mardi 17 novembre 2009

"l'UE fonctionne comme l'ex-Union soviétique"

Vaira Vike-Freiberga, 72 ans et ancienne présidente de la Lettonie, est aussi candidate au poste de président du Conseil européen:


"Je suis prête pour ce travail",dénonçant les tractations menées
"comme toujours, dans l'obscurité et derrière les portes".
"Cela suffit que l'UE fonctionne comme l'ex-Union soviétique"



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PSOE y PP cierran un pacto sobre la presidencia de la UE sin incluir Cuba

Socialistas y populares han acordado los objetivos que el Gobierno debe perseguir durante el mandato europeo en varios asuntos.

Vaira Vike-Freiberga for président! Yes, they can!
Alors qu’une « vingtaine de noms » circulent pour les postes de président du Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement et de ministre des Affaires étrangères de l’Union, selon Alexander Stubb, le chef de la diplomatie finlandaise, « il y a très peu de femmes nominées (…) si vous regardez la liste ».


Crisette au cdH : l’option préférée par Milquet et Lutgen rejetée

Benoit Lutgen est bien candidat à la présidence du cdH, mais à condition d’entrer en fonction après les élections fédérales de 2011 pour laisser Joëlle Milquet négocier les questions institutionnelles. Un scénario rejeté par une partie des humanistes. Une réunion d’urgence s’est donc tenue lundi soir pour trouver une solution.

Comme pressenti et relaté dans la presse ces derniers jours, Benoît Lutgen est bel et bien candidat à la succession de Joëlle Milquet à la tête du cdH … mais seulement pour rentrer en fonction après les élections fédérales de 2011, ce qui laisserait le temps à Joëlle Milquet de s’occuper des matières institutionnelles. Cette option, approuvée en comité restreint, n’a cependant pas passé le cap du bureau politique élargi. Le cdH s’en trouve donc divisé.


Les Anglais mettront-ils leur veto à Van Rompuy?

Ils lui reprochent son profil fédéraliste. Reinfeldt a repris les négociations.
L’histoire européenne va-t-elle se répéter? On sait qu’à deux reprises déjà, les Anglais ont empêché la nomination d’un Belge à une haute fonction européenne. En 1999, Jean-Luc Dehaene faisait l’unanimité des gouvernements de l’Union européenne pour le poste de président de la Commission il se heurta finalement au veto de John Major. Rebelote en 2004: tandis que Guy Verhofstadt recevait le soutien enthousiaste du même cercle, toujours pour la direction de la commission européenne, les Britanniques refusèrent de lui accorder leur "nihil obstat". Motif de cette opposition catégorique et répétée: les Belges ont une vision trop fédéraliste de l’Europe. Ce qui est vécu ici comme un atout est considéré, outre-Manche, comme un irrémédiable défaut.


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