En utilisant un moteur de recherche "chinois" (Accoona.cn) avec les mots "free tibet" ... voici la réponse; il est vrai que le "about" précise bien qu'il fait usage d' "Intelligence Artificielle"... la recherche aussi semble très artificielle.
Accoona.cn is a search engine powered by proprietary Artificial Intelligence (AI) technology.
Je propose donc, sous le couvert de notre ambassadrice OSCE de la démocratie de choc (l'ambassadrice et la démocratie), préparatrice de la Conférence "OCDE" , (favorable à des liens étroits avec la Chine, voire son adhésion)
d'envoyer une délégation de séparatistes flamands au Tibet, afin d'y former un gouvernement interimairement provisoire qui devrait finaliser une réforme institutionnelle d'ici avant le démarrage des JO de Pékin.
Un bart De Wever aux affaires tibéto-flamandes me semble du plus bel effet; on devrait pouvoir aussi trouver des places ad'hoc pour la clique du VB dans un monastère sur les contreforts sud de l’Himalaya, afin de tester leurs grands desseins séparatistes, avec coupe au "bol tibétain" réglementaire.
Me donnent l'envie de couler un bonze, ces mecs du VB.
Il faut ne pas boycotter les Jeux "sportifs", mais au contraire profiter de cette immense tribune pour crier à la Terre entière, ce qui nous dérange.
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Pékin mon amour
Voilà, je ne sais pas ce que Sarko décidera sur le Tibet (participera au défilé d’honneur ou pas), et je m’en fous car j’annonce officiellement et solennellement aux foules en délire que je boycotterai les JO de Pékin pour manquement grave aux valeurs d’humanité qui m’animent.
Boycottera, boycottera pas?
Alors que le président français Nicolas Sarkozy a affirmé mardi ne pas exclure l'éventualité d'un boycott des prochains Jeux olympiques de Pékin, le vice-premier ministre Didier Reynders, très préoccupé, déclare mercredi dans le journal Le Soir.
"Le boycott n'est pas une bonne solution", estime Didier Reynders, conformément à la position officielle adoptée par le gouvernement belge, tout en précisant toutefois qu'"on ne peut jamais exclure le pire". "Le gouvernement reste très attentif à l'évolution de la situation. Nous lançons un appel au dialogue, à une attitude raisonnable et ouverte des autorités chinoises à l'égard du Tibet", ajoute le vice-premier ministre, qui est à ce jour le seul représentant du gouvernement belge à s'être rendu en visite officielle au Tibet. C'était en octobre 2006."Bert Anciaux ne se rendra pas à la cérémonie d'ouverture des JO
"Je serai présent aux Jeux olympiques principalement pour soutenir les athlètes belges", explique Bert Anciaux. Il tient par ailleurs à ce que son absence à la cérémonie d'ouverture ne soit pas interprétée comme un boycott. "Je ne suis simplement pas très protocolaire", indique-t-il et d'ajouter: "je ne suis pas partisan d'un boycott des Jeux olympiques"
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Tibet Olympic boycott not right: Smith
A boycott of the Olympics over China's actions in Tibet would not be sensible, Foreign Minister Stephen Smith said.
Dalai Lama's "remarkable restraint"
Xinhua - 2008-03-26
After violence erupted in Lhasa and other Tibetan towns in China, the Dalai Lama, who has called himself an "innocent monk", repeatedly called on for "non-violence" and "dialogue" with the Chinese government and said he would "resign as leader of Tibet's exiles if there are more violent anti-Chinese protests".
There is the pacifist image of a man with "remarkable restraint", as a foreign editorial said. Not everyone in China is convinced that this is the reality.
Since he fled to India in 1959, the Dalai Lama has advocated "Tibetan Independence."
He has delivered speeches every March 10 to commemorate a rebellion in 1959. From 1960 to 1977, he mentioned Tibet as independent -- historically and culturally -- in 12 of these annual addresses.
In the late 1970s, western countries began improving relations with China. The Dalai Lama then embarked upon a "middle course" -- greater autonomy in "Greater Tibet" featuring his five-point peace plan presented to members of the US Congress, and his seven-point Strasbourg proposal.
His "Greater Tibet" covers not only the present Tibet Autonomous Region but also the adjacent Qinghai Province, the southern part of Gansu Province, the western part of Sichuan Province and the northwestern part of Yunnan Province, which takes up about a quarter of China's territory.
This so-called "Greater Tibet" never existed, said experts.
"Tibet has been part of China since the Yuan Dynasty in the 13th century," said Ngagwang Cering, head of the institute of contemporary studies of the Tibetan Academy of Social Sciences. According to this researcher, the term "Tibet Independence" came about only some 20 years after the British invasion of the area in 1904.
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