XXI

Updated 30/03/08

XXI : lisez-le, on vous dit! chez François sur Périscope (et je recommande ce blog d'une manière générale !)
Un peu tard vaut mieux que jamais. Je profite de ce post d’himself pour joindre ma voix à la grande pléiade des encenseurs de XXI, ce nouveau magazine d’information d’un style radicalement atypique dans le milieu médiatique actuel. A l’instantané, XXI préfère le moyen terme (trimestriel). A la brève, à l’AFP ou autre, XXI préfère la longueur. A la forme, XXI préfère le fond

BANDE-ANNONCE XXI
envoyé par rollinpublications

Le sommaire du premier numéro

XXI: nouveau magazine d'information

CARREMENT GEANT!
Le panard, fieu ! A franchement parler, je n’avais même plus ressenti un tel plaisir à lire l’actualité depuis Actuel dans les années 80 et Libération il y a 7 ou 8 ans, avant que cela ne parte complètement en couille. Je déclare donc XXI meilleur magazine du monde et comme j’ai assez bien la flemme (17 heures de beuverie sur le week-end, tout de même…), je vous invite, si vous ne captez rien à ce post, à lire ce qu’en dit très bien The Mole sur son blog!

"XXI" fait la nique aux éditeurs de presse
Sacré pied de nez des maisons littéraires aux éditeurs de presse ! La première livraison de la revue trimestrielle XXI, fondée par Laurent Beccaria (éditions Les arènes) et Patrick de Saint-Exupéry, ex-grand reporter au Figaro, est épuisée… 40.000 exemplaires écoulés, en moins de 15 jours. Et 10.000 autres en réimpression. L’objectif initial de ventes (20.000, pour atteindre l’équilibre) est explosé.

XXI, donc, est un nouveau trimestriel. 200 pages de « narrative journalism » haut de gamme vendues exclusivement en librairies (au sens français du terme ; au grand dam des marchands de journeaux) et qui s’arrachent comme des petits pains, malgré les 15 euros qu’il en coûte. Et si la campagne de promotion du nouveau venu — il y a du beau monde à l’orchestration 1 — a manifestement été très soignée, elle n’explique pas à elle seule un engouement qui semble principalement lié à la qualité des plumes qui s’y expriment.