Bart De Wever, historien jovial et radical qui a compris la racine du mal qui ronge le plat pays… a déclaré sans mâcher ses mots : « ce qui est derrière moi, c’est mon cul » ! Voilà un homme qui a trouvé la bonne formule pour inciter tous les Belges à aller de l’avant… c'est-à-dire dans le trou béant qui se profilait à l’horizon depuis bien longtemps. Ça ne nous empêche pas de nous demander avec beaucoup de courtoisie, ce que c’est qu’un trou du cul ? C’est un trou de souris qui laisse passer n’importe qui. Surtout ceux qui naviguent à vue dans un brouillard total où même les plus avertis ont besoin de radar pour savoir dans quelle langue il faut s’injurier. Ce radical flamand a bien l’intention de défoncer les vieilles cloisons. D’abattre ce mur inexistant. Il faut le faire. Nul n’y est encore parvenu… venir à bout du néant… qui remet chaque jour en question l’identité de tout un chacun. Qui sommes-nous ? Je crois que c’est le NOUS qui assomme. Les un saignent… les autres se font saigner et cette hémorragie ne peut plus durer. La Belgique comme arrière pays, ou pays de derrière va enfin prendre les devants… en succombant à ses propres blessures. Elle laisse à l’Europe sa science du compromis. Sa conscience du compromis…Où rien n’est jamais ni tout à fait dit, ni tout à fait défait… ô mollesse ! ô faiblesse ! ô petitesse ennemie ! Dehors les faux-culs… nous autres flamands avons su avant tout le monde, que l’Europe sera un jour ou l’autre le trou du cul du monde !
1 commentaire:
Bart De Wever, historien jovial et radical qui a compris la racine du mal qui ronge le plat pays… a déclaré sans mâcher ses mots : « ce qui est derrière moi, c’est mon cul » !
Voilà un homme qui a trouvé la bonne formule pour inciter tous les Belges à aller de l’avant… c'est-à-dire dans le trou béant qui se profilait à l’horizon depuis bien longtemps.
Ça ne nous empêche pas de nous demander avec beaucoup de courtoisie, ce que c’est qu’un trou du cul ?
C’est un trou de souris qui laisse passer n’importe qui. Surtout ceux qui naviguent à vue dans un brouillard total où même les plus avertis ont besoin de radar pour savoir dans quelle langue il faut s’injurier.
Ce radical flamand a bien l’intention de défoncer les vieilles cloisons.
D’abattre ce mur inexistant. Il faut le faire. Nul n’y est encore parvenu… venir à bout du néant… qui remet chaque jour en question l’identité de tout un chacun.
Qui sommes-nous ? Je crois que c’est le NOUS qui assomme.
Les un saignent… les autres se font saigner et cette hémorragie ne peut plus durer.
La Belgique comme arrière pays, ou pays de derrière va enfin prendre les devants… en succombant à ses propres blessures.
Elle laisse à l’Europe sa science du compromis. Sa conscience du compromis…Où rien n’est jamais ni tout à fait dit, ni tout à fait défait…
ô mollesse ! ô faiblesse ! ô petitesse ennemie !
Dehors les faux-culs… nous autres flamands avons su avant tout le monde, que l’Europe sera un jour ou l’autre le trou du cul du monde !
http://www.tueursnet.com/index.php?journal=Balle%20de%20Wever
Enregistrer un commentaire