Il y a eu le Bien-aimé Bernard, Pan revient sur ce « cher Gérard (Monseux)» et sa jolie histoire "La femme masquée à l’ICDI" aussi surréaliste que désespérante: le volet ICDI des affaires carolos.
Philippe Sonnet ne relâche pas la pression avec ses vingt questions auxquelles il entend bien recevoir une réponse rapide. Elles fleurent bon la volonté de bonne gouvernance, comme on dit à Charleroi désormais : il s’interroge
- sur les conditions d’achat de la BMW de fonction du directeur général, sur l’éventuel marché public passé à cette occasion,
- sur l’avantage fiscal que cela représente,
- sur les hôtesses (???) engagées par l’ICDI,
- sur les travaux effectués à l’ICDI sur la voiture de la compagne du directeur général,
- et sur le coût des voyages que la même dame a effectués (à quel titre ?) avec lui pour compte de l’ICDI, et autres joyeusetés.
À la mi-septembre, le comité de gestion en délibérera, et verra si tout cela était bien justifiable et justifié.
reLire aussi:
Les affaires du passé sont celles du futur
Un peloton de protestataires
L'association de défense de l'environnement moncellois maintient la pression sur les autorités.
En juin dernier, une cinquantaine de riverains du centre d'enfouissement technique du Beaumont (CETB), à Monceau-sur-Sambre, avaient manifesté leur ras-le-bol au conseil communal. Une action énergique qui avait, au moins, permis de rétablir le dialogue avec les autorités communales et l'échevin de l'Aménagement du territoire Eric Massin (PS). L'ambition des Moncellois est claire : obtenir la fermeture pure et simple de la décharge qui leur gâche la vie depuis deux décennies.
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