Leterme : la RTBF est un vestige du passé
La RTBF est une chaîne qui dispose de son propre agenda politique, c’est un vestige du passé, a déclaré samedi l’ancien formateur Yves Leterme dans un entretien accordé aux quotidiens Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen.
Dans cette interview, M. Leterme affirme également que la RTBF est aussi appelée
« Radio Mille Collines », faisant ainsi référence à la radio du même nom, qui émettait au Rwanda en 1993 et 1994 pendant le génocide, appelant notamment aux actes de violence envers les Tutsis.
« Savez-vous comment on appelle aussi la RTBF ? Radio Mille Collines », déclare
Yves Leterme au journaliste qui l’interroge. M. Leterme est très critique à l’égard de la chaîne publique francophone, à la suite de son émission « Questions à la Une », mercredi dernier, sur les coulisses des négociations gouvernementales.
Au cours de ce reportage, Joëlle Milquet, présidente du cdH, déclarait que ces négociations se déroulaient de manière trop chaotique.
Quoi de neuf, docteur Leterme ?
Sacré farceur !
Nous avons dû rater une date clé dans la saga d’Yves Leterme. L’ex-formateur a un frère jumeau, « Yves Leterme, l’Autre ». Incroyablement différents. Jugez plutôt.
Le premier, Yves Leterme, a pendant 181 jours refusé toute autre formule que l’Orange bleue, incapable de proposer une ouverture au Roi pour sortir le pays du cul-de-sac dans lequel son manque de savoir-faire et son obstination l’avaient conduit.
Le second, « Yves Leterme, l’Autre », vient de sortir de l’anonymat, annonçant dans des interviews tonitruantes qu’il est prêt à discuter d’une tripartite, classique ou non. Ce que la presse flamande et les observateurs considèrent comme la seule évidence depuis des semaines.
En fait, on hallucine ! Car Yves Leterme et « Yves Leterme, l’Autre » ne font qu’une seule et même personne. Et cette sortie appelant à la tripartite ne manque ni d’indignité ni de mauvaise foi. En fait, elle ne manque pas de culot.
C’est une exclusivité que RTL vous propose aujourd’hui ! ‘Monsieur 800.000 voix’ était l’invité de Katryn Brahy et Fabrice Grosfilley à l’issue du journal de 13 heures sur RTL-TVI et en simultané sur Bel RTL. On retrouvera l'essentiel des propos du double ex-formateur dans l’édition de 19h du journal de RTL-TVI, ainsi que l'interview intégrale sur le site internet après la fin de sa diffusion en direct sur RTL-TVI.Pas de gouvernement sans Yves lire la suite »
Qu'a-t-il encore à dire, après son échec lamentable? Ces échecs lamentables, faudra-t-il bien dire et sa tactique du Zwarte Piet aussi grossière, que minable.
Elle aura juste réussi à diviser encore plus les électeurs francophones pas très malins, plomber encore plus l'image de marque "belgique" et se ridiculiser encore plus...
On déstocke avant les fêtes !
Hier, la même RTL-TVI nous proposait "Une maman dans la crise"supposée nous montrer comment maman Milquet gère sa vie, entre politique et famille, suivie par Hakima Dharmouch durant les négociations pour la formation d'un nouveau gouvernement... alors que ce n'est pas fini, ou sait-on déjà que Joëlle, comme Capri, c'est fini ?
Pourquoi cette émission maintenant, alors que la RTBF vient aussi de sortir de ses cartons une retrospective des arrières-coulisses des négociations ... qui comme souvent avec les émissions de "Questions à la Une", vient de faire l'effet d'une bombe ... ou ici encore , avec une brillante intervention de Laurette Onkelinx.
Uit de oude doos
Het is nog maar eens hommeles tussen de MR van Didier Reynders en de cdH van Joëlle ‘Non’ Milquet. Rechtstreekse aanleiding voor dit nieuwste dispuut is het RTBf-programma ‘Questions à la Une’ van woensdagavond. Daarin zegt Joëlle Milquet het “onverteerbaar te vinden dat ze de enige echte Franstalige is rond de onderhandelingstafel.”
Didier Reynders reageerde gepikeerd en had het over een ernstige breuk in het vertrouwen tussen beide partijen en concludeert dat Milquet er voor gekozen heeft om niet met de MR in een regering te stappen maar zich daarentegen populair probeert te maken bij de Franstaligen op de rug van de MR.
Het programma ‘Questions à la Une’ van vorige woensdag staat symbool voor de manier waarop de RTBf het formatieberaad aanpakt. In het anderhalf uur durend programma van vorige woensdag kreeg men tot nu niet getoonde beelden achter de coulissen van het formatieberaad. De afspraak was dat deze beelden pas getoond zouden worden nadat het formatieberaad helemaal rond is en de nieuwe regering de eed heeft afgelegd. Daardoor konden de betrokken politici vrijer spreken. Maar de RTBf hield zich niet aan die afspraak.
A voir aussi sur ce blog sur ces sujets :
Mise à jour de : Le PS essaie de revenir sur le devant de la scène et Alea jacta est
ou encore , ...
Leterme renie l'Orange bleue - 08 décembre 2007
181 jours sans nouveau gouvernement. L'ex-formateur renie la coalition orange-bleue qu'il a voulu bâtir. Il plaide surtout pour d'autres formules, dont la tripartite. Au passage, il égratigne Joëlle Milquet, qu'il tient pour responsable du blocage actuel.
Après 174 jours de crise, Yves Leterme jetait l'éponge pour la deuxième fois, samedi dernier. Un échec. Et une désillusion de plus pour le Premier ministre potentiel. Une semaine plus tard, il s'exprime pour la première fois dans un entretien publié ce samedi matin par nos confrères du Standaard.
Il le dit : l'Orange bleue est bel et bien morte. Avec, en responsable principal, Joëlle Milquet :
« Nous étions près d'un accord, mais le CDH n'a finalement pas voulu y aller. »
Quelle issue, alors ? Il pense à une tripartie classique (libéraux, socialistes, chrétiens humanistes) ou à « une autre formule élargie ».
Les écologistes pourraient en être :
« Je suis prêt à parler avec tous les partis qui veulent prendre leurs responsabilités. »
Par contre, il exclut l'éventualité d'une « Violette » (l'actuelle coalition libérale-socialiste) élargie ou de toute autre formule sans le cartel CD&V/N-VA.
« Après 180 jours, nous devons évidemment prendre en main les problèmes urgents,
explique-t-il au Standaard. Mais la mise en place de quelque gouvernement que ce soit devra prendre en compte le choix de l'électeur. Nous ne voyons aucun gouvernement susceptible de démarrer sans le cartel. Une équipe d'urgence violette serait un gouvernement contre la Flandre. Et d'ajouter, dur : La violette ne dispose que de 32 sièges sur 88 en Flandre. C'est sur cette base-là que l'on demanderait la confiance au Parlement ? Va-t-on permettre à la monarchie d'aller jusqu'à nommer Verhofstadt comme formateur ? »
Ce serait contraire à la démocratie, sous-entend-il. Une forme d'abus de pouvoir.
Reynders devrait payer cher…
Yves Leterme est-il politiquement mort après ses échecs successifs ?
A-t-il renoncé à son ambition de devenir Premier ministre ?
Pas encore. Mais, précise-t-il, ce ne sera pas à n'importe quel prix. L'homme n'exclut même pas de devenir vice-Premier d'une coalition emmenée par le président du MR, Didier Reynders.
Mais…
« il devra venir de loin », ajoute-t-il, perfide, car le cartel CD&V/N-VA
« est de loin la plus grande formation et le MR a perdu deux sièges ».
L'homme est amer ? Sans doute. Mais il ne renonce pas. Et les 174 jours de négociations n'ont pas été inutiles, selon lui. « Nous avons pu transformer un “non” absolu du côté francophone en une conscience qu'aucune gestion du pays ne serait possible sans une réforme de l'Etat, et ce chez tout le monde, y compris le PS et Ecolo. »
Une responsabilisation des Régions s'impose, prolonge-t-il à l'adresse du Sud du pays. « Ce n'est quand même pas génétiquement inscrit que la Wallonie doive rester une telle région retardataire en Europe ? Il y a des régions qui travaillent de façon fantastique, comme le Brabant wallon. Mais seule une plus grande responsabilisation fournira le combustible nécessaire pour une reprise de la Wallonie. »
Yves Leterme s'exprime ce matin dans deux quotidiens flamands. Ce samedi, il sera sur les plateaux de la VRT et de RTL-TVI. Le Premier ministrable aurait refusé que la chaîne flamande fournisse des images de l'entretien à la RTBF. Le leader du cartel, qui dit vouloir revenir, a décidément la rancune tenace.
Les internautes plébiscitent le PS sur RTLinfo
Ils désapprouvent le rôle du Roi
J +148 sans gouvernement: la note pourrait être salée pour l'économie
Leterme wil geen noodregering zonder kartel - 08/12/2007CD&V-boegbeeld Yves Leterme zegt zaterdag in interviews met een aantal kranten nog steeds kandidaat-premier te zijn, maar niet tegen elke prijs. "Ik wil vooral woord houden", luidt het, waarbij hij verwijst naar de inhoud van het regeerakkoord en een staatshervorming. Leterme pleit ook voor een formule met "een zo breed mogelijke meerderheid", liefst een tweederde. Hij verzet zich absoluut tegen een noodregering zonder deelname van het kartel CD&V-N-VA.
De Wever: regering met tweederdemeerderheid - 07/12/2007
Voorzitter Bart De Wever van de N-VA geeft de voorkeur aan een regering met een tweederdemeerderheid. Het voordeel van een dergelijke regering is dat ze een staatshervorming in eigen schoot kan uitvoeren, zo zei hij vrijdagochtend op Radio 1.
Een regering met een tweederdemeerderheid kan een klassieke tripartite zijn, maar dat hoeft voor de N-VA-voorzitter niet noodzakelijk. Voor oranje-blauw ziet De Wever geen grote toekomst meer. "Als je zes maanden hebt onderhandeld zonder resultaat, kan je moeilijk zeggen dat het nog een frisse en dynamische formule is".
"Verhofstadt geschikste premier" - 07/12/2007
De Vlaming heeft het meeste vertrouwen in Guy Verhofstadt als premier. Maar Yves Leterme volgt maar op 1 pct en is de populairste. Dat blijkt uit een nieuwe peiling.
Naar aanleiding van de politieke crisis lieten de VRT en De Standaard tussen 4 en 7 december een extra peiling uitvoeren bij 751 stemgerechtigde Vlamingen. Daaruit blijkt een nek-aan-nek-race tussen Verhofstadt en Leterme.
Van de ondervraagden vindt 41 pct Verhofstadt het meest geschikt als premier. Leterme volgt maar op 1 pct. Leterme wint dan weer de poppoll. 50 pct van de ondervraagden kan zich voorstellen voor hem te stemmen. Maar Verhofstadt haalt 49 pct en volgt dus op één pct van Leterme.
Inge Vervotte (CD&V) is de derde meest populaire politicus. Daarna volgen Johan Vande Lanotte (SP.A), Patrick Janssens (SP.A), Herman De Croo (Open VLD), Herman Van Rompuy (CD&V), Karel De Gucht (Open VLD), Jean-Marie Dedecker (Lijst Dedecker) en Kris Peeters (CD&V).
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