mardi 21 avril 2009

Fédérer les blogs citoyens

Fédérons les blogs citoyens , nous propose Pamina
Essayons de réseauter, si pas de structurer, nos efforts en vue d'un "Bien commun" politique.


Continuer à prendre un peu de hauteur à propos du trip californien et lire aussi:
“Bye bye Trip”
José Happart offre un petit cadeau à Marie Longserre. José Happart est le président du Parlement wallon (Belgique) et Marie Longserre est la présidente de SFBI, le Santa Fe Business Incubator, USA. Cette photo a été prise le 6 avril dernier et constitue une preuve visuelle (la seule jusqu’ici ?) de la présence d’une délégation de parlementaires wallons en Californie.

Le crépuscule des décadents wallons
La bonne nouvelle dans le fait de se payer un bye bye trip, même s’il passe inutilement par Phoenix, c’est qu’il s’agit du dernier. Donc, cinq de nos sept parlementaires régionaux tireront leur révérence au mois de juin. Pour certains, la durée du mandat de député se comptait en décennies. Aussi loin que je me rappelle avoir suivi l’actualité politique, ces hommes occupent le paysage. Pour quel bilan…


Le voyage en Californie, ou les petites corruptions de la démocratie
Il y a quatre degrés dans l’échelle de Richter de la dégradation des mœurs de ceux qui ont décidé de faire de la politique leur profession. Au degré 1, ils n’en retirent aucun avantage matériel. Leur privilège incroyable, c’est d’être rémunéré pour faire ce que, jusqu’à un certain point, ils auraient fait bénévolement : militer pour leurs idées. Leur profession leur permettra d’aller un cran plus loin : ils seront en position d’influencer la marche de la société en fonction de leur conception de la justice et du bien public. N’est-ce pas là un véritable bonheur, en comparaison avec ceux qui vendent leur force de travail contre un salaire afin de produire des biens ou des services dont ils n’ont que faire, ce qui est tout de même le lot de la majorité de la population ? Ce privilège devrait constituer une motivation suffisante au désir de briguer un mandat public.

Ne votons plus "l'homme" mais le "thème"
Et si la solution à la particratie pouvait se trouver dans un mode de réflexion totalement distinct? Totalement différent?Si on pensait "out of the box"? Si on faisait un parallèle entre "législature" et "projet"? Si un gouvernement devenait un Board de Direction, le Parlement un Conseil d'Administration, le Senat un Comité de Durabilité/Ethique et les électeurs "actionnaires"Si... nous cessions simplement de voter pour... des gens ou des partis?Si nous votions pour des idées (vous me direz que les hommes portent des idées... mais on reste alors dans la logique actuelle...) ?


Le révisionnisme est en marche?
Il est parfois désagréable de se faire faire la morale par quelqu’un qui a une notion très relative de ce qu’est l’éthique. Extrait de l’interview de Delmotte, ce matin : "Il faut rendre au débat politique un petit peu de hauteur. On a le sentiment que ça se passe très bas pour le moment: c'est sous la ceinture. C'est le degré zéro de la politique, quand on ne parle plus que de cela, on peut être triste de ce qui se passe.

Changements de mentalité ?
Rudy Demotte est l'invité de Matin Première Dernière ligne droite pour les élections européennes et régionales de juin prochain.Le degré zéro de la Politique, c'est peut-être la cécité de nos mandataires.

"un voyage dans la norme"
Dixit Van Cau. Ce qui est inquiétant, n'est-ce pas la norme elle même ?

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