"Le FDF mène le combat du siècle passé, qui n'a plus lieu qu'à Bruxelles et en périphérie.La NV-A est-elle un macro-ennemi ?
C'est un micro-ennemi.
Les vrais problèmes, ce sont les problèmes socio-économiques. Et là, j'ai bien vu que, parmi les francophones, seul le MR était prêt à abandonner le discours de la crainte, de la misère, de la dépendance. Ce qu'on peut reprocher à Didier Reynders, c'est de n'avoir rien fait pour essayer de sortir Joëlle Milquet de sa logique, hostile à l'orange bleue.
Reynders a toujours été très cynique, avec des phrases qui tuent et un certain machisme. Ce n'était pas la meilleure façon de convaincre Joëlle Milquet. "
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D'après Charles Bricman, Bart n'est par contre pas un macro-con: Il est intelligent, Bart.
Bart De Wever est dangereux (16 mars 2008)
Cela m’ennuie mais je dois bien reconnaître que Bart De Wever a probablement raison quand il claironne dans La Libre que “la Belgique n’existe plus“. Parce que, comme il le dit très bien:
Pardon! Je vous ai fait peur? Je vous explique: un antilibéral, pour moi, cela n’a rien à voir avec quelqu’un qui se contente de ne pas voter pour Verhofstadt et de ne pas aimer Reynders. Un antilibéral, pour moi, c’est quelqu’un qui considère que des abstractions telles que l’Eglise, l’Etat, le Peuple, la Classe ou la Nation sont plus importants que les gens qui en font partie. Que ce sont des fins en soi, pas de simples outils.
Cela m’ennuie mais je dois bien reconnaître que Bart De Wever a probablement raison quand il claironne dans La Libre que “la Belgique n’existe plus“. Parce que, comme il le dit très bien:
“La Belgique n’est qu’une conférence diplomatique permanente entre deux pays”Il est intelligent, Bart. C’est pour ça qu’il est dangereux. Pas parce qu’il est Flamand, ni même parce qu’il est de la NV-A. Je le trouverais dangereux même s’il était francophone, et président du FDF, ou Wallon et député socialiste. Parce que Bart est nationaliste. C’est-à-dire antilibéral.
Pardon! Je vous ai fait peur? Je vous explique: un antilibéral, pour moi, cela n’a rien à voir avec quelqu’un qui se contente de ne pas voter pour Verhofstadt et de ne pas aimer Reynders. Un antilibéral, pour moi, c’est quelqu’un qui considère que des abstractions telles que l’Eglise, l’Etat, le Peuple, la Classe ou la Nation sont plus importants que les gens qui en font partie. Que ce sont des fins en soi, pas de simples outils.
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