L’Espagne prend la relève de la Présidence de l’Union européenne dans un contexte inédit: celui du Traité de Lisbonne qui est entré en vigueur ce 1er janvier 2010.
Zapatero va devoir partager la présidence avec Van Rompuy, le nouveau président permanent du Conseil européen.
En marge de ceci et selon une enquête de l'institut Sigma Dos pour El Mundo, en cas d'élections, le PP obtiendrait 43,6% des suffrages, contre 38,5% pour le Parti socialiste espagnol (PSOE), au pouvoir en Espagne depuis 2004.
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Maitre_Eolas La télé publique espagnole ne passe plus du tout de pub depuis le 1er janvier. Et fait des clips de 3 minutes pour en faire la promo. Le 2 janvier à 11h, la télé nationale espagnole rediffuse le programme spécial du révéillon. Effet décalage garanti.
1 commentaire:
Il semblerait en effet que le PSOE sorte électoralement perdant de la récession économique espagnole. C'est injuste car - à moins qu'un point essentiel des projets politiques respectifs m'échappe - peu de choses différencient la vision économique du PSOE de celle du PP : toute deux sont libérales.
Par exemple, Didier Reynders - que Dieu et le CA de PNB parfument son nom - serait satisfait d'entendre José Luis Rodriguez Zapatero expliquer que les diminutions d'impôts sont sociales puisqu'elles augmentent le pouvoir d'achat...
Cependant, le cas de l'Espagne est intéressant puisque'il montre que des différences peuvent demeurer entre libéraux du point de vue de quelques questions de société fondamentales du XXIè Siècle :
- Comment l'Espagne redeviendra-t-elle le môle de la civilsation occidentale catholique ?
- Comment le matérialisme athée s'insinue dans les écoles de nos enfants que les haineux veulent priver d'éducation réligieuse ?
- Pourquoi remuer la merde des pénibles événements de 1936 à 1975 ?
- Qu'y a-t-il de mal à chanter Amerika über alles comme le premier Polonais venu ?
- Pourquoi les pédés devraient avoir les mêmes droits que les vrais hommes ?
- Et pourquoi l'assistanat social devrait encourager les turpitudes des petites allumeuses qu'y n'ont qu'à se curer avec les aiguilles à tricoter de leur grand-mère ?
Ce n'étaient là que quelques questions qui tiennent les braves gens du PP sur la brèche des valeurs occidentales mais qui, vous le voyez bien, n'ont à voir avec le récession économique.
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