vendredi 4 décembre 2009

Plan Marshall 2.vert à 2,7 milliards d'euros

Twitter Side:

Le Plan marcheMal.2.envers et contre tout:
http://download.saipm.com/pdf/libre/planmarshall.pdf

Phineas_Barnum

@Himad PlanMarshall 2.vert : 7 pages ... sur papier recyclé ?

Axe I : "Chacun PEUT, UN JOUR, dans son parcours, avoir besoin de se former "... #viventsurquelleplanete ? #parlentpasdécoles !

"Nous avons les cartes en mains" Bataille ou poker (menteur) ?

Henri Capron (ULB) doute que le pôle de compétitivité des technologies vertes" soit "l'outil adéquat" http://bit.ly/8bHqxh

Chaos_Theory_Be @Phineas_Barnum les economistes s'accordent que le ".vert" aurait du etre un cluster et pas un pole. Nous n'avons pas la taille critique...

Axe 4: "l’esprit d’initiative et d’entreprendre devra être redevenu le véritable fondement du dynamisme régional" #pourmémoire
Axe 4: La création de son propre emploi par la création de son entreprise = troisième voie en matière de mise à l’emploi
... l’obtention d'un emploi dans la fonction publique, restant la deuxième voie pour l'emploi #PlanMarshall2.vert

Chaos_Theory_Be @Phineas_Barnum en France je crois que 70% des jeunes revent de devenir fonctionnaires... #Xarethelostgeneration


Lire aussi:

Les réactions au Plan Marshall 2.vert

Le MR wallon estime que le Plan Marshall 2.vert est un « Plan sons et lumières qui relève plus de la communication que de la relance ».

Les réformateurs dénoncent ainsi le flou dans le volet budgétaire. Ils relèvent que le budget 2010 ne prévoit qu’une somme de 224 millions d’euros pour les plans 1 et 2.vert. ; et que les budgets 2011 et 2012 annoncent respectivement des sommes de 274,7 millions et 293,6 millions. « Il faudra vraiment faire très fort en 2013 et 2014 pour respecter les promesses et atteindre le 1,6 milliard annoncé », remarquent les réformateurs wallons, se posant également des questions sur le recours au financement alternatif, pourtant dénoncé par Ecolo sous la précédente législature.


Le plan Marshall 2.vert : est-ce que ça marche ?

Tout est dans le titre. Le plan Marshall, version numéro 2, teinté de vert. Un nom en 3 temps qui signifie qu’on bien dans la ligne de ce programme ambitieux de relance de l’économie wallonne lancé en 2005, il y a donc déjà 4 ans. Version numéro 2 parce qu’il s’agit bien n’un nouvel épisode, avec de nouveaux investissements. Le point renvoie au 2.0 du web, histoire de montrer qu’on est modernes et orientés nouvelles technologie et enfin le vert souligne l’entrée des écolos dans la majorité wallonne et annonce que les politiques environnementales font désormais parti de la préoccupation wallonne. Hier en conférence de presse il y avait d’ailleurs 2 ministres écolos (Jean-Marc Nollet et Philippe Hnery) pour 1 PS (Rudy Demotte) et 1 cdh (André Antoine). Ce nom n’est pas né du hasard, il a été négocié lors de la formation du gouvernement, et passe pour un joli cadeau d’entrée offert aux écolos. Ca c’est pour la com. Vous savez qu’en politique, surtout quand il s’agit de mobiliser les acteurs économiques, la communication c’est essentiel. Ce n’est pas par la communication que vous créer de l’emploi, certes, mais c’est bien par cette communication que vous donnez envie aux investisseurs d’investir, que vous aidez les chefs d’entreprise à se mobiliser, il y a même des communications réussies qui permettent aux ménages d’avoir confiance et donc envie de consommer.


Forem: Le MR accuse Marcourt d'avoir vidé la caisse
L'opposition MR au parlement wallon accuse, selon des articles parus mercredi matin dans "Le Soir" et "La Libre Belgique", l'ancien ministre wallon de l'Emploi Jean-Claude Marcourt d'avoir vidé presqu'entièrement les 124 millions d'euros de réserves du Forem (service public wallon de l'emploi et de la formation), juste avant les élections de juin 2009.
Vide, la réserve du Forem ?
Ainsi, ce fonds serait passé de 124 millions d'euros le 2 juin à 1 million le lendemain. L'argent aurait été consacré à des projets immobiliers liés à la politique de l'emploi, des crédits d'embauche dans des asbl d'insertion, des projets concernant des maisons de l'emploi, au Plan langue, etc.
Le MR, et particulièrement la députée Véronique Cornet, contestent la légalité de ces décisions, soulignant que le ministre ne pouvait s'engager pour plus de 10 millions. Les réformateurs subodorent que ces sommes ont été opportunément distribuées à des associations proches du Parti socialiste, à la veille des élections.
Selon M. Marcourt, il ne s'agirait pas de dépenses effectives mais d'autorisations d'engagements. Il aurait aussi été autorisé par le gouvernement à engager ces dépenses urgentes pour lutter contre la crise. Le cabinet du ministre estime par ailleurs que celui-ci était habilité à utiliser l'argent, même si le gouvernement était alors en affaires courantes.
En outre, les décisions ont été prises en avril parce que le Forem clôture ses comptes à la fin du premier trimestre, dit-on encore. Quant à l'actuel ministre de l'Emploi André Antoine, il a souligné que l'affectation de cet argent ne compromet pas sa politique actuelle.

Le Fonds de l'économie sociale et durable a perdu 25 millions investis via KBC

Le secrétaire d'Etat ayant la tutelle sur le Fonds, Philippe Courard (PS), a expliqué lundi en commission parlementaire que les pertes s'élevaient à 25,5 millions d'euros, d'après M. Van Biesen, qui exige une clarification à ce sujet.Le Fonds de l'économie sociale et durable, créé par le gouvernement fédéral en 2003 pour investir dans des secteurs vertueux, a essuyé une perte de 25,5 millions d'euros dans le cadre d'investissements réalisés au travers de la banque KBC. C'est ce qu'ont indiqué mardi dans un communiqué les députés Luk Van Biesen (Open Vld) et Stefaan Vercamer (CD&V). Les deux élus s'indignent que le Fonds ait pu investir dans des placements douteux et veulent connaître les responsables de cette décision. Placements douteuxSelon MM. Van Biesen et Vercamer, le Fonds travaille en collaboration avec des banques et des gestionnaires de fortune, qui placent son argent dans des produits d'investissement éthiques. Cette philosophie semble avoir été pervertie, puisque des investissements auraient été réalisés dans des obligations de type CDO, des crédits hypothécaires titrisés dont la déroute est au coeur de la crise bancaire. Le secrétaire d'Etat ayant la tutelle sur le Fonds, Philippe Courard (PS), a expliqué lundi en commission parlementaire que les pertes s'élevaient à 25,5 millions d'euros, d'après M. Van Biesen, qui exige une clarification à ce sujet.

Le fonds de vieillissement lésé de 738 millions d'euros
Le fonds argenté n'a jamais vu venir un montant de 738 millions d'euros qui lui était destiné. L'Etat a utilisé cet argent pour éponger son déficit, écrit mercredi La Libre Belgique. Le député Ecolo Georges Gilkinet l'a appris du ministre des Pensions, Michel Daerden.

Avant 2006, le gouvernement avait choisi d'affecter au fonds de vieillissement des recettes non fiscales. Avant d'arriver dans le fonds, ces recettes transitaient par un fonds transitoire. Une partie des recettes qui y ont été versées n'ont pas atterri dans le fonds de vieillissement. Il s'agit de la vente des licences UMTS en 2003 (2,1 millions), le dividende Belgacom de 2004 (197,5 millions), du produit de la vente d'actions de l'Etat dans Belgacom en 2004 (538,6 millions).
Au cabinet du ministre des Pensions, on avance que cette somme a été utilisée à l'époque pour éponger les déficits publics de l'Etat. Pour la Cour des comptes, la loi n'a pas été respectée. C'est le sens d'un article de l'actuelle loi budgétaire: il vise à régulariser après coup une opération contraire à la loi. A partir de 2006, le gouvernement a décidé de ne plus affecter des recettes non fiscales au Fonds de vieillissement mais plutôt le surplus budgétaire.

Le Flagey fait face à un gouffre financier
Le centre culturel bi-communautaire Flagey a dû prendre des mesures de restrictions budgétaires en raison d'un important déficit, rapporte samedi La Capitale. "En septembre, nous avons constaté qu'il y aurait un déficit de 250.000 à 300.000 euros", indique le président de Flagey, Jean-François Katz. Il souligne que "cinq ou six facteurs différents" l'expliquent. Le conseil d'administration, qui se réunira la semaine prochaine, devra d'abord élaborer un budget d'austérité pour 2010. Quatre personnes seront licenciées ou n'obtiendront pas de renouvellement de contrat. Des choix devront être faits en matière d'activités. "On veut conserver l'orchestre et le choeur" précise M. Katz. D'autres activités de musique classique (comme le festival Ars Musica) pourraient être sacrifiées.Le Flagey devrait se recentrer sur ses activités de cinéma, de jazz et de musique du monde, dit un administrateur.

1 commentaire:

Guillaume a dit…

L'envie d'entreprendre, elle viendra qu'on sera mis au pied du mur. Quand la Flandre nous lachera, qu'on sera face aux problèmes d'une région avec un niveau de vie d'un pays riche avec les moyens réels équivalents à la Roumanie comme l'a répété De Wever dimanche passé, ça sera une obligation. Ils l'ont encore répété hier à la RTBF, notre pays n'attire plus les investissements internationaux. La Flandre a les moyens relatifs de faire perdurer le modèle social belge en étant plus compétitif mais sans nous. Le choix est donc claire pour elle. Nous par contre, on devra abandonner le système social, oublier les soins de santé remboursés, voir encore plus dépérir notre enseignement (vu que ça reste un budget fédéral basé sur la richesse de la région selon ce que veulent les flamands on aura encore moins de budget) et surtout accepter de travailler plus en gagnant moins car il faut s'aligner sur les indiens qui travaillent déjà chez nous sous contrat indien dans des entreprises chez Mobistar par exemple. Les universitaires indiens et chinois travaillent beaucoup plus que nous et pour moins cher et puisque notre société s'en fout de la qualité de produits et que les salaires baissant, on ne pourra bientot acheter que chinois, ça détruira des emplois chez nous si on ne s'aligne pas. Mais il y a de l'espoir :) pour nos arrières-petits enfants.