jeudi 12 juin 2008

Journée mondiale contre le travail des enfants

Cette année, pour la journée mondiale contre le travail des enfants, l'OIT met l'accent sur l'éducation. Une bonne alternative au travail, mais pas toujours réalisable dans les pays pauvres.

L’OIT affirme que l’éducation est la «bonne réponse» au travail des enfants
Citant des données selon lesquelles un grand nombre des 75 millions d’enfants privés de scolarité primaire avaient commencé à travailler à un âge précoce, le Bureau international du Travail (BIT) a affirmé aujourd’hui que l’éducation était fondamentale pour briser le cycle du travail des enfants et de la pauvreté, ainsi que pour éradiquer les pires formes du travail des enfants d’ici à 2016.

Lire aussi:
Journée mondiale contre le travail des enfants 2008 - L'éducation: La bonne réponse au travail des enfants
Message de Juan Somavia à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le travail des enfants: L’objectif est celui d’une éducation de qualité pour les enfants et d’un travail décent pour les adultes.

3 commentaires:

x a dit…

je suis pour le travail des enfants...
bein sur dans des conditions décentes et avec unsorte de mi-temps leur permettant éventuellement d'étudier.

Il faut qu'on arrête de faire de l'euro centrisme. Un gosse qui ne travaille pas dans une entreprise pour aider sa famille, c'est souvent un gosse sur le trottoir...

A choisir, je préfère qu'il bosse et qu'on puisse dès lors contrôler ses conditions.

himself a dit…

@Chaos

voilà une opinion assez engagée sur le sujet.
Pour ma part, je crois qu'aller à l'école (au moins 1/2 journée / jour) devrait être synonyme de nourriture pour l'enfant, voire pour les parents.

x a dit…

@himself

évidemment. c'est en ce sens que je parle de pouvoir contrôler leurs conditions de travails.

Pour moi les entreprises de ces pays doivent payer ces enfants mais aussi développer, comme ce fut le cas en europe, une sorte de paternalisme... et donc créer des écoles pour ces enfants et les enfants de leurs employés adultes.
Et bien sur, offrir en parallèle un salire décent (par rapport aux conditions locales)