Dans l’article « cause toujours », un prof d’Anvers comparait la situation flamande avec celle du Québec dans la sauvegarde d’un patrimoine linguistique menacé.
La crainte flamande de voir disparaître sa langue prise au piège des séductions de la langue française m’apparaissait schizophrène et les efforts de la classe politique flamande pathétiques.
Dans leur concept d’une Flandre pure et dure, s’inscrit la possibilité d’un affrontement.Aux responsables wallons revient une possibilité intelligente de débrider l’abcès par des mesures radicalement opposées aux décisions internes flamandes.
Un exemple : à la SNCB on obéit scrupuleusement aux lois linguistiques si bien qu’à chaque Région traversée par un train, les annonces se font dans la langue de la Région, sauf à Bruxelles où grâce aux 15 % de Flamands résidents, la capitale a droit au bilinguisme. (suite...)
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