Comme à l'époque à laquelle elle était ministre des Affaires sociales et de la Santé et responsable de l'AWIPH, elle ne répond pas à toutes les questions (en fait, jamais aux miennes jusqu'à présent).
Après le handicap (le sien éventuellement), elle se fait passer pour spécialiste de "La technologie informatique comme facteur de lutte contre le terrorisme international", faisant partie de représentants des sénats des différents pays de l’OSCE se réunissant à Saint-Petersbourg en Russie.
Au secour ! Quand va-t-on arrêter ce cirque ?
Se souvenir:
Aller simple pour (Christiane) Vienne ?
La ministre wallonne de la Santé doit-elle démissionner, pour sa (non-)gestion calamiteuse de l’Agence wallonne pour l’intégration de la personne handicapée ? Selon ses collègues, il n’y a pas photo.
Tous les observateurs (ou presque) rassemblés au Parlement wallon, vendredi passé en commission sur l’AWIPH, croyaient à l’imminence d’une démission (au mieux) ou d’une éviction (au pire) de Christiane Vienne. Mais, alors que le bateau prend eau de toutes parts, le capitaine Di Rupo tient aveuglément son cap et fonce droit dans la brume, vers un fameux iceberg.
J’y suis, j’y reste
Rarement séance parlementaire aura été aussi surréaliste : croulant sous les mensonges, les contradictions, les incohérences, Vienne aura tenu bon jusqu’aux petites heures du matin, larguée pourtant par les députés PS et cdH, à l’exception du président de la commission, Patrick Avril (PS). Un président scandaleusement partial, qui aura empêché à plusieurs reprises certains députés (l’Ecolo Monika Dethier et le MR Willy Borsus en particulier) de poser leurs questions, bafouant la légitimité parlementaire pour mieux protéger « sa » ministre. Avril osera également faire écho aux effarouchements de la ministre qui s’estime victime de machisme, là où les députés ne font que leur boulot de contrôle ministériel, quel qu’en soie le sexe.
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