mardi 14 septembre 2010

CD&V : c’est non aux libéraux

Eric Van Rompuy, sur le plateau du "Zevende dag":

"le retour des libéraux n’est pas une option. Nous voulons continuer à sept pour trouver une solution"


MR : 18 sièges
CD&V: 17 sièges
OPen VLD 13 sièges
CDH: 9 sièges

Libéraux: 31 sièges >< "centristes": 26 sièges

#WTF #démocratie


Lire aussi:
Eric in Zevende Dag

Vanochtend nam ik deel aan een debat in de Zevende Dag over de regeringsonderhandelingen.

Druk op onderstaande balk om de video te zien:
http://www.deredactie.be/permalink/1.861341

Weinig animo voor MR-FDF in regering
De politieke impasse is erger dan in 2007. Dat heeft Vlaams parlementslid Eric Van Rompuy (CD&V) zondag gezegd in het VRT-programma De Zevende Dag. In het politieke debat bleek ook dat er bij CD&V, SP.A en Groen! weinig animo is om de MR bij de regeringsonderhandelingen te betrekken.
Zowat 90 dagen na de verkiezingen dreigt ons land volgens Van Rompuy “onbestuurbaar” te worden. “Ik ben pessimistischer dan ooit”, klonk het. Volgens Van Rompuy kunnen de preformatiegesprekken enkel opnieuw opgestart worden als er van bij het begin duidelijkheid is over de financiering. Volgens John Crombez (sp.a) en Stefaan Van Hecke (Groen!) lag er echter op het moment van het afspringen van de gesprekken voldoende op tafel dat kon dienen als basis om verder te onderhandelen.


Deux fois, SP.A et MR ont eu des rendez-vous

Ce n’est évidemment pas cela que l’histoire, la grande, retiendra. Après tout, que des hommes politiques du Nord et du Sud, se voient, discutent, échangent leurs informations, quoi de plus normal. Evidemment, quand ces discussions réunissent des gens qui sont en négociations serrées, depuis 7 à 8 semaines, avec ceux qui ne le sont pas et qui rêvent d’y entrer, cela provoque quelques grincements de dents auprès des autres négociateurs. Ainsi, dimanche, sur le plateau de la VRT, Eric Van Rompuy a-t-il considéré que le déjeuner qui a réuni, le 28 août dernier, dans un restaurant étoilé de la capitale, Bart De Wever, Sigfried Brake pour la N-VA, Didier Reynders et Louis Michel pour le MR, était une vraie faute : " Cela constitue, a-t-il dit, une rupture de confiance. Cela ne fait qu’augmenter la méfiance du côté francophone."

En voici donc une autre. Rétroactes. Il y a quelques jours, le président du MR, Didier Reynders, regrettant sa mise à l’écart du côté francophone, avait affirmé qu’il avait eu des contacts avec tous les partis flamands, à l’exception de Groen ! Les socialistes flamands et les démocrates-chrétiens flamands s’étaient empressés de démentir ces contacts. Tandis que Didier Reynders confirmait sa version provoquant de nouvelles dénégations du côté du SP.A et du CD&V Qu’en est-il ?

"La Libre" est en mesure de poursuivre la rédaction de ce véritable "guide Michelin" de la négociation. Après "Bruneau" en compagnie de la N-VA, les libéraux francophones ont, par deux fois au cours de l’été, déjeuné avec l’ancien ministre et ancien président de parti du SP.A, Johan Vande Lanotte. La première fois, celui-ci était seul, mais il était accompagné d’autres membres du SP.A lors du second rendez-vous. L’un de ces déjeuners avec le président du MR, Didier Reynders, a eu lieu à "L’Ecailler du palais royal", un célèbre restaurant du Sablon, à Bruxelles. Bien entendu, ces contacts entre familles libérale et socialiste avaient comme objectif de faire le point sur les négociations en cours. Sauf à penser que Johan Vande Lanotte n’est plus membre du SP.A, il y a donc bien eu des contacts entre les libéraux francophones et les socialistes flamands.

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