Où se trouve la mise en perspective journalistique de ces propos ?
“Mais il n’y a rien à clarifier !”(12/10/2010)
Tout est sur la table, les problèmes comme les chemins de solution. Il reste les points clés à trancher, comme toujours. Tout ce qu’il a à clarifier, c’est sa volonté politique de faire un accord. C’est de l’auto-clarification, si vous voulez…”
“Les solutions figurent tacitement dans le rapport du groupe de haut niveau. Tant que la N-VA n’acceptera pas de se mettre autour de la table à 7, on n’y arrivera pas…”
Ce qu’a raconté M. Reynders à la VRT, disant qu’il était prêt à aller beaucoup plus loin que nous, ça n’aide pas. Amertume ? Fébrilité post-électorale ? Difficultés internes ? Je l’ignore. Mais de grâce, remettons les logiques particratiques au vestiaire !”
Quand cette dame ouvre la bouche (mais comme beaucoup d'autres, aussi), est-ce une info ou de la simple propagande ?
Ces questions méritaient d'être posées
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Le MR veut plus que BHV lors de la réunion francophone
Selon Charles Michel, l’ordre du jour de la réunion entre les 4 partis francophones ne doit pas se résumer à BHV. Interrogé sur La Première, il a néanmoins confirmé que le MR répondrait positivement à l’invitation. (Belga) L’ordre du jour de la réunion entre les 4 partis francophones ne doit pas se résumer à la seule riposte devant une proposition de loi flamande scindant l’arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, estime le ministre de la Coopération, Charles Michel (MR). « Je suis étonné : l’ordre du jour doit être plus étoffé que ça », a confié M. Michel, interrogé sur La Première, avant d’assurer que son parti répondra positivement à l’invitation. Le MR souhaite au moins obtenir des informations sur le contenu des négociations, 121 jours après les élections. Le ministre MR a également dit son inquiétude face aux propos entendus ces derniers jours de la bouche des négociateurs. Il a dénoncé une « escalade de la violence politique ». « Les sept partis s’envoient des messages hallucinants », a-t-il ajouté. M. Michel a épinglé plus particulièrement déclarations du président du PS, Elio Di Rupo, au sujet du plan « B ». Selon lui, il s’agit d’un positionnement préelectoral. « Au vu du type de message, je me demande si le PS ne prépare pas les élections », a-t-il fait remarquer. Aux yeux du mandataire réformateur, de nouvelles élections favoriseraient encore la radicalisation politique sur les dossiers communautaires. « Les élections seraient le plus beau cadeau que les trois partis francophones de gauche pourraient offrir à la N-VA », a-t-il averti. A l’heure où le FDF crée des sections en Wallonie et se prépare à participer aux élections communales, M. Michel a rappelé que cela se ferait sur des listes MR, conformément aux décisions prises au sein du parti. « Il n’y aura pas de listes FDF en dehors du MR », a-t-il souligné. Bacquelaine veut aussi changer de méthode Tant M. Michel que le chef de groupe des Réformateurs à la Chambre, Daniel Bacquelaine, interrogé sur Bel RTL, ont répété le credo de leur parti sur ces négociations : il faut changer de méthode et commencer à discuter de ce que Flamands et francophones veulent encore faire ensemble. Aucun des deux hommes ne s’est toutefois avancé sur d’éventuelles concessions que le MR serait prêt à faire aux partis flamands. « Nous ne souhaitons pas nécessairement aller plus loin. Nous voulons quelque chose de plus cohérent », a expliqué M. Michel. Mardi, la Chambre tiendra sa séance de rentrée. Un point retiendra plus particulièrement l’attention des observateurs : le dépôt d’une nouvelle proposition de loi scindant Bruxelles-Hal-Vilvorde. Le MR est tout à fait prêt à enclencher les procédures qui garantiront le respect des droits des francophones, a assuré M. Bacquelaine. Invité à répondre par oui ou par non à la question de savoir si BHV pouvait être scindé sans élargissement de Bruxelles, le chef de groupe a répondu par la négative. M. Bacquelaine a aussi demandé que la Chambre se mette au travail et que les Commissions se réunissent pour aborder les problèmes socio-économiques malgré l’absence de gouvernement de plein exercice et de majorité. Il espère obtenir le soutien d’autres partis sur certaines propositions.
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