jeudi 23 septembre 2010

Absence de débats bruxellois

Un pseudo groupe d'experts de très "haut niveau" périmétrés vendent Bruxelles aux flamands, en l'absence de débats et de bruxellois ...

Phineas_Barnum
#Kiadi "Mais de débats sur Bruxelles au sein du Parlement des Bruxellois il n'y aura pas!" ? #onpréfèreyparlerdegaza

avanpraet
La 'Staline' du Parlement bruxellois en prend légèrement pour son grade... #AForce!

MR: Françoise Dupuis refuse un débat sur l'avenir de Bruxelles http://bit.ly/b9Vivb @lalibrebe

Phineas_Barnum

Ce qui est clair: le groupe de très "haut niveau", ce n'est certainement pas le Parlement bruxellois qui réalise une OPA du débat démocratik

Phineas_Barnum

@baptiste La confiscation du débat public, démocratique et contradictoire (avec les parties concernées) est un acte totalitaire. #khmers



Lire aussi:
Pas de débat sur l'avenir de Bruxelles, accuse le MR

Les chefs de file du groupe MR au parlement bruxellois Didier Gosuin et Vincent De Wolf ont accusé mercredi la présidente du parlement bruxellois, Françoise Dupuis (PS), de refuser un débat au sein de cette assemblée sur l'avenir de Bruxelles.


Charles Picqué : Les déclarations du PS ? De la légitime défense !

Depuis la démission d'Elio Di Rupo comme Pré-Formateur, le PS muscle le ton et tient des déclarations qui commencent à déplaire à la NVa.
L'ambiance des négociations n'est pas sereine, la méfiance règne d'autant plus que le groupe de haut niveau chargé de plancher sur la loi de financement a débuté ses travaux. Pour rappel, le groupe d'experts détermine précisément les règles qui dicteront la nouvelle répartition des revenus de l'Etat belge notamment au profit des entités fédérées.
Dans ce contexte,
Charles Picqué, Ministre-Président (PS) de la Région de Bruxelles Capitale estime que les pessimistes, ceux qui pensent que ces négociations peuvent se solder par un échec n'ont pas tort : "… Je suis réaliste, je pense qu'on a mis sur la table des choses fondamentales pour notre vivre ensemble belge, pour l'avenir, à savoir notamment la loi de financement… On pose la question du statut de nos populations, de leur qualité de vie, pour le moment on est dans des discussions très (…) difficiles qui ne portent pas sur le sexe des anges linguistiques !".
Ces discussions, ajoute Charles Picqué, auront des conséquences sur l'avenir même des communautés : les tarifs des transports en commun, les soins de santé et leurs coûts, les services publics en
Wallonie et Bruxelles.
Au sein du groupe d'experts, deux méthodes de travail doivent s'accorder : les francophones souhaitent définir le cadre d'actions et les objectifs de la réforme. Les neerlandophones pointent davantage le résultat chiffré : le pourcentage de l'IPP à reverser aux entités fédérées. Dès lors, peut-on espérer une issue positive ? "Du côté PS et du côté francophone en général, il y a cette volonté de faire fonctionner l'Etat,... ce n'est peut-être pas un objectif poursuivi par tout le monde…" estime Charles Picqué en pointant explicitement la responsabilité de la NVa.
Charles Picqué met donc de nouveau la pression sur le parti nationaliste flamand : "… Il s'agit vraiment de légitime défense ici ! … Les discours sur Bruxelles sont tellement injustes que nous ne sommes plus dans un débat rationnel,… nous sommes dans des préjugés anti-bruxellois notamment et anti-wallons aussi... Il faut garder son sang froid et être ferme en rispostant par des arguments…".

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