jeudi 9 juillet 2009

Des conclusions « bla-bla »

Selon les associations environnementales, les conclusions de la Commission Gemix « ne dépassent guère le stade du bla-bla redondant et n'offrent pas aux politiques les clés de l'action urgente et ambitieuse que la situation exige ».
Cette Commission avait été initiée par Paul Magnette pour se pencher sur l'avenir énergétique de la Belgique ...

Et qui parlait de la sieste à la météo fédérale de monsieur 37.503 voix, avant de retourner dans son pays de la médiocrité politique notoire ?
There's no future.


Lire aussi:
Les principaux pollueurs renoncent à diviser par 2 leurs émissions
Le MEF rassemble les principales économies de la planète, les huit pays les plus industrialisés du G8 et les grands émergents comme la Chine, l'Inde, la Corée du sud ou le Brésil.
Les principales économies qui représentent 80% des émissions mondiales de gaz à effet de serre ont renoncé à leur objectif de les diviser par deux d'ici 2050, a indiqué mercredi une source européenne.
Cette décision a été prise mardi soir, lors d'une réunion à Rome des représentants des dirigeants du MEF, le Forum des économies majeures, dont le sommet est prévu jeudi à L'Aquila.
"Il y a un très fort engagement (de leur part) à réduire de façon substantielle les émissions mondiales d'ici 2050, mais il n'y a pas de 50%", a précisé ce responsable. En revanche, l'objectif d'une limite de réchauffement à +2° est maintenue, a indiqué un négociateur occidental.
Dans un précédent projet de déclaration, le MEF "soutenait l'objectif de réduire les émissions mondiales de 50% d'ici 2050", sans toutefois préciser l'année de référence par rapport à laquelle cette division devait s'opérer. Le MEF rassemble les principales économies de la planète, les huit pays les plus industrialisés du G8 et les grands émergents comme la Chine, l'Inde, la Corée du sud ou le Brésil.

Le G8 s’engage pour le climat comme jamais
« Inacceptable », décrète déjà la Russie. Le G8 a décidé de diviser par deux les émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici 2050 par rapport à 1990 et de « 80 % ou plus » celles des pays industrialisés, afin de limiter le réchauffement global à 2ºC. C’est la première fois que le G8 s’entend pour reconnaître le seuil maximal des 2ºC de réchauffement et adopte un objectif pour les seuls pays industrialisés, considérés comme les « pollueurs historiques » de l’atmosphère.

Station d’épuration Bxl Nord: encore Un marché truqué
Le marché du siècle. C’est ainsi qu’était qualifié l’attribution du marché public d’appel d’offres européen pour la construction de la station d’épuration Bruxelles-Nord.
Plus d’un million d’habitants devaient bénéficier du traitement de leurs eaux usées, ce qui en faisait une des plus importantes au monde. Un projet phare en terme d’environnement et un investissement colossal : construction, financement, exploitation et portage pendant 20 ans avant rétrocession à la Région.D’un budget initial estimé à 1 milliard €, la facture est déjà aujourd’hui, un an après sa mise en service, de 2 milliards €.
Ce marché colossal attira bien des convoitises, notamment de la part de nos voisins français. En réalité, ils feront tout pour le décrocher, en bafouant les règles élémentaires de droit, d’éthique et d’honnêteté. Quatre acteurs répondirent au cahier des charges fin 2000 : Bouygues [qui avait peu d'expérience en la matière], B.S.U.B. [consortium belgo-américain regroupant Seghers, Besix, Bechtel et United Utilitis], Hydronor [Suez ex Lyonnaise des Eaux] et Aquiris [Véolia division Vivendi Environnement].

Aucun commentaire: