RTBF du 23 février 2009 : "Wallen buiten"


Une amende de 384,9 millions

En France, l'Autorité de la concurrence a infligé une amende de 384,9 millions d'€ aux 11 principales banques françaises pour entente sur les coûts de traitement des chèques (Commission dite « d'échange image chèque » - CEIC, supprimée en juillet 2007) , estimant qu'elles avaient facturé des frais indus à leurs clients.

Les banques sanctionnées sont le Crédit Agricole, Société Générale, BNP Paribas, le Crédit Mutuel, le Crédit industriel et commercial, le Crédit du Nord (groupe Société Générale), LCL (groupe Crédit Agricole), la Banque Postale, BPCE, HSBC et la Banque de France.
Le groupe BPCE, qui chapeaute les enseignes Banque Populaire et Caisse d'Epargne, a été le plus durement touché, avec une amende de 90,9 millions d'euros, suivi par le Crédit Agricole (82,9).


Lire aussi:
BofA: des centaines de licenciements à la division marchés et international
Bank of America (BofA) va licencier plus de 3% des employés de sa division banque internationale et marchés, soit plusieurs centaines de personnes, pour des raisons de performance et de positionnement stratégique, a indiqué lundi à l’AFP une source proche du dossier.

Les personnes de la division concernée, qui comprend la banque d’investissement et les activités de marchés, seront averties cette semaine, a précisé cette source, et les licenciements seront répartis entre les Etats-Unis et les bureaux étrangers.



Enquête sur la
dérive spéculative du mogement minier


C’est un rapport de la Chambre régionale des comptes du Nord-Pas-de-Calais qui risque de faire du bruit.
Jusqu’ici confidentiel, ce « rapport d’observations définitives » de 50 pages détaille la gestion, entre 2002 et 2008, de la SOGINORPA (Société immobilière du Nord-Pas-de-Calais), l’entité chargée de gérer plus de 63 000 logements sociaux dans le Nord-Pas-de-Calais. SOGINORPA est le premier bailleur de la région Nord-Pas-de-Calais.

Le rapport critique une gestion « opaque », un problème de gouvernance, et dévoile le recours important à des produits financiers spéculatifs, loin du caractère social de la gestion du parc immobilier du Nord-Pas-de-Calais… Ainsi, pour financer des opérations de rénovation, la SOGINORPA a massivement emprunté aux banques (Crédit agricole Indosuez, Dexia, Société Générale…) et suivi leur conseil de « gestion active de la dette », malgré les alertes formulées dés 2005 par des experts indépendants.

Un bon connaisseur du dossier résume les choses à sa façon : « Ils ont joué au casino avec les logements des mineurs ! »

jeudi 23 septembre 2010

C'est quoi un cunnilingus ?

J(oëll)e déteste les mondanités

Phineas_Barnum

#Kiadi : "Je déteste les mondanités. Je n’aime pas paraître, je ne suis pas une "bourgeoise" ?


Lire aussi:
Joëlle "déteste les mondanités"
Morceaux choisis. Sur sa complicité avec Elio Di Rupo : "Une complicité dans nos différences. Elio, comme préformateur, a accompli un travail remarquable : patience, calme, maîtrise, volonté de trouver un accord. [ ] Nous sommes tous les deux passionnés par notre communauté de vie, par notre pays. On se fait confiance". Sur le CDH : "Je serai heureuse de passer la main. Il y en a peu qui le font. [ ] Benoît Lutgen avait décidé d’attendre la constitution du gouvernement fédéral pour me remplacer Ce sera une succession harmonieuse. Et pour moi, c’est bien". Sur elle-même : "Je déteste les mondanités. Je n’aime pas paraître, je ne suis pas une "bourgeoise".

Absence de débats bruxellois

Un pseudo groupe d'experts de très "haut niveau" périmétrés vendent Bruxelles aux flamands, en l'absence de débats et de bruxellois ...

Phineas_Barnum
#Kiadi "Mais de débats sur Bruxelles au sein du Parlement des Bruxellois il n'y aura pas!" ? #onpréfèreyparlerdegaza

avanpraet
La 'Staline' du Parlement bruxellois en prend légèrement pour son grade... #AForce!

MR: Françoise Dupuis refuse un débat sur l'avenir de Bruxelles http://bit.ly/b9Vivb @lalibrebe

Phineas_Barnum

Ce qui est clair: le groupe de très "haut niveau", ce n'est certainement pas le Parlement bruxellois qui réalise une OPA du débat démocratik

Phineas_Barnum

@baptiste La confiscation du débat public, démocratique et contradictoire (avec les parties concernées) est un acte totalitaire. #khmers



Lire aussi:
Pas de débat sur l'avenir de Bruxelles, accuse le MR

Les chefs de file du groupe MR au parlement bruxellois Didier Gosuin et Vincent De Wolf ont accusé mercredi la présidente du parlement bruxellois, Françoise Dupuis (PS), de refuser un débat au sein de cette assemblée sur l'avenir de Bruxelles.


Charles Picqué : Les déclarations du PS ? De la légitime défense !

Depuis la démission d'Elio Di Rupo comme Pré-Formateur, le PS muscle le ton et tient des déclarations qui commencent à déplaire à la NVa.
L'ambiance des négociations n'est pas sereine, la méfiance règne d'autant plus que le groupe de haut niveau chargé de plancher sur la loi de financement a débuté ses travaux. Pour rappel, le groupe d'experts détermine précisément les règles qui dicteront la nouvelle répartition des revenus de l'Etat belge notamment au profit des entités fédérées.
Dans ce contexte,
Charles Picqué, Ministre-Président (PS) de la Région de Bruxelles Capitale estime que les pessimistes, ceux qui pensent que ces négociations peuvent se solder par un échec n'ont pas tort : "… Je suis réaliste, je pense qu'on a mis sur la table des choses fondamentales pour notre vivre ensemble belge, pour l'avenir, à savoir notamment la loi de financement… On pose la question du statut de nos populations, de leur qualité de vie, pour le moment on est dans des discussions très (…) difficiles qui ne portent pas sur le sexe des anges linguistiques !".
Ces discussions, ajoute Charles Picqué, auront des conséquences sur l'avenir même des communautés : les tarifs des transports en commun, les soins de santé et leurs coûts, les services publics en
Wallonie et Bruxelles.
Au sein du groupe d'experts, deux méthodes de travail doivent s'accorder : les francophones souhaitent définir le cadre d'actions et les objectifs de la réforme. Les neerlandophones pointent davantage le résultat chiffré : le pourcentage de l'IPP à reverser aux entités fédérées. Dès lors, peut-on espérer une issue positive ? "Du côté PS et du côté francophone en général, il y a cette volonté de faire fonctionner l'Etat,... ce n'est peut-être pas un objectif poursuivi par tout le monde…" estime Charles Picqué en pointant explicitement la responsabilité de la NVa.
Charles Picqué met donc de nouveau la pression sur le parti nationaliste flamand : "… Il s'agit vraiment de légitime défense ici ! … Les discours sur Bruxelles sont tellement injustes que nous ne sommes plus dans un débat rationnel,… nous sommes dans des préjugés anti-bruxellois notamment et anti-wallons aussi... Il faut garder son sang froid et être ferme en rispostant par des arguments…".

mercredi 22 septembre 2010

Walloniseert ?

VincentVQ

That's it. Vlaamse regering capituleert en walloniseert: 352 miljoen euro voor de Antwerpse belastingbetaler. Besparen? No way.


Chaos_Be
@baptiste @VincentVQ Rien de grossier de constater que les wallons ont une incapacité chronique a gérer sainement les finances publiques


Phineas_Barnum @baptiste @Chaos_Be Je soutiens les propos de @VincentVQ qui dit tout haut ce que 41,6 % de la population francophone continue à ignorer



Lire aussi:

Ring d'Anvers: le gouvernement flamand opte pour la solution du tunnel
Le gouvernement flamand a opté, mercredi soir, pour la solution du tunnel dans le dossier du contournement nord d'Anvers, mettant ainsi un terme définitif au projet de grand viaduc, rejeté par la population anversoise lors d'un référendum. L'option choisie représente un surcoût ...

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Caricatures, photos, vidéos

2 briques dans le bas-ventre

#Wisda : "Roger Vangheluwe doit en tant que pédophile notoire être arrêté emprisonné et castré. Je suis prêt à m'acquitter de cette dernière tâche à l'aide de deux briques"

#Unebriquedanslevendtre ; #deuxbriquesdanslebas-ventre


Lire aussi:
J.-M. Dedecker: "castrer" R. Vangheluwe "avec des briques"

L'ancien président de la LDD et député Jean-Marie Dedecker estime que l'ex-évêque Roger Vangheluwe doit, "en tant que pédophile notoire, être arrêté, emprisonné et castré". "Je suis prêt à m'acquitter de cette dernière tâche à l'aide de deux briques", dit-il dans une interview.

L'interview a été publiée dans Het Nieuwsblad op Zondag.

Jean-Marie Dedecker trouve inacceptable que l'Eglise catholique demande à s'occuper elle-même des pédophiles et autre délinquants sexuels dans ses rangs. Pour lui, "c'est la Justice, et personne d'autre, qui doit établir les délits sexuels et les poursuivre". Le député s'interroge par ailleurs sur le nombre "d'abus sexuels commis par des prêtres ses trente ou quarante dernières années qui ont été effectivement poursuivis" et sur le nombre qui ont été dissimulés.


Un groupe de très "haut niveau"

Phineas_Barnum

#WYSIWYG Des tristes clowns de très haut niveau ... #BeGov


Phineas_Barnum

Di Rupo et BDW mettent en place un groupe de travail "de très haut niveau" ... Remis en selle ! http://bit.ly/9Chx4x


On fait appel à la Belgique RT @lemondefr Tokyo appelle à des "discussions de haut niveau" avec Pékin http://bit.ly/cWE3lD


Phineas_Barnum

#Kiadi : "En fait, les négociations n’ont pas repris. On a juste créé un comité qui examinera les conditions de la reprise ..." ?







OPA du PS et de la N-VA sur le pays- qu'en dit le Roi ?

Outre les deux coprésidents - Jan Jambon de la N-VA et Jean-Claude Marcourt -, le groupe sera également composé du sénateur Ahmed LAAOUEJ (PS), un ancien de l'IEV spécialisé en fiscalité, du ministre flamand des Finances Philippe Muyters (N-VA), du secrétaire d'Etat fédéral Melchior Wathelet, de Pierre Crevits (chef de service à la Banque nationale et chef de cabinet de Melchior Wathelet), de Philippe Donnay (chef de cabinet de Joëlle Milquet), du ministre wallon et de la Communauté française Jean-Marc Nollet (Ecolo).

Le CD&V enverra le député flamand Koen Van den Heuvel, le sp.a déléguera le sénateur Frank Vandenbroucke. Pour Groen! siégeront le député de la Chambre Stefaan Van Hecke, André Decoster (spécialiste en finances publiques) et Anton Delbarre, économiste au sein du centre d'étude du parti écologiste flamand.


Lire aussi:
VIVES :Le séparatisme à la sauce académique
Pour faire des discours, Bart De Wever est l’un des meilleurs. Mais qui fournit les munitions à la N-VA ? Faisons donc plus ample connaissance avec le think-tank VIVES.

Fin août, quand la préformation battait encore son plein, toutes les rédactions flamandes ont reçu dans leur messagerie un rapport dans lequel les auteurs Dirk Heremans et Annelore Van Hecke expliquaient pourquoi les négociateurs devaient absolument scinder la dette publique. Pour ceux qui en doutaient encore, une telle régionalisation de la dette publique constitue la dernière étape avant l’enterrement de la Belgique.

Heremans et Van Hecke sont des chercheurs de l’Institut flamand d’économie et de société (VIVES, en flamand), un « groupe de spécialistes indépendants » qui mène des recherches « sur le développement économique et social des régions et, en particulier, de la Flandre ».


O. Maingain: contrer la N-VA qui souffle le chaud et le froid

Le président du FDF Olivier Maingain prône une concertation entre tous les partis francophones pour contrer la N-VA. En privilégiant leur intérêt partisan, les négociateurs ont fait trop de concessions au parti de Bart De Wever.

Au micro de Bertrand Henne, le président du FDF Olivier Maingain déclare qu'il est persuadé que la N-VA veut un accord, "mais elle veut un accord à ses conditions. Et elle souffle le chaud et le froid, elle mène une procession d'Echternach pour faire en sorte que les partis francophones associés à ces négociations entrent dans sa logique. Et ça marche pas mal en définitive : la N-VA veut faire de la loi de financement le sujet numéro un de la négociation. C'est fait. Aujourd'hui les francophones qui, pendant tout l'été, ont dit que ce n'était pas leur priorité, ont accepté que le sujet de conversation numéro un soit la loi de financement. En somme, les francophones ont cru que, pour échapper au débat sur la loi de financement, il fallait déjà faire beaucoup de concession sur les autres sujets. Aujourd'hui cette logique, de ligne Maginot en ligne Maginot, est une logique perdante. Et, tant que Bart De Wever verra qu'il peut avancer de cette manière-là, il continuera à souffler le chaud et le froid".


12 principes pour un accord sur la loi de financement
Les membres du groupe de haut niveau chargé de plancher sur la réforme de la loi de financement ont « explicité » comment ils voyaient les douze principes qui ont fait l’objet d’un accord le 24 août. Une nouvelle réunion est prévue vendredi.
Les représentants politiques et les experts membres du groupe de haut niveau chargé de plancher sur la réforme de la loi de financement ont « explicité » mercredi comment ils voyaient les douze principes qui ont fait l’objet d’un accord le 24 août dernier sous l’égide du préformateur. Ces principes visent notamment l’accroissement de l’autonomie financière des entités fédérées, la nécessité de ne pas appauvrir une entité et de ne pas créer une concurrence déloyale entre entités, le maintien de la progressivité de l’impôt, le refinancement du fédéral et de Bruxelles.

Les divergences de vue sur un certain nombre de points sont connues, entre certains partis flamands, singulièrement la N-VA, et les partis francophones. Il s’agit notamment de l’ampleur de l’autonomie financière et fiscale. Elles ont été confirmées mercredi mais l’esprit de la réunion était constructif et le climat serein, a-t-on assuré. Il n’y a pas eu d’anicroches.

La réunion était relativement technique. Les deux co-présidents du groupe se revoient demain jeudi pour l’organisation des travaux. Une nouvelle réunion du groupe comprenant des représentants des sept partis engagés dans la discussion institutionnelle aura lieu vendredi.

RTBF duwt N-VA in extreemrechtse hoek

Phineas_Barnum "Nationalisme is een negatief begrip in Wallonië" : http://bit.ly/dtSAKD

Voir aussi:
RTBF duwt N-VA in extreemrechtse hoek

Le ras-le-bol de Bart De Wever
Le président de la N-VA en a marre d’être toujours relié à un soi-disant passé nazi.
Le président de la N-VA a retrouvé sa tribune bimensuelle du mardi dans le “Standaard”. Pas question, évidemment, d’y évoquer les négociations politiques de l’heure afin de ne pas mettre de l’huile sur le feu mais la problématique que Bart De Wever en sa qualité d’historien contemporaniste y déroulait hier ne manquera pas de susciter des réactions en tous sens. Exprimant son ras-le-bol qu’on établisse perpétuellement un lien entre son engagement de nationaliste flamand et les dérives pro-nazies de certains nationalistes du nord pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment “dans certains mails flamands et dans un très grand nombre de courriels francophones qui (lui) parviennent” Bart De Wever revient sur la manière dont les Flamands et les francophones se situent toujours face à la collaboration. En cause aussi : un récent “Question à la une” où l’on rappela, en montrant la tombe de son père que son… grand-père fut membre du Vlaams Nationaal Verbond (VNV), le tout sur fond d’images de collaborateurs en uniforme encore plus franchement pro-nazis appartenant plutôt à DeVlag. La vérité nous demande de dire que si ce dernier mouvement joua pleinement la carte nazie, le VNV versa davantage dans la collaboration administrative dans l’optique d’une victoire allemande qui accorderait l’autonomie à la Flandre que la Belgique d’alors lui refusait. L’ire de Bart De Wever s’adresse en fait à ceux qui se permettent “de juger les autres à partir d’une supériorité morale mal placée car basée sur une ignorance collective” .

100 jours plus tard, Elio et Bart sont toujours amis

A ne pas rater : un super-travail d'humour ET d'infos de Johanne Montay, Himad Messoudi et Thomas Nagant

100 jours plus tard, Elio et Bart sont toujours amis

mardi 21 septembre 2010

BAM, indigné

Phineas_Barnum

#Kiadi : "Aidez-nous à porter le fer (à béton?) là où il faut !" ?

Origines culturelles des délinquants

Hugues Lagrange, sociologue investi, chercheur au CNRS, spécialiste de la violence et des politiques de la ville, le dit sans tomber de sa chaise:

"Refuser de s'intéresser aux origines culturelles des délinquants est une hypocrisie." Le propos est tranché, à rebours des précautions d'usage. Le spécialiste l'assume, après huit années d'une enquête inédite et scrupuleuse, au plus près des Français d'origine étrangère - du Bassin parisien à la banlieue nantaise. Surtout, il l'explique, comme personne avant lui, dans un livre limpide publié le 16 septembre, Le Déni des cultures (Seuil).



Lire aussi:
L‘affaire des Roms n’a pas plombé les débats
Le secrétaire d’État aux affaires étrangères, Pierre Lellouche, a fait une visite éclair à Évian en cette fin de semaine. Quelques heures, pas plus, qu’il a dédiées aux grands chefs d’entreprise français et allemands, réunis à l’hôtel Royal.
Un temps studieux pour la trentaine d‘acteurs de la vie économique qui, à l’invitation de Pierre Lellouche et de son homologue allemand Werner Hoyer, ont notamment planché sur des projets de coopération économique entre leurs deux pays. « Projets qu’ils vont proposer au Président Sarkozy et à la Chancelière Merkel ».
Lesquels ? On n’en saura pas plus. Le secrétaire d’État laisse le soin aux intéressés d’en faire l’exposé.
Sinon, une séance de travail dite “intéressante” en présence de Jean-Claude Trichet (Banque centrale européenne), Pascal Lamy (Organisation mondiale du commerce) et Werner Hoyer a porté sur la future présidence française du G8/G20. « Nous avons évoqué les réactions communes, sur le plan de la politique monétaire et commerciale. »
« On a percé une énorme bulle d’hypocrisie qui pesait sur l’Europe »
Autre temps fort : son “long” entretien avec le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble. Entretien dans un “climat excellent” pas même rafraîchi par l’actualité. « La question des Roms n’a absolument pas été soulevée par nos partenaires allemands ».

Les 4 clowns des 100 jours

Phineas_Barnum Les 4 clowns des 100 jours vont nous raconter quoi comme couillonnades aujourd'hui et les jours à venir ... ? #stabilitédupays
Il va nous brader quoi l' Elio aujourd'hui ? Les meubles, les sous-vêtements et la porte d'entrée ? #Premieràtoutprix

Jo Lernout et Pol Hauspie coupables

Ce 20 septembre 2010, la cour d'appel de Gand a reconnu Jo Lernout et Pol Hauspie coupables de faux dans les comptes annuels, d'usage de faux, de faux en écritures et de manipulation de cours. La prévention d'émission frauduleuse d'actions a par contre été déclarée irrecevable. La cour a également diminué la plupart des montants concernés par la fraude.

Les fondateurs de la société, Jo Lernout et Pol Hauspie sont condamnés à 5 ans, dont deux ans avec sursis, et à une amende de 24.789 euros.
Nico Willaert écope de la même peine. Gaston Bastiaens est condamné quant à lui à cinq ans, dont trois ans avec sursis, et à une amende de 4.958 euros.
Par contre, Dexia et KPMG sont acquittés.

lundi 20 septembre 2010

Obtenir des garanties équivalentes

Obtenir pour les autres Francophones de la périphérie, des garanties équivalentes à l'intérêt que représente au minimum leur situation actuelle:

Saint-Genèse ont décidé de contresigner une motion réitérant leur opposition à la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde sans élargissement de la Région bruxelloise, ont-ils fait savoir mercredi par voie de communiqué.

Elle a été envoyée aux négociateurs francophones. Dans ce texte, ces élus francophones rappellent que la présence des Francophones dans la périphérie de Bruxelles est un fait qui se confirme davantage à chaque élection et que

"les droits des Francophones dans les communes à facilités découlent d'accords historiques qui n'ont rien de 'provisoire'".




Lire aussi:
Bruxelles, au milieu de la bagarre...

Bruxelles, la pierre d'achoppement qui rend la scission la du pays impossible?

Baudouin Velge de la société de relations publiques Interel estime :
"Bruxelles est le poumon économique du pays. Elle génère 20 % du produit intérieur brut. Tout le monde voudra prendre Bruxelles. Elle est au milieu de la bagarre. Une étude avait montré que le fait d’être capitale de l’Europe rapportait plusieurs pour-cents du produit intérieur brut."

dimanche 19 septembre 2010

Le modèle économique communiste cubain

GillesKLEIN

"Le modèle économique communiste cubain ne fonctionne plus" Fidel Castro (The Atlantic) http://bit.ly/9BYmEy

Parle à ma tête ...

mon cul est malade ...





Lire aussi:
Bruxelles, au milieu de la bagarre...

Bruxelles, la pierre d'achoppement qui rend la scission la du pays impossible?

Baudouin Velge de la société de relations publiques Interel estime :
"Bruxelles est le poumon économique du pays. Elle génère 20 % du produit intérieur brut. Tout le monde voudra prendre Bruxelles. Elle est au milieu de la bagarre. Une étude avait montré que le fait d’être capitale de l’Europe rapportait plusieurs pour-cents du produit intérieur brut."

Pourtant « de Tijd », le quotidien financier flamand, estimait que la Flandre est viable sans Bruxelles. Le quotidien calcule que la perte de Bruxelles, et des 16 milliards que la capitale lui rapporte sous forme d’impôts des navetteurs, serait largement compensée par la suppression des transferts Nord-Sud. Bilan pour la Flandre sans Bruxelles : +3% du PIB régional.


Ce que le préformateur Di Rupo a laissé en héritage
Elio Di Rupo avait dessiné le périmètre d’un accord institutionnel. En voici les contours.

Mais que retrouvait-on, au juste, sur la table de négociation lorsqu’Elio Di Rupo a remis son tablier au Roi - le 3 septembre ? Nous avons tenté d’en reconstituer le profil, morceau par morceau. Inventaire.
(...)

8 BHV. Un principe de base : les électeurs des communes du Brabant flamand n’auraient plus d’autres choix que de voter pour une liste flamande. Un droit d’inscription pour des listes bruxelloises serait cependant garanti pour les habitants des 6 communes à facilités de la périphérie. En outre, pour les élections européennes, une seule circonscription serait instituée pour toute la Belgique avec un nombre fixe d’élus par groupe linguistique. Concernant les 3 bourgmestres non nommés, ils resteraient sous la tutelle de la Flandre jusqu’en 2012 et seraient nommés ensuite. Quant aux circulaires Peeters, elles seraient assouplies. Les francophones ne seraient plus tenus de demander chaque fois la copie française du document qu’ils reçoivent, mais devraient le faire une fois par an.

9 Refinancement de Bruxelles. Les francophones réclament 500 millions d’euros pour Bruxelles. La N-VA, le CD&V et, dans une moindre mesure, les autres partis flamands estiment que ce refinancement doit être lié à une réforme des institutions bruxelloises et à une révision de la loi de financement. Dans sa dernière copie, Elio Di Rupo a tenté de trouver un compromis. Il propose que la moitié de la somme projetée - 250 millions d’euros - soit libérée lorsque la révision de la loi de financement des entités fédérées est entérinée. Les 250 autres millions seraient acquis en même temps que la scission de BHV. Mais ils seraient "affectés" : 65 millions pour la mobilité (financement de la Stib), 30 millions pour la sécurité lors des sommets européens, 20 millions pour le paiement de primes linguistiques, 14 millions pour compenser le manque à gagner fiscal dû à la présence de bâtiments publics, 30 millions pour la formation professionnelle des chômeurs, 41 millions pour la politique de l’emploi et 50 millions pour répondre à la croissance démographique (nouvelles écoles, crèches, etc.). Mais ceci n’est plus d’actualité. Jeudi, les deux hommes fort du pays, Elio Di Rupo et Bart De Wever ont convenu que la révision de loi de financement devait se faire dans les prochaines semaines.

10 Le statut de Bruxelles. Elio Di Rupo proposait de confier les allocations familiales et une partie des soins de santé à la Commission communautaire commune - habile compromis : on ne crée pas de sous-nationalités à Bruxelles, mais on maintient le caractère communautaire de ces compétences. Il est aussi question d’améliorer l’usage des langues (singulièrement dans les hôpitaux) dans la capitale. Des listes électorales bilingues seraient autorisées. Une communauté urbaine reliant la capitale et son hinterland serait mise en place. Et enfin, il est proposé que chaque modification relative aux accès vers Bruxelles soit négociée entre les régions.

'Republiek Vlaanderen'