Ce dernier est chef de groupe CD&V à la chambre et surtout l'un des 3 membres CD&V de la Commission d'enquête parlementaire chargée d'examiner si la séparation des pouvoirs a été respectée dans l'affaire Fortis, qui se réunit une nouvelle fois aujourd'hui.
La RTBF précise:
"Au sein même de la majorité les tensions sont importantes. Le CD&V veut blanchir Yves Leterme et Jo Vanderuzen quitte à mouiller d'autres membres du gouvernement. La commission Fortis va t-elle faire la vérité?"
On se souviendra des tensions énormes également au sein du CD&V, lors de la constitution du dernier gouvernement Van Rompuy, avec le jet de gant de la ministre CD&V en place, Inge Vervotte.
Ceci explique-t-il donc les titres provocateurs des pseudo-révélations d'hier dans Le Soir et relayés benoîtement par plusieurs grands quotidien ? Sont-ce donc - comme le suggère la RTBF - des "fuites" organisées par le CD&V ?
Qui pourrait d'ailleurs détenir des brouillons de mails (en français ?) de Pim Vanwalleghem ?
Qui pourrait d'ailleurs détenir des brouillons de mails (en français ?) de Pim Vanwalleghem ?
Impression après interview :
S. Verherstraeten me semble un peu à côté de ses pompes et produit une interview d'un intérêt proche de zéro. Bertrand Henne a été pourtant excellent et a posé les bonnes questions.
Lire aussi:
Fortis : Reynders réfute toute pression sur la justice
Le ministre des Finances, Didier Reynders, a indiqué mardi n'avoir exercé aucune pression sur les autorités judiciaires dans le cadre de l'affaire Fortis. "Je m'exprimerai devant les commissions parlementaires", a indiqué mardi M. Reynders.
Reynders au secours des banques (bis)
Le ministre des Finances estime qu’un nouveau plan de sauvetage des banques belges est nécessaire. Il posera la question mercredi au cours d’une réunion gouvernementale. « Il faut qu’on s’y prenne suffisamment tôt pour éviter cette fois de devoir à nouveau sauver une banque en l’espace d’une nuit », a souligné Didier Reynders.
Le ministre des Finances estime qu’un nouveau plan de sauvetage des banques belges est nécessaire. Il posera la question mercredi au cours d’une réunion gouvernementale. « Il faut qu’on s’y prenne suffisamment tôt pour éviter cette fois de devoir à nouveau sauver une banque en l’espace d’une nuit », a souligné Didier Reynders.
Jan De Groof, le mari « entreprenant » de la juge
Christine Schurmans et Jan De Groof. Un couple jusqu’ici sans histoires mais qui suscite plus que des interrogations depuis que Le Soir a révélé ce lundi que l’époux de la conseillère de la cour d’appel de Bruxelles est un membre du CD&V très proche d’Yves Leterme. Depuis lors, le rôle joué Jan De Groof dans l’arrêt rendu vendredi dernier par la 18e chambre de la cour d’appel interpelle. Car il aurait été très actif, profitant peut-être de la fonction de son épouse.
Devant les élus du peuple, Yves Leterme a certifié, mercredi, que pour ce qui touche à la procédure devant la cour d’appel, aucun contact n’avait été noué « entre ma cellule stratégique et les magistrats chargés du dossier ». Et pour cause : ce serait avec Jan De Groof que Hans D’Hondt, président de la chancellerie du Premier ministre, aurait échangé de nombreux coups de téléphone et des SMS. Dès le mercredi 10 décembre. Ce qui expliquerait l’ébullition qui régnait au sein du gouvernement le 11 décembre, veille de l’arrêt de la cour.
Christine Schurmans et Jan De Groof. Un couple jusqu’ici sans histoires mais qui suscite plus que des interrogations depuis que Le Soir a révélé ce lundi que l’époux de la conseillère de la cour d’appel de Bruxelles est un membre du CD&V très proche d’Yves Leterme. Depuis lors, le rôle joué Jan De Groof dans l’arrêt rendu vendredi dernier par la 18e chambre de la cour d’appel interpelle. Car il aurait été très actif, profitant peut-être de la fonction de son épouse.
Devant les élus du peuple, Yves Leterme a certifié, mercredi, que pour ce qui touche à la procédure devant la cour d’appel, aucun contact n’avait été noué « entre ma cellule stratégique et les magistrats chargés du dossier ». Et pour cause : ce serait avec Jan De Groof que Hans D’Hondt, président de la chancellerie du Premier ministre, aurait échangé de nombreux coups de téléphone et des SMS. Dès le mercredi 10 décembre. Ce qui expliquerait l’ébullition qui régnait au sein du gouvernement le 11 décembre, veille de l’arrêt de la cour.
5 commentaires:
Plus intéressante était la longue interview de Servais dans le Standaard, samedi. Du CVP pur jus, à l'ancienne...
As-tu des nouvelles de la Juge Schurman?
Va-t-elle mieux?
Est-elle guérie?
Et son mari?
@ charles
N'ai pas lu, malheureusement.
Me suis demandé si la langue n'y était pas pour qqechose, ce matin.
@Echo
Pas de nouvelles du couple Schurman.
M'est d'avis que c'est plutôt 7 Beaufort de ce côté ...
PS@Charles
et pas disponible via le Wouaib.
Un résumé disponible, qqepart ?
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