Cette bio avait été écrite de son vivant et à sa demande. "Il ne s'agit ni d'une hagiographie ni d'une biographie critique. Le livre ne contient pas non plus de révélations sur les affaires qui ont plombé le court mayorat de ce « Monsieur 10 % »." :
Michel Demaret se montrait forcément avare dans ses interviews sur les sujets délicats, comme d'éventuels pots-de-vin reçus alors qu'il était échevin de l'urbanisme.
C'est Gérard Deprez, alors président du PSC, qui a sonné la fin de la mascarade burlesque. Excédé par le franc-parler du mayeur et sa réputation de « ripou », il prend prétexte d'une interview dans Le Soir Illustré ;Demaret y déclarait notamment son peu d'admiration pour
Ses dernières années ne furent guère glorieuses. Sous le coup d'une inculpation pour corruption, il meurt dans des circonstances bizarres, quelques jours après avoir été interpellé dans un train en provenance de Zurich, avec l'équivalent en francs belges de 100.000 euros sur lui.
Michel Demaret se montrait forcément avare dans ses interviews sur les sujets délicats, comme d'éventuels pots-de-vin reçus alors qu'il était échevin de l'urbanisme.
C'est Gérard Deprez, alors président du PSC, qui a sonné la fin de la mascarade burlesque. Excédé par le franc-parler du mayeur et sa réputation de « ripou », il prend prétexte d'une interview dans Le Soir Illustré ;Demaret y déclarait notamment son peu d'admiration pour
« le Pape qui ne sait pas employer une capote et la met à l'index »pour flinguer le mayeur.
Ses dernières années ne furent guère glorieuses. Sous le coup d'une inculpation pour corruption, il meurt dans des circonstances bizarres, quelques jours après avoir été interpellé dans un train en provenance de Zurich, avec l'équivalent en francs belges de 100.000 euros sur lui.
1 commentaire:
On espérait ne plus jamais entendre parler de ce gros pourri !
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