samedi 11 septembre 2010
"Ce n’est pas un manque de respect"
Cette formule : "J'en ai maaarre des parvenus"
#Kiadi : "Quand Elio Di Rupo a utilisé cette formule [J'en ai maaarre des parvenus], je m'en rappelle très bien car j’étais dans la salle, c’était un moment de très grandes tensions au sein du Parti Socialiste. Je pense que les choses ont beaucoup évolué grâce à son action. Je pense qu’il a joué un rôle majeur en la matière et je crois que c’était nécessaire" ?
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"Je n'aime pas les gens qui trichent"
vendredi 10 septembre 2010
Danny Pieters et la secu
Frank Vandenbroucke: "Ik badineer een beetje" #inhetnederlandsdansletexte http://bit.ly/adR47Z
La culture de l'échec
La culture et apologie de l'échec : @eliodirupo totalise 74 % de jugement favorables auprès des francophones, quant au pilotage des négos
Une majorité de Belges estime(rait) que l’on peut passer à la formation du gouvernement, ce qui est sur la table étant suffisant ?!? #wtf
Stabilité ou immobilisme, qu'ils avaient dit - je sais plus, moi #begov
Le PS salue la désignation des Présidents de la Chambre et du Sénat comme médiateurs http://bit.ly/abhYc5
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Di Rupo recale la méthode Flahaut/Pieters
Sur le front des médiateurs c’est la bérézina complète. Le socialiste André Flahaut et le nationaliste flamand Danny Pieters avaient mis au point une métode de travail. Celle-ci avait été acceptée par les présidents des six partis reçus jusqu’ici depuis mardi... (Groen !, Ecolo, SP.A, CDH, CD&V et N-VA).
La Belgique plus divisée que jamais
Le tabou commence à se briser en Belgique. Il n’y a pas que les Flamands qui évoquent à haute voix la scission du pays. Chez les Wallons également, des responsables de premier plan commencent à l’envisager.
La Belgique est plus divisée que jamais, alors que les négociations sur la formation d’un nouveau gouvernement patinent depuis trois mois. Il faut "se préparer à la fin de la Belgique" a déclaré la ministre de la Santé de l’actuel gouvernement, Laurette Onkelinx.
Un scénario qui rend plus que crédible le canular de 2006 de la RTBF, 1er chaîne de télévision publique en Belgique. Le 13 décembre 2006 à 20h21, après l’apparition d’un bandeau "ceci n’est pas une fiction" le journaliste reprend l’antenne et annonce la déclaration unilatérale d’indépendance de la Flandre.
Di Rupo ne payerait pas son échec
Qui a le plus payé l’échec de la préformation en termes de popularité ? La série de questions relatives à la gestion des négociations dont les réponses sont compulsées ci-contre répond au moins en partie à cette interrogation. Principaux enseignements, la cote de Bart De Wever reste intacte en Flandre. Tout comme celle d’Elio Di Rupo en Wallonie. Le président du PS se paye même le luxe d’être bien évalué par une majorité de Flamands.
Visiblement, le marécage dans lequel semblent être plongés les négociateurs ne diminue en rien la confiance accordée par la population flamande à Bart De Wever. Que du contraire, il est le président de parti qui y recueille le plus d’opinions favorables lorsqu’il s’agit de juger de la gestion des négociations par les sept partis associés. Mais plus saisissant sans doute, la jolie cote d’Elio Di Rupo de l’autre côté de la frontière linguistique. Celle-ci n’était, il est vrai, pas insignifiante dès avant les élections du 13 juin. Le président du Parti socialiste talonne carrément son homologue nationaliste dans ce classement. Avec 57 % d’évaluation positive, il arrive avant les autres partis flamands et Albert II. On pointera aussi la piètre popularité de Joëlle Milquet en Flandre. La présidente du CDH arrive bonne dernière avec seulement 18 % d’évaluation positive.
Elio Di Rupo demeure une incontestable superstar en Wallonie. L’échec du processus de préformation emmené par le premier socialiste durant tout l’été ne lui a pas coûté en terme de popularité auprès des francophones. Il totalise 74 % de jugement favorables quant au pilotage des négociations. Après le Roi, les représentants de l’Olivier se tiennent dans un mouchoir de poche, Joëlle Milquet devançant Jean-Michel Javaux et Laurette Onkelinx. Sans réelle surprise, les présidents de la N-VA et du CD&V se partagent la lanterne rouge de l’évaluation wallonne. A peu de choses près, ce classement est identique en Région bruxelloise.
Qui cherche à torpiller les négociations ? Bart De Wever arrive forcément en tête de ce classement. Le résultat d’une mobilisation assez logique de nombreux Wallons et Bruxellois sur cette question. Mais également celui d’une analyse qui a ses adeptes en Flandre. Vingt et un pour cent des Flamands sondés estiment, en effet, que le président de la N-VA n’a d’autre ambition que de faire capoter les discussions et qui sait, précipiter la fin de la Belgique. Côté flamand, c’est Joëlle Milquet, décidément très en vue, qui incarne la non-volonté d’aboutir à un accord. Son image de "Madame Non" lui colle encore à la peau.
Voilà ce que proposait Di Rupo
Pour le PS, la dernière proposition reposait sur “un compromis équilibré”.Le préformateur a formulé une ultime proposition vendredi avant de remettre son tablier. Mais que proposait-il ? Résumé d’un "non paper" largement diffusé dans la presse flamande.
1
Refinancement de Bruxelles. Elio Di Rupo constate qu’un refinancement de Bruxelles est nécessaire à brefs délais. Il s’appuie sur des études du Conseil supérieur des Finances et d’une agence de notation. Pour calmer la N-VA qui réclame un lien entre les deux, il propose que la moitié de la somme projetée pour le refinancement de Bruxelles - 250 millions d’euros - soit libérée lorsque la révision de la loi de financement des entités fédérées sera entérinée. Les 250 autres millions seraient acquis tout de suite, en même temps que la scission de BHV. Ils seraient "affectés" : 65 millions pour la mobilité (financement de la Stib), 30 millions pour la sécurité lors des Sommets européens, 20 millions pour le payement de primes linguistiques, 14 millions pour compenser le manque à gagner fiscal dû à la présence de bâtiments publics, 30 millions pour la formation professionnelle des chômeurs, 41 millions pour la politique de l’emploi et 50 millions pour répondre à la croissance démographique (nouvelles écoles, crèches, etc.).
2
Révision de la loi de financement. La note établit un calendrier et une méthodologie pour la négociation de la loi finançant les Communautés et les Régions. Début des travaux : le 6 septembre avec l’installation d’un "High level group". Ce groupe bénéficierait de l’aide d’experts de la Banque nationale. Il devrait mettre un premier rapport le 6 octobre, un second en janvier 2011 et tout boucler en mars 2011.
3
Le statut de Bruxelles. Différentes mesures sont préconisées. La note stipule que les allocations familiales et une partie des soins de santé seraient confiées à la Commission communautaire commune - habile compromis : on ne crée pas de sous-nationalités à Bruxelles, mais les Communautés ont leur mot à dire dans les politiques. Il est aussi question de revoir l’emploi des langues (singulièrement dans les hôpitaux). Des listes électorales bilingues seraient autorisées. Une communauté urbaine reliant la capitale et son hinterland serait mise en place. La note évoque aussi l’idée que chaque modification relative aux accès vers Bruxelles serait négociée entre les régions.
Je ne vous ai jamais aimé non plus
Etat de droit déviant
46 personnes qui campaient devant l'Office des Etrangers "ne seront donc pas hébergées dans un hôtel. Elles y resteront jusqu'à ce que leur dossier soit entièrement traité"
Selon Fedasil, il s'agit surtout de personnes en séjour illégal, qui ont épuisé toutes les procédures ou qui ont introduit plusieurs demandes d'asile.
Cherchez les erreurs ...
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Roms : comment contourner une reconduite à la frontière ?
Mettre un pied en Belgique Ce matin, à Armentières, rue Léon-Blum, trois Roms ont franchi la frontière franco-belge, pour obéir à leur obligation de quitter le territoire.
Campement évacué: une trentaine de demandeurs d'asile à l'ULB
"Le Parlement européen se décrédibilise sur les Roms"
"Je réponds au Parlement européen qu'ils sont en train de se décrédibiliser et je leur ai dit en face", a déclaré M. Lellouche à la radio France Inter, rappelant qu'avec le traité de Lisbonne cette institution avait un "pouvoir considérable de co-décision avec le Conseil".
Le PE a voté jeudi une résolution qui demande à Paris et à d'autres Etats européens de suspendre les expulsions de Roms vers leurs pays d'origine. Ce texte à forte valeur symbolique n'a pas de caractère obligatoire.
"Quand le Parlement européen viole lui-même les textes, c'est-à-dire les directives sur les mouvements internes dans l'Union européenne et dit 'non, vous n'avez plus le droit d'expulser', ça veut dire quoi ? L'article 3 du traité n'a plus aucune valeur ?", a poursuivi M. Lellouche.
"La loi européenne, c'est que la liberté de circulation s'applique dans les 27 Etats. C'est trois mois de résidence - pas 30 ans - et c'est pas au frais de la princesse: personne n'a le droit d'aller s'installer sans ressources à l'autre bout de l'Europe aux frais du pays d'accueil", a-t-il martelé.
Faut-il supprimer les aides au retour humanitaire des Roms
une "incongruité démocratique"
Si le MR participait aux négociations, on pourrait discuter entre francophones pour d'abord définir un "projet belge" qui listerait ce que l'on veut garder en commun (par exemple, toute la sécurité sociale et la Justice), et "tout le reste, on peut discuter".
Et c'est tout à fait possible avec le FDF:
"On peut reprocher à monsieur Maingain de le dire maintenant, mais il n'est pas le seul à l'avoir dit et que dit-il fondamentalement ? Que la situation dans la périphérie serait plus facile si les six communes à facilités autour de Bruxelles étaient rattachées à la Région bruxelloise et s'il y avait un lien territorial organique entre Bruxelles et la Wallonie. C'est une évidence".
Elargir Bruxelles est une bonne revendication, "cela réglerait tous les problèmes dans les communes à facilités", mais elle est difficile à matérialiser : les Flamands n'en veulent pas. Mais ce n'est pas pour cela qu'il faut l'abandonner, pense-t-il : "Regardez, il a fallu 30 ans pour faire aboutir la revendication flamande de séparation de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Ils n'ont jamais abandonné. Nous devons continuer à plaider pour la solution la plus simple et la plus rationnelle".
jeudi 9 septembre 2010
Nezahat Namli citée à comparaître
Cancer.fr vs Vl
"si on généralisait le « prix flamand » à toute la Belgique, l'économie potentielle se monterait à 16,7 millions par an et à 1,8 million pour les patients"
Caro_Bxl vaccin contre cancer du col de l'utérus coûtera 60€ à la collectivité en Vl. contre 339€ en Wall et Bxl http://bit.ly/bpwpr2 #LeSoir #BeGov
Phineas_Barnum @Caro_Bxl Il est connu que le cancer wallon est plus grave et plus répandu #goedbestuur
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Un homme sur 2, une femme sur 3
Un vaccin cinq fois plus cher pour le Sud que pour le Nord
C'est l'histoire d'un vaccin qui scinde de facto la Belgique en deux. La prise en charge, par la Sécurité sociale, du coût d'un traitement contre le cancer du col de l'utérus – le vaccin HPV – ne sera plus la même de part et d'autre de la frontière linguistique.
Il coûtera 60 euros à la collectivité en Flandre contre 339 euros en Wallonie et à Bruxelles. Comment expliquer cette différence énorme ? Pour généraliser la vaccination, le Nord a obtenu une baisse du tarif considérable (80 % par rapport au prix initial) via un appel d'offres auprès des labos pharmaceutiques.
En Communauté française, point question de ce type de procédure. Du coup, l'Inami continuera à rembourser le vaccin au prix fort.
Merck engage une procédure contre Rudy Demotte
mercredi 8 septembre 2010
Nous sommes le 08/09/10 ...
Et une belle journée !
الله أَكْبَر#
Allah akbar الله أَكْبَر#
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Lyon : la gargouille de la discorde
Une gargouille à l'effigie d'un chef de chantier musulman sur la façade de la cathédrale Saint-Jean, au coeur du Vieux-Lyon fait grincer les dents d'une poignée d'extrémistes.
mardi 7 septembre 2010
Je ne suis pas sur d'avoir ma retraite
Réfléchir à un plan A cohérent
#Kiadi : "Madame Onkelinx découvre tout d'un coup qu'il faut un plan B. Mais, avant de commence, il aurait fallu réfléchir à un plan A cohérent qui fasse vraiment respecter
Des sans-papiers en grève ...
Kiadi: "Je suis en grève depuis onze mois, je ne peux pas rester comme ça. Cela fait maintenant plus d'un mois et je n'ai toujours rien. J'ai déposé mon dossier le 3 août et je devais avoir une réponse rapide" ?
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Des sans-papiers en grève se rassemblent près du ministère de l'immigration
Environ 200 travailleurs sans papiers en grève se sont rassemblés, lundi 6 septembre, près du ministère de l'immigration, à Paris, pour exiger des réponses quant à l'avancée de leurs demandes de régularisation. La plupart de ces travailleurs, soutenus par un collectif de cinq syndicats et six associations, sont en grève pour leur régularisation depuis octobre 2009.
En juin dernier, après huit mois de mobilisation, ils avaient obtenu du gouvernement un accord harmonisant les critères de régularisation par le travail et garantissant l'égalité de traitement entre salariés.
Depuis, 1 600 dossiers ont été déposés en préfecture, mais seulement une dizaine de travailleurs ont obtenu un titre de séjour. A chaque dépôt de dossier auprès des préfectures, l'application de l'accord reste problématique et les critères ne sont pas respectés, dénoncent les syndicats.
lundi 6 septembre 2010
"Chutte" scolaire
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La mixité sociale, vecteur de réussite ?
Le décret Inscriptions aura provoqué de nombreux remous et ce, même si l’un de ses principaux objectifs est d’assurer la mixité sociale dans les écoles. Des milliers d’enfants ont retrouvé les bancs des écoles primaires et secondaires. Leurs parents ont choisi l’établissement qui répondait le mieux à leurs attentes en termes de projet pédagogique, de population ou d’accessibilité.
Le décret Inscriptions aura provoqué de nombreux remous et ce, même si l’un de ses principaux objectifs est d’assurer la mixité sociale dans les écoles. Mais la mixité scolaire est-elle vraiment un vecteur de réussite ? C’est la question que s’est posée Emmanuelle Lenel, sociologue et assistante aux Facultés universitaires Saint-Louis (FUSL) dans son étude "La mixité à l’école comme levier de réussite ? Ressources et limites de deux modèles bruxellois", en ligne, depuis ce lundi, sur le site de Brussels Studies.