- primo, les 600 000 euros versés à David Mills afin que cet avocat britannique produise un faux témoignage devant la justice
- secundo une procédure concernant les conditions d’acquisition des droits de diffusion télévisuel par son groupe Mediaset.
Ces faits sont graves. Et, pourtant, ce ne sont pas ces deux affaires qui inquiètent le plus le staff du président du Conseil.
- Tertio, à Palerme, est en train de se dérouler le procès en appel de Marcello dell’Utri, l’ancien « secrétaire personnel » de Berlu.
En première instance, le conseiller du Cavaliere a été condamné à neuf ans de prison pour « concours en association mafieuse ». Si ce jugement devait être confirmé en appel, beaucoup de monde se poserait une question simple :
"si le principal conseiller de Berlusconi est un mafieux, qu’en est-il du Cavaliere ?"
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