mercredi 5 novembre 2008

La 1/2 de la richesse




Lire aussi:


Les pierres de Yap
Aussi étonnant que cela paraisse, la pierre que vous voyez ici, constitue encore de nos jours un moyen de paiement parfaitement valable sur l’île de Yap, quelque part en Micronésie, au milieu de l’Océan Pacifique. Les touristes qui visitent l’île s’étonnent toujours de voir les insulaires laisser traîner leur “argent” sur la rue. Surtout qu’il ne s’agit pas de petite monnaie! Les plus grands exemplaires ont un diamètre de 4 mètres et peuvent peser jusque 15 tonnes. Mais quelle est l’origine de cette monnaie si particulière ?


Les trois composantes de notre temps (1/2)
Notre monde est en pleine mutation : jamais les repères n’ont bougé aussi vite, jamais les idées n’ont autant circulé, jamais les Hommes n’ont eu une telle conscience d’eux-mêmes. Et jamais autant de Terriens ne sont sortis aussi vite de la pauvreté, 400 cents millions ces 30 dernières années, surtout en Chine.
Nous vivons une époque fascinante et dans ce dédale d’implications complexes, trois grandes composantes définissent à mon sens la situation dans laquelle se trouve l’Humanité : l’avènement de l’économie de marché au niveau mondial, l’accélération du progrès technique et la dernière, conséquente des deux premières, l’émergence d’une Nation humaine.
1. L’économie de marché s’est imposée aux yeux de tous comme la façon la plus efficace de créer et répartir la richesse depuis la chute de l’Union Soviétique, épuisée par une « guerre des étoiles » que le fiasco communiste ne pouvait plus financer.


La richesse tirée des ressources naturelles doit profiter à tous les Africains
Selon M. Todd Moss, sous-secrétaire d’État adjoint aux affaires africaines, les États-Unis aident les pays d’Afrique à mieux utiliser leurs ressources naturelles et à mobiliser leurs richesses pour devenir des économies et des États forts pour le plus grand bien de tous leurs citoyens.
Dans une déposition devant la sous-commission des affaires africaines au sein de la commission sénatoriale des affaires étrangères, M. Moss a déclaré, le 24 septembre, que « la politique américaine en Afrique vise à aider les pays africains à bâtir des économies génératrices de prospérité et propices à la création d’une classe moyenne - laquelle est l’assise indispensable de toute démocratie ». Cependant, a-t-il poursuivi, le travail est loin d’être terminé.


Aucun commentaire: