Ce microgonadoclaste ne témoignera pas devant la commission parlementaire qui analyse la gestion de la crise financière. Il dit suivre l'aimable recommandation d'Herman Van Rompuy, qui lui avait conseillé de ne plus s’exprimer dans le dossier Fortis … mais dans les médias, triple buse !
Ce type a un problème comportemental grave.
En fait il n'est pas le seul; à côté de la schizophrénie de l'ex-premier, il y a aussi les névrosés obsessionnels ... et médiatiques - « D’abord, comme à son habitude, le PS a de nouveau demandé à ce que les auditions se fassent en séance publique. Il y a eu un petit débat autour de la question. Le huis clos n’a pas été levé par les rares membres de la commission qui étaient présents, ce qui a permis plus de sérénité » -:
Laurette Onkelinx :
a affirmé lundi devant les parlementaires que l’idée d’utiliser les 125 millions d’actions Fortis aux mains de l’État pour le vote lors de l’assemblée générale des actionnaires, en février dernier, venait en direct du ministre des Finances. Elle s’est montrée catégorique. Selon la socialiste, qui s’y est opposée d’emblée soutient-elle, Didier Reynders a proposé cette formule en conseil des ministres, la veille de l’AG ; et Luc Coene ainsi que l’avocat de l’État ont aussi plaidé en ce sens en comité ministériel, le soir, mais se sont heurtés à l’hostilité du gouvernement. On connaît la suite : le dérapage en AG, où l’accord Fortis-Paribas est recalé, notamment parce que la velléité d’utiliser les 125 millions d’actions a braqué certains actionnaires.
Yvan Mayeur :
« Didier Reynders est venu nous répéter que c’est en assistant au match Standard-Anderlecht, le vendredi 26 septembre 2008, qu’il a appris les grandes difficultés de Fortis ; dans les loges, avec Yves Leterme, alors Premier ministre, et Guy Quaden, gouverneur de la Banque nationale. Je suis très sceptique ». Le krach bancaire n’avait pas été « prévu » ? Le ministre des Finances exonère la commission de contrôle des banques et des assurances (CBFA) de toute responsabilité, et son pilote, Jean-Paul Servais : « En revanche, il cite… l’Organisation mondiale du Commerce et Pascal Lamy, le Fonds monétaire international et Dominique Strauss-Kahn, la Banque nationale et Guy Quaden… Trois institutions pilotées par des personnalités socialistes ! Suivez mon regard. Jean-Paul Servais, lui, son ami libéral, le plus concerné par tout cela, n’a rien à voir… »
"Il nous a expliqué la crise pour les nuls, confirmant ce que l'on savait déjà"
Yvan Mayeur ne pouvait mieux résumer sa situation.
1 commentaire:
Je ne vois vraiment pas ce qu'himself a comme intérêt à vouloir couler Didier Reynders. cette technique est non seulement malhonnete mais ne poaiera pas : le centre de la wallonie a définitivement bougé, n'en déplaise à himself et à ses amis bolcheviks.
En relayant les propos de socialistes aux abois contre le ministre des finances, il jette le doute sur le superbe travail réalisé par DR en sauvant Fortis, les avoirs des citoyens, le personnel et les petits actionnaires.
Il ferait beaucoup mieux de s'indigner de ce que le flamand qui dirigeait le pays refuse de venir dire pourquoi il a mis des batons dans les roues de didier Reynders. Evidemment c'est en accord avec les camarades de l'empereur himself !!!
Sand doute etait-ce pour mieux sauver la KBC grace à laquelle le faux calcul du PIB est dénoncé par l'OCDE (voir article suivant)
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