lundi 16 février 2009

Crise du libéralisme ?

“Aaaaaah ! Di-di-er Rey-n-ders ! Ce n’est pas encore le gouvernement, que je sache, hein ! C’est encore une déclaration qui crée de l’inquiétude alors qu’on a déjà dépensé tant d’argent – plus de 20 milliards – pour aider les banques en pensant au sort des épargnants ! Ce qui importe, aujourd’hui, c’est de travailler avec la discrétion voulue sans ajouter à cette crise libérale un climat d’incertitude…”


4 commentaires:

x a dit…

Je n'apprécie pas spécialement Big Loulou m'est force m'est de constater qu'au niveau de la communication, c'est encore un vieux de la vieille qui reste un cran au dessus des petits jeunes mal préparés que nous avons... et ceci, je le dis pour tous les partis confondus...

Elio en face ne fait pas le poids... au final, ce serait pas mal qu'il revienne mettre fin à la cour de récréations de nos dirigeants actuels qui se livrent des guerres personnelles plus qu'un vrai d'idées...

himself a dit…

@Chaos

je n'ai pas d'affinités particulières avec l'homme qui me semble très correct - j'ai toujours trouvé un peu zarbi qu'il soit devenu chef de parti.

Je dois avouer qu'Elio est un fin orateur, qui prépare très bien ses interventions. Le problème plus que majeur avec l'homme, c'est qu'il est d'une malhonnêté intellectuelle crasse; re-écouter en détail et attentivement ses propos sont toujours fort intéressant, car les ficelles sont toujours assez grosses - peu font cet effort; je me penche sur la signification de mot populisme depuis qqes jours et je trouve qu'Elio l'incarne à merveille.

x a dit…

Pour moi, il n'est pas populiste car il ne remet pas en cause la démocratie ni d'ailleurs ne propose le pouvoir au peuple (enfin si.. pour autant qu'il soit le peuple 'est ce pas).

Non, il n'est pas populiste. Est ce être populiste que de tenir des propos entendu dans un bar?

Non... ici, il devient juste médiocre et intellectuellement malhonnête. Je trouve ça très dommage pour ue personne que j'estime au demeurant être très intelligente.
Descendre dans la fange comme il le fait n'est pas populiste, c'est juste médiocre.

Populisme
Le populisme met en accusation les élites ou des petits groupes d'intérêt particulier de la société. Parce qu'ils détiennent un pouvoir, le populisme leur attribue la responsabilité des maux de la société : ces groupes chercheraient la satisfaction de leurs intérêts propres et trahiraient les intérêts de la plus grande partie de la population. Les populistes proposent donc de retirer l'appareil d'État des mains de ces élites égoïstes, voire criminelles, pour le « mettre au service du peuple ». Afin de remédier à cette situation, le leader populiste propose des solutions qui appellent au bon sens populaire(...)

Ici, je ne peut que constater, si j'en suis la définition de wikipédia, que l'on ne peut le qualifier de populiste (pas plus que Aernoudt tiens).
==> Ils ne sont pas "anti démocratie"
==>Aucun ne prône l'abandon de l'Etat (et encore moins le PS fatalement vu qu'il y est au pouvoir)
...

Anonyme a dit…

M. Louis Michel a raison.

Le capitalisme est une méthode de marché : M. Bernard Charles Ecclestone est en position dominante - disons franchement monopolistique - dans son secteur d'activité et est en capacité d'imposer des conditions d'échanges à son unique avantage dans des circonstances qui contribuent encore à renforcer sa position de départ.

Le Libéralisme est une doctrine : M. Bernard Charles Ecclestone est la sixième fortune de Grande-Bretagne parce qu'il le vaut bien et personne n'a fait de cadeau à M. Bernard Charles Ecclestone qui s'est battu pour être là où il est ; M. Bernard Charles Ecclestone est notre bienfaiteur qui essaie d'inculquer l'esprit de compétition aux indécrottables assistés wallons.

Qu'il s'agisse de méthode ou de doctrine, peu importe : l'avidité des édiles PS et MR à privatiser les bénéfices de Francorchamps et à laisser les pertes à la solidarité du contribuable fut remarquable. Tous des libéraux.