"Pour éviter les campagnes où on promet tout et celles où on dit NON à tout. (*)
Il est très frappant de voir, dans les baromètres de popularité, que Verhofstadt et moi sommes les seuls bien placés dans les trois régions.
Je songe en particulier à une ou deux personnes qui feraient bien de devoir se présenter devant l’autre communauté linguistique, dans une autre langue !"
(*)Moi, j’ai entendu beaucoup de NON, NON, NON, mais non à quoi ?
Mauvaise méthode, lui demande-t-on ?
Il manquait surtout une volonté de faire gagner les quatre partenaires. J’ai souvent dit à Leterme : est-ce qu’on ne peut pas se mettre d’accord sur le fait que l’objectif c’est que, quand on sort avec un accord, les quatre se sentent bien ? Ça n’a jamais été le cas et ça laisse évidemment un goût amer. Surtout que je constate aujourd’hui, alors que les quatre mêmes formations sont autour de la table, qu’il a suffi, en 15 jours, d’en ramener une autre pour que, d’un coup, on puisse démarrer des négociations et faire beaucoup de choses. Ça laisse le sentiment que, pendant des mois, il n’y avait peut-être pas une volonté tout à fait réelle d’avancer.
3 commentaires:
"Il manquait surtout une volonté de faire gagner les quatre partenaires."
Dit was duidelijk een probleem langs Waalse kant. (sorry : in het "Vloams" spreken we altijd over "de Walen"; ge moet leren leven met die nuance).
De toenadering kwam er onmiddellijk van zodra men Verhofstadt erin betrok en dus de Vlamingen nog maar eens deed knielen.
Maar uiteindelijk mag Reynders en zijn partij hetzelfde doen.
Je kan de democratie niet ondergraven door 25% der Vlamingen uit te sluiten, en dan verwonderd zijn dat het gevolgen heeft langs Waalse kant. Door het Cordon Sanitaire zijn de democratische regels omgedraaid. Het CS staat gelijk aan het beweren dat onze democratie niet geloofwaardig is.
@"I am NoName"
1-
Il te manque non seulement un nom, mais aussi, il me semble, un zeste de cervelle, car ce que tu nommes une "nuance" (avec laquelle en plus je devrais apprendre à vivre) est de toute évidence tout l'inverse.
Il est clair que des francophones sont aussi responsables de l'échec des négociations, dont l'élément majeur est l'inexpérience au niveau fédéral.
Il me semble que c'est d'autant plus vrai et grave en la personne d’ Yves Leterme qui avait l'ambition du poste de Premier: aucun balisage de terrain, aucun contact, aucun réseau, aucune cohésion ou compréhension de son homologue "humaniste", côté francophone.
Pour parfaire le tout, une totale capacité de créativité : nous allons tout droit à la catastrophe dans 3 mois.
@"I am NoName"
2-
Il est clair que tout ce qui caractérise fondamentalement Verhofstadt est absent chez Yves Leterme.
Principalement, la capacité d’avoir créé, conservé, développé et maintenu des liens politiques transfrontière linguistique et surtout avec sa propre « famille » politique, mais pas seulement.
La compréhension de l’intérêt du système global à cette échelle ; un respect basic des « autres », ou « différents » ; il est clair qu’il connaît l’existence/différence entre francophones, wallons, germanophones.
Il est clair aussi qu’une « solution » Verhofstadt, n’a été strictement possible qu’avec l’aide de Reynders. (Voir ci-dessus)
3- j’ignore ce qu’on entend par «CS »
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