lundi 18 octobre 2010

Le rôle du refus

"pourquoi les partis francophones ont-ils endossé aussi aveuglément le rôle du refus ?" Simple question d'Ego du Grand Leader Charismatique du Cartel des Soumis, qui ne veut pas être le seul à porter le chapeau d'une grossière erreur de parcours et d'un échec majeur - il fallait essayer de refourguer le Zwarte Piet à un autre. Pourtant, ceci n'est qu'une mission d' "information", alors que celle de pré-formation était une mission d'action demandant résultat. #BigFail



Pour M. Modrikamen, la rapidité du rejet du document De Wever est peut-être liée à une question d'égo, après que le travail du préformateur Elio Di Rupo a été "recalé".

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"Le constitutionnaliste Marc Uyttendaele" , "neutre" donc sur #MatinPremiere ;-((

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lauwerijs Inviter M Uyttendaele comme "constitutionnaliste" sur #MatinPremiere me semble une faute éthique/déontologique @yvesthiran


"Les francophones ont eu raison de rejeter la note"

Le constitutionnaliste Marc Uyttendaele était l'invité de Matin Première ce lundi matin. Les partis francophones auraient eu raison de rejeter la note de Bart De Wever. Il appelle à un élargissement de la notion d'"affaires courantes".
Dimanche après-midi, le clarificateur royal a présenté sa note à la presse. Un accord "le plus acceptable qui soit", selon les mots de Bart De Wever. Du côté francophones, on accuse une note "purement N-VA". Alors que les présidents des partis de la négociation n'ont pas encore formellement donné leur réponse, le blocage semble être encore bien présent.
Pour Marc Uyttendaele, cette note se base sur "une idée fondamentale, celle d'affaiblir la région wallonne et de remettre en cause l'autonomie de Bruxelles tout en vidant l'Etat fédéral de sa substance". On irait vers un Etat fédéral désargenté, ce qui mettrait en cause la sécurité sociale. Selon le constitutionnaliste, les partis francophones n'avaient "pas d'autre solution" que de rejeter cette note. Une note qui laisse un "énorme fossé" entre le nord et le sud. "Les partis assis à la table des négociations ont fait des concessions", explique notre invité. "Mais l'équation est impossible, les deux positions sont extrêmes".
Un problème de stratégie ? Marc Uyttendaele estime en effet que la stratégie de Bart De Wever romp avec les codes politiques traditionnels. Selon l'avocat, il n'est pas normal de tenter de clarifier la situation tout en se campant dans un "autisme": "Bart De Wever a écouté ... mais n'a pas créé de dialogue", dit-il. Sa stratégie serait de montrer que le modèle belge est finissant, le "plan B" des francophones. La situation actuelle serait donc "inévitable".



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