vendredi 13 août 2010

Bruxelles n’est pas à vendre

Bruxelles n’est pas à vendre


Si l’objectif réel des Flamands est l’indépendance du pays via
l’annexion de Bruxelles, il faut le dire clairement et ouvrir la négociation
franche et directe de la scission du pays.


Phineas_Barnum
Il aura juste fallu 3 ans à certains pour commencer à comprendre ...

Ceci dit, c'est bien l'essence même du #fail mailto:d dans ces négos: ne pas l'avoir encore intégré #déformateur

Opération réalisée par un provincial profond et régionaliste, effet de bord du premier qualificatif

Ne parlons pas de l'inexistant PS (ont été priés de la boucler ? - vices absents, ..) mais de la seule vanité d'EDR qui guide

Le formateur est toujours dans le pré


Lire aussi:
Bruxelles n’est pas à vendre

L’édito de Béatrice Delvaux
Personne ne sait à cet instant si les négociations institutionnelles aboutiront. Mais les Flamands ont déjà obtenu la certitude d’un déplacement du centre de gravité de la Belgique.
Personne ne sait à cet instant si les négociations institutionnelles aboutiront. Mais les Flamands ont déjà obtenu l’acquis majeur : si un accord se conclut, le centre de gravité de la Belgique sera déplacé, des compétences larges seront transférées du Fédéral aux Régions. Ce qui était refusé en 2007 est aujourd’hui accepté. L’ampleur du transfert est maintenant l’objet du débat ; le principe, lui, n’est pas remis en cause.
D’accord donc pour une large réforme de l’Etat mais non, absolument non, à une mise sous tutelle, voire une absorption de Bruxelles par la Flandre de façon déguisée. Or c’est ce qui se profile si les Francophones succombent aux demandes de communautarisation – et non plus de régionalisation – des compétences, qui émanent soudain de Flandre.
Pas question en effet que la réforme actuellement négociée conduise à ce que dans quelques années, les Flamands puissent finalement considérer que Bruxelles est devenue leur propriété, favorisant dès lors une indépendance facile.

Strombeek: une pétition contre le français dans un club de foot
Le climat reste parfois tendu entre néerlandophones et francophones en périphérie bruxelloise. A Strombeek, une pétition signée par plus de mille personnes, exige qu'on ne parle plus français pendant les entraînements du club de foot local, alors que la majorité des jeunes joueurs est francophone.

Updated:

Oorlogstaal
PETER DE LOBEL vindt dat 'Le Soir' vorige week danig over de schreef is gegaan. De krant mengde zich in het debat over de staatshervorming door zich nadrukkelijk te gedragen als een politieke partij en niet als een journalistiek medium.
Op krantenredacties over heel het land - zowel in het Vlaamse, het Waalse als het Brussels Hoofdstedelijk Gewest - is de laatste weken angstvallig naar nieuwe manieren gezocht om 'het probleem Brussel' te belichten. Bij onze collega's van Le Soir leidde dat vrijdag tot een... nogal gekleurde krant.

Hoofdredactrice Béatrice Delvaux zette de toon met haar édito, voor de gelegenheid afgedrukt op de voorpagina. 'Er kan geen sprake van zijn dat de inwoners (van Brussel, red.) anders bestuurd worden naargelang dat ze Vlamingen of Franstaligen zijn of zeggen dat te zijn', klonk het strijdlustig. 'De Franstaligen zullen Brussel niet laten vallen. Uit principe én uit economische en culturele belangen.' Nu goed, in het édito van de hoofdredactie mag het al eens kletteren, daar dient zo'n commentaar voor.

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