mardi 15 décembre 2009

Présidences et "fils de"

En complément au post "cdH et présidenceS " ...


Remarquons également les qqes similitudes entre le fils Lutgen et le fils De Croo ...
l' "intolérance" en moins , cfr la non nomination des bourgmestres.
Cela aurait pu être pire encore avec Marino Keulen, intransigeant jusqu'au bout, comme un fasciste qui se respecte lui, mais pas les autres.



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Conflit d'intérêts: un problème chez les sociaux-chrétiens

Le problème qui se pose à propos des mesures contenues dans le plan de la ministre fédérale de l'Emploi, Joëlle Milquet, concerne en premier lieu la famille sociale-chrétienne, a-t-on fait remarquer dimanche au MR, qui attend une concertation entre les ministres concernés.

"C'est d'abord un problème pour la famille sociale-chrétienne qui compte dans ses rangs la ministre de l'Emploi, le premier ministre et le ministre-président du gouvernement flamand. Nous espérons qu'ils vont se concerter afin de prendre les mesures les plus efficaces en matière d'emploi", a expliqué l'attachée de presse du parti.

Conflit d'intérêts: Kris Peeters renvoie la balle au fédéral

Il ne revient pas au CD&V de résoudre le problème qui se pose à propos des mesures fédérales en matière d'emploi mais aux ministres Milquet et Muyters, a expliqué dimanche le ministre-président flamand, Kris Peeters, au cours de l'émission "De Zevende Dag" sur la VRT.

La Flandre, à l'initiative de son ministre de l'Emploi Philippe Muyters (N-VA), a menacé vendredi d'enclencher une procédure en conflit d'intérêts contre certaines mesures d'activation du plan de la ministre fédérale de l'Emploi, Joëlle Milquet. L'une d'elles vise à stimuler l'embauche des jeunes.
Mme Milquet a clamé son indignation après cette annonce. Selon elle, si une telle procédure était lancée, il s'agirait d'un "problème politique majeur" pour son parti, le cdH. Elle en a appelé au CD&V qui compte dans ses rangs le premier ministre et le ministre-président flamand. M. Peeters a renvoyé la balle à Mme Milquet. "Qui est la mieux placée pour résoudre ce problème? (...) Son raisonnement devrait être: si c'est une demande qui vient de Flandre, je vais trouver un compromis", a-t-il dit.

Les points du plan emploi qui fâchent la Flandre

Le gouvernement flamand prévoit de déclencher un conflit d'intérêts contre certaines mesures d'activation à l'embauche de la ministre fédérale de l'Emploi Joëlle Milquet. L'équipe de Kris Peeters juge que ces mesures sont désavantageuses pour la Flandre.

  1. L'une d'entre elles concerne l'octroi pendant deux ans d'une prime de 1.000 euros aux jeunes de moins de 26 ans qui recherchent de l'emploi depuis plus de 6 mois. La Flandre veut qu'une différence soit prévue entre les jeunes avec ou sans diplôme de l'enseignement secondaire. "Les jeunes disposant d'un diplôme du secondaire trouvent souvent du travail dans l'année", dit constater le ministre de l’Emploi flamand, Philippe Muyters (N-VA), qui réclame dès lors de porter à 12 mois la période sans emploi donnant droit à la prime.
  2. Le gouvernement flamand demande également de prévoir aussi une prime pour les personnes sans emploi depuis 1 à 2 ans, afin d'éviter que ce groupe ne tombe dans un chômage structurel.
  3. L'équipe Peeters s'oppose aussi contre la suppression des subsides salariaux pour les travailleurs de plus de 50 ans. Le parlement flamand a déjà lancé un premier conflit d'intérêts cette année contre le projet de loi de Mme Milquet, mettant ainsi la mesure au frigo.
  4. La création d'un fonds pour la formation au sein de l'Office national de l'emploi (Onem) suscite également l'opposition de la Flandre, qui affirme que ces compétences sont régionales par excellence. "Si ces projets sont approuvés, nous lancerons probablement une procédure devant la Cour constitutionnelle", a indiqué Kris Peeters.

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