jeudi 23 décembre 2010

L'irrésistible ascension

Phineas_Barnum
:

"M. De Wever s'exprime en des termes qui relèvent de la propagande, alors que ce
que je dis peut être prouvé"." ?



@ souligne le professionnalisme journalistique du sud ... ؟


Dans la course au 16, je ne sais pas si l'assaut contre les journalistes flamands est strategiquement bien vu (Cc @


@ : Il a compris qu'il est grillé de ce côté-là ; la Présidence éclairée de la Francophonie est la suite de l'irrésistible ascension


Donc, si je comprend bien, @ n'a plus envie du Seize ?

@aplennevaux
je propose un nouveau tag à la place de et : cc @ @ @ @


Lire aussi:
Di Rupo oppose le militantisme flamand au professionnalisme journalistique du sud
Ces sorties médiatiques arrivent également le lendemain de l'appel de 350 artistes et intellectuels francophones en faveur du dialogue et contre le nationalisme, lui-même écho d'un appel similaire lancé par des personnalités flamandes en octobre.
Le président du PS Elio Di Rupo oppose, dans un entretien mercredi à Sud Presse, un "militantisme autonomiste de politiques et journalistes au nord du pays" à une "attitude professionnelle" des journalistes du sud du pays. Selon Elio Di Rupo, "les schémas classiques du raisonnable sont mis à l'épreuve" dans les rapports avec la N-VA, "et on ne pourra pas continuer comme cela encore longtemps".

"En fait, nous nous trouvons face à un double phénomène: un militantisme autonomiste de politiques et de journalistes dans le nord du pays, alors que dans le sud du pays, les journalistes ont une attitude professionnelle qui leur permet de distinguer le vrai du faux", estime le président du PS.Interrogé sur le fait que le président de la N-VA Bart De Wever tient le même raisonnement, mais en sens inverse, Elio Di Rupo juge que "la différence entre nous, c'est que M. De Wever s'exprime en des termes qui relèvent de la propagande, alors que ce que je dis peut être prouvé".

De Wever oppose la Flandre à une "culture latine" des prébendes
Le président de la N-VA Bart De Wever a opposé, dans un entretien au magazine Humo, une culture latine dans laquelle l'électeur tolérerait que l'autorité s'attribue des prébendes à une Flandre qui ne laisserait pas passer cela, a relevé mercredi Le Soir. Au journaliste d'Humo qui lui rappelait un éditorial de 1994 sur l'affaire Agusta dans lequel M. De Wever soulignait l'urgence de l'autonomie de la Flandre face à la mentalité en vogue en Wallonie, le nationaliste flamand se défend d'avoir "dit que les Wallons avaient une nature criminogène". "Mais je constate que dans la culture latine, l'électeur ne réagit pas négativement quand l'autorité s'attribue des prébendes alors qu'en Flandre, on est pourfendu pour moins que cela. Regardez les résultats électoraux en Hainaut: rien n'a changé", commente-t-il.

« La Belgique est un État qui a échoué »
Ce n’est pas moi qui le dis, c’est Bart De Wever, le patron des nationalistes flamands de la NV-A (Nouvelle Alliance flamande), le parti majoritaire du nord de la Belgique. Dans un entretien à l’hebdomadaire allemand der Spiegel paru aujourd’hui, De Wever sonne le réveil de ceux que l’interminable mission de conciliation menée par le socialiste flamand Johan Vande Lanotte avait endormis dans un optimisme béat. Car, six mois tout juste après les élections législatives du 13 juin dernier, aucune majorité ne se dessine, ce qui permet à De Wever d’affirmer que son pays est « le malade de l’Europe ». Pour rappel, en 2007, il avait fallu attendre le 19 décembre pour qu’un gouvernement « intérimaire » présidé par Guy Verhofstadt soit désigné après les élections du 10 juin. Ce record, qui constituait déjà un précédent, est en passe d’être battu…

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